Recherches expérimentales sur les propriétés et les fonctions du système nerveux, dans les animaux vertébrés |
From inside the book
Results 1-5 of 54
Page xxi
... couches optiques , etc. La moelle alongée a tour à tour été regardée comme une continuation de la moelle épininière , comme une partie intégrante de l'encéphale , comme une partie distincte de la moelle épi- nière et PRÉFACE . xxj.
... couches optiques , etc. La moelle alongée a tour à tour été regardée comme une continuation de la moelle épininière , comme une partie intégrante de l'encéphale , comme une partie distincte de la moelle épi- nière et PRÉFACE . xxj.
Page xxii
... couches optiques , tantôt pour les lobes céré- braux eux - mêmes , etc. , etc. Il est évident que des expériences rigoureuses de physiologie , déterminant seules les propriétés et les fonctions de ces diverses parties , pouvaient seules ...
... couches optiques , tantôt pour les lobes céré- braux eux - mêmes , etc. , etc. Il est évident que des expériences rigoureuses de physiologie , déterminant seules les propriétés et les fonctions de ces diverses parties , pouvaient seules ...
Page 18
... couches successives , sur un pigeon : l'animal resta im- passible . 3. Je découvris le cervelet sur un autre pi- geon ; je le perçai de part en part , et dans tous les sens , avec une aiguille ; je le coupai par tran- ches successives ...
... couches successives , sur un pigeon : l'animal resta im- passible . 3. Je découvris le cervelet sur un autre pi- geon ; je le perçai de part en part , et dans tous les sens , avec une aiguille ; je le coupai par tran- ches successives ...
Page 19
... couches optiques : nulle agitation n'accompagna cette double épreuve . On a prétendu que la pression des couches optiques abolit la contraction des iris on l'a prétendu aussi de la pression des corps striés . La paralysie des iris n'a ...
... couches optiques : nulle agitation n'accompagna cette double épreuve . On a prétendu que la pression des couches optiques abolit la contraction des iris on l'a prétendu aussi de la pression des corps striés . La paralysie des iris n'a ...
Page 20
... couches optiques . C'est à tort qu'on a attribué la paralysie des iris à la lésion de ces dernières parties . On peut les couper , ou les piquer sur tous les points , sans abolir comme sans provoquer la contrac- tilité des iris 3 . 1 ...
... couches optiques . C'est à tort qu'on a attribué la paralysie des iris à la lésion de ces dernières parties . On peut les couper , ou les piquer sur tous les points , sans abolir comme sans provoquer la contrac- tilité des iris 3 . 1 ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
animal bijumeaux braux cerveau cervelet circulation conservation contractilité contractions musculaires convulsions corps calleux corps striés côté opposé couches optiques crâne détermination des propriétés détruit diverses drijumeaux effet croisé essentiellement distinctes excite exclusivement expériences facultés intellectuelles Flourens fonctions ganglion grenouille Haller hémisphères hémisphères cérébraux intellectuelles et sensitives irri irritations J'ai coupé J'enlevai jambes l'ablation des lobes l'action l'altération l'animal perdit l'encéphale l'excitabilité l'iris l'irritation l'ivresse l'œil gauche l'œil opposé l'organe lapin lésion ligature lobe enlevé lobes cé lobes céré lobes cérébraux long-tems Lorry marche masse cérébrale Mémoire ment moelle alongée moelle épinière mouvemens coordonnés mouvement muscles mutilation nerf optique oiseaux organes paralysie parceque perdu perte phénomènes physiologie pigeon portion postérieur poule préhension rébraux région renflement réside respiration reste résultats rétine retranchai riences Rolando Saucerotte section sens sensations siége substance système nerveux tantôt tems tion tout-à-fait trépan tubercules qua tubercules quadrijumeaux velet vemens volition vue de l'œil Zinn
Popular passages
Page 99 - ... étendue des lobes cérébraux , sans que leurs fonctions soient perdues. Une portion assez restreinte de ces lobes suffit donc à l'exercice de leurs fonctions.
Page 59 - Le secrétaire perpétuel de l'Académie pour les sciences physiques certifie que ce qui suit est extrait du procèsverbal de la séance du lundi 22 juillet 1822.
Page 39 - L'animal commence par ne pouvoir rester long-tems d'aplomb sur ses jambes , il chancelle presque à chaque instant ; puis ses pieds ne suffisent plus à la station , et il est obligé de recourir à l'appui de ses ailes et de sa queue ; enfin , toute position fixe et stable devient impossible : l'animal fait d'incroyables efforts pour s'arrêter à une pareille position, et il n'y peut réussir. La faculté de marcher s'évanouit également par degrés. L'animal conserve encore, d'abord , une démarche...
Page 79 - ... et de l'ouïe puissent être consommées et devenir perceptibles pour l'animal. Que si nous voulions encore ajouter à cette attribution, nous dirions qu'ils sont aussi celui où toutes les sensations prennent une forme distincte, et laissent des traces et des souvenirs durables , qu'ils servent en un mot de siége à la mémoire , propriété au moyen de laquelle ils fournissent à l'animal les matériaux de ses jugemens. Cette conclusion ainsi réduite à de justes termes , deviendroit d'autant...
Page 100 - Enfin (et comme je viens de le dire), dès qu'une perception est perdue, toutes le sont; dès qu'une faculté disparaît, toutes disparaissent. Il n'ya donc point de siéges divers ni pour les diverses facultés, ni pour les diverses perceptions.
Page 90 - Je l'ai laissée jeûner à plusieurs reprises jus« qu'à trois jours entiers, puis j'ai porté de la « nourriture sous ses narines, j'ai enfoui son bec « dans le grain, j'ai mis du grain dans le bout « de son bec, j'ai plongé son bec dans l'eau, je « l'ai placée sur un tas de blé. Elle n'a point « odoré, elle n'a point avalé, elle n'a point bu, « elle est restée immobile sur ces tas de blé et y « serait assurément morte de faim, si je n'eusse « pris le parti de la faire manger moi-même.
Page 30 - ... mobile, . et pourtant il n'y voyait pas ; il n'entendait pas , ne se mouvait jamais spontanément , affectait presque toujours les allures d'un animal dormant ou assoupi ; et quand on l'irritait, durant cette espèce de léthargie , il affectait encore les allures d'un animal qui se réveille.
Page xi - ... les sensations du reste du corps doivent arriver pour prendre une forme distincte , pour être nettement perçues par l'animal , et pour laisser des traces et des souvenirs durables. M. Flourens le prouve particulièrement par rapport au sens de la vue et de l'ouïe. Lorsqu'on enlève l'hémisphère d'un côté à un animal, il ne voit plus de l'œil du côté opposé, bien que l'iris de cet œil conserve sa mobilité; si on enlève les deux hémisphères il devient aveugle et n'entend plus.
Page 99 - Içs couches supérieures , postérieures et antérieures. A chaque nouvelle couche, la vue perdit de son énergie ; et dès que l'animal ne vit plus , il n'entendit plus , il ne voulut plus , ne se souvint plus, ne jugea plus, et fut absolument dans le même cas...
Page 100 - La faculté de percevoir, de juger, de vouloir une chose, réside dans le même lieu que celle d'en percevoir, d'en juger, d'en vouloir une autre; et conséquemment cette faculté, essentiellement une, réside essentiellement dans un seul organe 2.