Chefs d'oeuvre dramatiques, Volume 1; Volume 31822 |
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affreux aimé Allez amant âme amour Angoulême ARASPE bonheur bonté bras CHATILLON Chefs-d'œuvre cher chrétiens cœur CORASMIN Corinthe courroux craignez crime cruel destin Dieu dieux digne DIMAS douleur ÉGINE enfans enfin époux esclave êtes EUPHÉMON FILS EUPHÉMON PÈRE FATIME FIERENFAT fille frère funeste fureur gloire GRAND-PRÊTRE Hélas héros heureux hymen ICARE infortuné j'ai j'aime J'en j'étais jamais JASMIN JOCASTE jour l'amour l'horreur l'hymen Laïus larmes lieux LISE LUSIGNAN m'aimez MADAME CROUPILLAC main maître malheureux MARTHE maux moi-même momens Monsieur monstre mont Cithéron mort mortel NÉRESTAN ô Ciel OEDIPE OROSMANE outrage pardonne parler PERSONNAGE DU CHOEUR peuple peut-être PHILOCTÈTE PHORBAS pitié pleurs Polybe punir rien rois RONDON sais sang sauver SCÈNE PREMIÈRE secret Seigneur sentimens sérail sermens seul soin Solyme sort soudan souffrir soupçon soupirs suis-je supplice tendre tendresse Thébains Thèbe trahir traître tremble trépas triste trône trouble vertu veux viens vœux vois voix yeux ZAÏRE
Popular passages
Page 67 - L'E voilà donc rempli cet oracle exécrable, Dont ma crainte a pressé l'effet inévitable ; Et je me vois enfin, par un mélange affreux, Inceste et parricide, et pourtant vertueux. Misérable vertu , nom stérile et funeste , Toi par qui j'ai réglé des jours que je déteste, A mon noir ascendant tu n'as pu résister : Je tombais dans le piège, en voulant l'éviter.
Page 203 - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines...
Page 204 - En ces lieux où mon bras le servit tant de fois, En ces lieux où son sang te parle par ma voix. Vois ces murs, vois ce temple envahi par tes maîtres: Tout annonce le Dieu qu'ont vengé tes ancêtres. Tourne...
Page 203 - bras, mes enfants, je ne puis m'arracher. Je vous revois enfin, chère et triste famille, Mon fils, digne héritier... vous... hélas ! vous, ma fille ! Dissipez mes soupçons, ôtez-moi cette horreur, Ce trouble qui m'accable au comble du bonheur. Toi qui seul as conduit sa fortune et la mienne, Mon Dieu qui me la rends, me la rends-tu chrétienne ? Tu pleures, malheureuse, et tu baisses les yeux ! Tu te tais ! je t'entends ! ô crime ! ô justes cieux ! ZAÏRE.