Les originesImp. Lemercier & cie, 1883 - 8 pages |
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... degrés distincts sur l'échelle du développement de l'esprit humain . Si nous en venons à la science positive nous ne serons pas davantage amenés à conclure qu'elle est inconciliable . avec la théologie et la métaphysique . Je reconnais ...
... degrés distincts sur l'échelle du développement de l'esprit humain . Si nous en venons à la science positive nous ne serons pas davantage amenés à conclure qu'elle est inconciliable . avec la théologie et la métaphysique . Je reconnais ...
Page 21
... degré de réalité qu'elle devient l'objet d'un culte n'est pas le simple total de l'addition des phénomènes particuliers ; elle dépasse toutes les constatations empiriques , plus peut - être que ces gra- ( 1 ) Discours sur l'ensemble du ...
... degré de réalité qu'elle devient l'objet d'un culte n'est pas le simple total de l'addition des phénomènes particuliers ; elle dépasse toutes les constatations empiriques , plus peut - être que ces gra- ( 1 ) Discours sur l'ensemble du ...
Page 43
... degrés in- férieurs de l'indétermination jusqu'à la vie la plus riche , la plus compréhensive , la mieux déterminée , telle qu'elle nous apparaît dans l'humanité . Dans sa théorie de la connaissance qui doit seule nous occuper ...
... degrés in- férieurs de l'indétermination jusqu'à la vie la plus riche , la plus compréhensive , la mieux déterminée , telle qu'elle nous apparaît dans l'humanité . Dans sa théorie de la connaissance qui doit seule nous occuper ...
Page 47
... degré de déve- loppement entre l'antécédent et le conséquent un élément qui n'était pas dans l'antécédent . « Si petit que soit l'inter- valle , il est infranchissable pour la pensée . Le second état est le premier plus quelque chose ...
... degré de déve- loppement entre l'antécédent et le conséquent un élément qui n'était pas dans l'antécédent . « Si petit que soit l'inter- valle , il est infranchissable pour la pensée . Le second état est le premier plus quelque chose ...
Page 48
... degrés de développement ; elle rend compte de la série des phénomènes mécaniques , mais non pas des formes successives dont ils sont comme la matière . Il n'y a que deux alternatives ou bien ce qui appartient au terme du développement ...
... degrés de développement ; elle rend compte de la série des phénomènes mécaniques , mais non pas des formes successives dont ils sont comme la matière . Il n'y a que deux alternatives ou bien ce qui appartient au terme du développement ...
Common terms and phrases
absolu acte Aristote atomes Auguste Comte avons caractère cause cause finale cerveau chimiques choses Claude Bernard conditions connaissance conscience conséquent constitue Darwin degré déterminisme développement Dieu distinction divin domine éléments elle-même explication facultés finalité force forme Germer-Baillière Herbert Spencer idées implique instinctive intellectuelle intuition jamais Janet Kant l'absolu l'âme l'animal l'esprit humain l'état l'être vivant l'évolution l'existence l'hérédité l'homme l'humanité l'idée l'Inconscient l'instinct l'intelligence l'organisme l'utilitarisme liberté lois lui-même Maine de Biran manifeste matérialisme matière mécanique ment métaphysique monde monisme morale mouvement nature notion noumène organique ouvrage cité pensée phénomènes philosophie physiologique physique positivisme possible première primitive principe de causalité produit progrès propre psychologie pure qu'une raison réalité religion résultat rien science positive sélection sélection naturelle sélection sexuelle sens sensation sentiment serait seulement simple social société humaine sociétés animales sorte sphère spontanée Stuart Mill substance suffit supérieur système théisme théorie théorie de l'évolution tion transformation vérité volonté vrai
Popular passages
Page 18 - Regrettez-vous le temps où le ciel sur la terre Marchait et respirait dans un peuple de dieux? Où Vénus Astarté, fille de l'onde amère, Secouait, vierge encor, les larmes de sa mère, Et fécondait le monde en tordant ses cheveux?
Page 80 - ... j'ai en quelque façon premièrement en moi la notion de l'infini que du fini, c'est-à-dire de Dieu que de moi-même ; car comment serait-il possible que je pusse connaître que je doute et que je désire, c'est-à-dire qu'il me manque quelque chose et que je ne suis pas tout parfait, si je n'avais en moi aucune idée d'un être plus parfait que le mien, par la comparaison duquel je connaîtrais les défauts de ma nature?
Page 149 - De sorte que ce qui caractérise la machine vivante, ce n'est pas la nature de ses propriétés physico-chimiques, si complexes qu'elles soient, mais bien la création de cette machine qui se développe sous nos yeux dans...
Page 135 - ... des événements moraux : de même, dans l'histoire naturelle, il faut fouiller les archives du monde, tirer des entrailles de la terre les vieux monuments, recueillir leurs débris, et rassembler en un corps de preuves tous les indices des changements physiques qui peuvent nous faire remonter aux différents âges de la nature. C'est le...
Page 2 - Enfin, dans l'état positif, l'esprit humain reconnaissant l'impossibilité d'obtenir des notions absolues, renonce à chercher l'origine et la destination de l'univers, et à connaître les causes intimes des phénomènes, pour s'attacher uniquement à découvrir, par l'usage bien combiné du raisonnement et de l'observation, leurs lois effectives, c'est-cVdire leurs relations invariables de succession et de similitude.
Page 2 - Dans l'état théologique, l'esprit humain, dirigeant essentiellement ses recherches vers la nature intime des êtres, les causes premières et finales de tous les effets qui le frappent, en un mot, vers les connaissances absolues, se représente les phénomènes comme produits par l'action directe et continue d'agents surnaturels plus ou moins nombreux, dont l'intervention arbitraire explique toutes les anomalies apparentes de l'univers.
Page 78 - Un autre est de penser, et je trouve ici que la pensée est un attribut qui m'appartient : elle seule ne peut être détachée de moi. Je suis, j'existe : cela est certain : mais combien de temps? Autant de temps que je pense; car peut-être même qu'il se pourrait faire, si je cessais totalement de penser, que je cesserais en même temps tout à fait d'être. Je n'admets maintenant rien qui ne soit nécessairement vrai : je ne suis donc, précisément parlant, qu'une chose qui pense...
Page 256 - L'ESPRIT ET LE CORPS considérés au point de vue de leurs relations, avec figures. If édition . . , 6 fr. Pettlgrew. LA LOCOMOTION CHEZ LES ANIMAUX, avec 130 fig. . 6 fr. Herbert Spencer. INTRODUCTION A LA SCIENCE SOCIALE. 5
Page 80 - Dieu se trouve contenue, par la même faculté par laquelle je me conçois moi-même, c'est-à-dire que lorsque je fais réflexion sur moi, non -seulement je connais que je suis une chose imparfaite, incomplète et dépendante d'autrui, qui tend et qui aspire sans cesse à quelque chose de meilleur et de plus grand que je ne suis...
Page 17 - L'idée expérimentale résulte d'une sorte de pressentiment de l'esprit qui juge que les choses doivent se passer d'une certaine manière. On peut dire sous ce rapport que nous avons dans l'esprit l'intuition ou le sentiment des lois de la nature, mais nous n'en connaissons pas la forme. L'expérience peut seule nous l'apprendre.