Histoire de la littérature française, Volume 1G. Masson, 1899 - French literature |
Other editions - View all
Common terms and phrases
anciens auteurs Baïf Balzac beau Bellay Belleau Boileau BRELET cartes cartonné toile Chanson de Roland chansons de gestes chant Charlemagne Charles choses classique comédie comique composées contemporains Corneille couplet dame Desportes Dieu dramatique drame écrit écrivains édition époque Étienne Pasquier Faculté des lettres François Ier génie genre Géographie goût Grammaire française grant grec Guillaume Henri Henri Estienne Histoire homme hu et hu imitation Jean Jean Bodel Jodelle l'auteur l'histoire l'œuvre laissé langage langue langue d'oïl latin littéraire LITTÉRATURE FRANÇAISE livre Louis Louis XI lycée Janson-de-Sailly Malherbe Marot ment moderne Montaigne morale mort mourut moyen âge mystères œuvre ouvrages parler passions Pathelin pensée pièces Pierre de Ronsard Pléiade poème poésie poète poétique premier presque prose Rabelais raconte Régnier rimes Roland Roman rondeaux Ronsard Rutebeuf rythme saint Saint-Gelais satire scène sentiments seul Sophonisbe souvent style surtout syllabes théâtre Théophile tragédie versification verve Villon volume xe siècle XIVe siècle XVIIe siècle
Popular passages
Page 228 - Ils rampent bassement, foibles d'inventions, Et n'osent, peu hardis, tenter les fictions, Froids à l'imaginer : car s'ils font quelque chose, ? C'est proser de la rime, et rimer de la prose...
Page 174 - Qui m'est une province et beaucoup davantage ! Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux Que des palais romains le front audacieux ; Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine , Plus mon Loire gaulois que le Tibre latin . Plus mon petit Lire que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la douceur angevine.
Page 233 - Tous les jours à la cour un sot de qualité Peut juger de travers avec impunité ; A Malherbe, à Racan préférer Théophile Et le clinquant du Tasse à tout l'or de Virgile.
Page 257 - Croyez-moi, résistez à vos tentations, Dérobez au public ces occupations , Et n'allez point quitter, de quoi que l'on vous somme , Le nom que dans la cour vous avez d'honnête homme , Pour prendre , de la main d'un avide imprimeur, Celui de ridicule et misérable auteur.
Page 174 - Plus me plaist le séjour qu'ont basty mes ayeux, Que des palais romains le front audacieux : Plus que le marbre dur, me plaist l'ardoise fine. Plus mon Loyre gaulois, que le Tybre latin, Plus mon petit Lyre, que le mont Palatin Et plus que l'air marin, la douceur angevine.
Page 126 - Chez nos dévots aïeux le théâtre abhorré Fut longtemps dans la France un plaisir ignoré. De pèlerins , dit-on , une troupe grossière * En public à Paris y monta la première; Et , sottement zélée en sa simplicité , Joua les Saints , la Vierge, et Dieu , par piété.
Page 232 - Ah! voici le poignard qui du sang de son maître S'est souillé lâchement. Il en rougit, le traître!
Page 167 - Ronsard, qui le suivit, par une autre méthode, Réglant tout, brouilla tout, fit un art à sa mode, Et toutefois longtemps eut un heureux destin. Mais sa muse, en français parlant grec et latin, Vit dans l'âge suivant, par un retour grotesque, Tomber de ses grands mots le faste pédantesque.
Page 129 - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Page 156 - Amyot, dans le cardinal d'Ossat, dans les ouvrages les plus enjoués et dans les plus sérieux ; il avait je ne sais quoi de court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné.