Histoire de la littérature française sous la restauration, Volume 1Lecoffre, 1858 - French literature |
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... appelé par le suffrage de l'Académie à remplacer Joseph Chénier , il prit pour sujet de son discours la nécessité de ne pas considérer les lettres comme un art industriel mais comme une puissance de l'âme , de ne pas séparer , dans un ...
... appelé par le suffrage de l'Académie à remplacer Joseph Chénier , il prit pour sujet de son discours la nécessité de ne pas considérer les lettres comme un art industriel mais comme une puissance de l'âme , de ne pas séparer , dans un ...
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... appelé la Renaissance . Ce sentiment du besoin d'une réforme raisonnable , bientôt exagéré et détourné de son but par l'esprit or- gueilleux et rebelle de Luther et de Calvin , devint le protestantisme , dont le fonds est l'inspiration ...
... appelé la Renaissance . Ce sentiment du besoin d'une réforme raisonnable , bientôt exagéré et détourné de son but par l'esprit or- gueilleux et rebelle de Luther et de Calvin , devint le protestantisme , dont le fonds est l'inspiration ...
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... appelé l'auteur du Génie du christianisme , qui venait de quitter le cardinal Fesch , ambassadeur à Rome . Cette démission audacieusement donnée , qui , pour arri- ver jusqu'à Bonaparte , traversa le silence universel , ne fit pas ...
... appelé l'auteur du Génie du christianisme , qui venait de quitter le cardinal Fesch , ambassadeur à Rome . Cette démission audacieusement donnée , qui , pour arri- ver jusqu'à Bonaparte , traversa le silence universel , ne fit pas ...
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... appelé à être le rédacteur en chef du Journal des Débats : « Quand je dis philosophie du dix - huitième siècle , j'entends tout ce qui est faux en législation , en morale et en politique . » Deux autres plumes plus finement taillées ...
... appelé à être le rédacteur en chef du Journal des Débats : « Quand je dis philosophie du dix - huitième siècle , j'entends tout ce qui est faux en législation , en morale et en politique . » Deux autres plumes plus finement taillées ...
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... appelé Roland , et , en redescen- dant le cours des temps , à mi - chemin du dix - septième siècle , il se serait appelé Bayard : son véritable tort , c'est d'être un anachronisme héroïque . Il faut donc moins s'étonner de voir Fontanes ...
... appelé Roland , et , en redescen- dant le cours des temps , à mi - chemin du dix - septième siècle , il se serait appelé Bayard : son véritable tort , c'est d'être un anachronisme héroïque . Il faut donc moins s'étonner de voir Fontanes ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 271 - O lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir...
Page 289 - Rien, dit-il au frère d'Amélie, rien ne mérite, « dans cette histoire, la pitié qu'on vous montre ici. « Je vois un jeune homme entêté de chimères, à qui « tout déplaît, et qui s'est soustrait aux charges de « la société pour se livrer à d'inutiles rêveries. On «n'est point, monsieur, un homme supérieur parce « qu'on aperçoit le monde sous un jour odieux.
Page 297 - Alors dans Besançon, vieille ville espagnole, Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole, Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix...
Page 271 - O temps, suspends ton vol! et vous, heures propices, Suspendez votre cours! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Page 204 - DANS ce Paris plein d'or et de misère , En l'an du Christ mil sept cent quatre-vingt, Chez un tailleur, mon pauvre et vieux grand-père, Moi, nouveau né, sachez ce qui m'advint. Rien ne prédit la gloire d'un Orphée...
Page 271 - Qui pendent sur tes eaux; Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords, par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés; Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise: Ils ont aimé!
Page 304 - demandait la jeune ombre. « Je suis un prisonnier, je ne suis point un roi. » Hier je m'endormis au fond d'une tour sombre. » Où donc ai-je régné? Seigneur, dites-le-moi.
Page 347 - Un conquérant , dans sa fortune altière , Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Page 348 - Vous vieillirez , ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons , Et bonne vieille , au coin d'un feu paisible , De votre ami répétez les chansons.
Page 63 - Mais, si le législateur se trompant dans son objet, prend un principe différent de celui qui naît de la nature des choses...