La raison philosophique et la raison catholique, conférences, Volume 2 |
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... commun , dans la substance infinie , d'où elles sont sorties la première fois , pour s'y identifier , pour y être absorbées et s'y perdre ; et voilà la MÉTEMPSYCOSE qui fut et qui est encore partout , particulièrement chez les Indous ...
... commun , dans la substance infinie , d'où elles sont sorties la première fois , pour s'y identifier , pour y être absorbées et s'y perdre ; et voilà la MÉTEMPSYCOSE qui fut et qui est encore partout , particulièrement chez les Indous ...
Page 66
... commun à tous ; it faut travailler en commun , vivre en commun pour jouir en commun . Et voilà le cOMMUNISME , qui , pour être resté à l'état de projet et d'idée dans la République de Platon , n'en est pas moins l'une des conséquences ...
... commun à tous ; it faut travailler en commun , vivre en commun pour jouir en commun . Et voilà le cOMMUNISME , qui , pour être resté à l'état de projet et d'idée dans la République de Platon , n'en est pas moins l'une des conséquences ...
Page 115
... commun chez les philosophes . La morale des Stoïciens . Voici donc un petit échantillon de la morale que l'ancienne raison philosophique tira de la négation du dogme de la création . Cicéron , qui passe pour un des plus honnêtes hommes ...
... commun chez les philosophes . La morale des Stoïciens . Voici donc un petit échantillon de la morale que l'ancienne raison philosophique tira de la négation du dogme de la création . Cicéron , qui passe pour un des plus honnêtes hommes ...
Page 116
Gioacchino Ventura de Raulica. père de ce collègue et de cet ami commun qui est ici , aimait beaucoup Roscius , ton concitoyen ; et c'est lui qui a fait ces vers en l'honneur de Roscius : « Je m'étais arrêté un instant pour << saluer ...
Gioacchino Ventura de Raulica. père de ce collègue et de cet ami commun qui est ici , aimait beaucoup Roscius , ton concitoyen ; et c'est lui qui a fait ces vers en l'honneur de Roscius : « Je m'étais arrêté un instant pour << saluer ...
Page 117
... commun à tous les philosophes . Le témoi- gnage de Plutarque , qu'on va lire plus loin , ne laisse pas le moindre doute que cette infâme pratique fut approuvée et suivie même par les sages censés les plus honnêtes . Cornélius Népos ...
... commun à tous les philosophes . Le témoi- gnage de Plutarque , qu'on va lire plus loin , ne laisse pas le moindre doute que cette infâme pratique fut approuvée et suivie même par les sages censés les plus honnêtes . Cornélius Népos ...
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Common terms and phrases
absurdes Acad admettant admettre æther aliquid anciens philosophes Aristote athées atomes atque autem ayant cause certitude choses chrétien christianisme Cicéron conférence conséquent corps création critérium croyance Deor Descartes Deum Deus Dieu n'a dieux divine doctrine dualisme enim Épicure erreurs esprit esse esset éternelle etiam évidences existe formé hæc hommes igitur infinie intel ipso l'âme l'athéisme l'Église l'esprit l'éternité l'être l'existence l'homme l'origine du monde l'univers Lactance Leucippe losophes Lucullus lui-même lumière manière materia matérielle matière ment morale mouvement mundum nature néant négation du dogme neque nihil nisi non-seulement omnes omnia païens panthéisme pensée peuples philo philoso Platon possit potest principe propre protestantisme puissance Pythagore qu'un quæ quam Quid quidem quod raison catholique raison philosophique ancienne religion rerum révélation rien saint Thomas scepticisme science serait seul Socrate stoïciens substance sunt systèmes terre Tertullien théisme tion universelle vérité vertu voilà vrai Zénon
Popular passages
Page 239 - Et maintenant te voilà détrôné et brisé. Ton nom, si longtemps le dernier mot du savant, la sanction du juge, la force du prince, l'espoir du pauvre, le refuge du coupable repentant, eh bien! ce nom incommunicable, désormais voué au mépris et à l'anathème, sera sifflé parmi les hommes. Car Dieu , c'est sottise et lâcheté; Dieu , c'est hypocrisie et mensonge ; Dieu , c'est tyrannie et misère; Dieu , c'est le mal.
Page xxxviii - Tranquille sur le chemin que j'avais à suivre en ce monde, tranquille sur le but où il devait me conduire dans l'autre ; comprenant la vie dans ses deux phases, et la mort qui les unit, me comprenant...
Page 166 - ... d'où il suit que nos idées ou notions, étant des choses réelles et qui viennent de Dieu , en tout ce en quoi elles sont claires et distinctes , ne peuvent en cela être que vraies.
Page 239 - Et moi je dis : le premier devoir de l'homme intelligent et libre est de chasser incessamment l'idée de Dieu de son esprit et de sa conscience. Car Dieu, s'il existe, est essentiellement hostile à notre nature, et nous ne relevons aucunement de son autorité.
Page 408 - Le Dieu de la conscience n'est pas un Dieu abstrait, un roi solitaire relégué par delà la création sur le trône désert d'une éternité silencieuse et d'une existence absolue qui ressemble au néant même de l'existence : c'est un Dieu à la fois vrai et réel, à...
Page 409 - ... c'est un Dieu à la fois vrai et réel , à la fois substance et cause , toujours substance et toujours cause , n'étant substance qu'en tant que cause , et cause qu'en tant que substance ; c'est-à-dire, étant cause absolue , un et plusieurs , éternité...
Page xxxviii - Dieu sur moi, et l'aimant pour la bonté de ses desseins, j'étais heureux de ce bonheur que donne une foi vive et certaine en une doctrine qui résout toutes les grandes questions qui peuvent intéresser l'homme.
Page xl - Je ne pouvais revenir de mon étan« nement , qu'on s'occupât de l'origine des idées avec une « ardeur si grande, qu'on eût dit que toute la philosophie « était là, et qu'on laissât de côté l'homme, Dieu, le « monde , et les rapports qui les unissent à...
Page xxxviii - Mais, dans le temps où j'étais né, il était impossible que ce bonheur fût durable; et le jour était venu où, du sein de ce paisible édifice de la religion qui m'avait recueilli à ma naissance et à l'ombre duquel ma...
Page 166 - ... pour vraies et certaines, lesquelles par après d'autres raisons m'ont porté à juger absolument fausses. Mais, après avoir reconnu qu'il ya un Dieu, pour ce qu'en même temps j'ai reconnu aussi que toutes choses dépendent de lui et qu'il n'est point trompeur, et qu'ensuite de cela j'ai jugé que tout ce que je conçois clairement et distinctement ne peut manquer d'être vrai ; encore que je ne pense plus aux raisons pour lesquelles j'ai jugé cela être véritable, pourvu...