L'avare. Monsieur de Pourceaugnac. Les amants magnifiques. Le bourgeois gentilhomme. Psyché. Les fourberies de Scapin. La comtesse d'Escarbagnas. Les femmes savantes. Le malade imaginaire. Poésies diversesCharpentier, 1858 |
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... peut répondre avec Diderot : « Si l'on croit qu'il y ait beaucoup plus d'hommes ca- pables de faire Pourceaugnac que le Misanthrope , on se trompe . » > MONSIEUR DE POURCEAUGNAC . ORONTE 2 . JULIE , fille 9 . NOTICE . 101.
... peut répondre avec Diderot : « Si l'on croit qu'il y ait beaucoup plus d'hommes ca- pables de faire Pourceaugnac que le Misanthrope , on se trompe . » > MONSIEUR DE POURCEAUGNAC . ORONTE 2 . JULIE , fille 9 . NOTICE . 101.
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Molière. MONSIEUR DE POURCEAUGNAC . ORONTE 2 . JULIE , fille d'Oronte ' . ERASTE , amant de Julie ' . NÉRINE , femme d'intrigue , feinte Picarde " . LUCETTE , feinte Gasconne " . SBRIGANI , Napolitain , homme d'intrigue . PREMIER MÉDECIN ...
Molière. MONSIEUR DE POURCEAUGNAC . ORONTE 2 . JULIE , fille d'Oronte ' . ERASTE , amant de Julie ' . NÉRINE , femme d'intrigue , feinte Picarde " . LUCETTE , feinte Gasconne " . SBRIGANI , Napolitain , homme d'intrigue . PREMIER MÉDECIN ...
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... Julie , et expriment les sentiments de deux amants qui sont traversés dans leurs amours par le caprice de leurs parents . ) UNE MUSICIENNE . Répands , charmante nuit , répands sur tous les yeux De tes pavots la douce violence ; Et ne ...
... Julie , et expriment les sentiments de deux amants qui sont traversés dans leurs amours par le caprice de leurs parents . ) UNE MUSICIENNE . Répands , charmante nuit , répands sur tous les yeux De tes pavots la douce violence ; Et ne ...
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... JULIE , ÉRASTE , NÉRINE . JULIE . Mon Dieu ! Éraste , gardons d'être surpris . Je tremble qu'on ne nous voie ensemble , et tout seroit perdu , après la défense que l'on n'a faite . ÉRASTE . Je regarde de tous côtés , et je n'aperçois ...
... JULIE , ÉRASTE , NÉRINE . JULIE . Mon Dieu ! Éraste , gardons d'être surpris . Je tremble qu'on ne nous voie ensemble , et tout seroit perdu , après la défense que l'on n'a faite . ÉRASTE . Je regarde de tous côtés , et je n'aperçois ...
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... Julie . Par ma foi , voilà votre père . Ah ! séparons - nous vite . JULIE . NÉRINE . Non , non , non , ne bougez ; je m'étois trompée . JULIE . Mon Dieu ! Nérine , que tu es sotte de nous donner de ces frayeurs ! ÉRASTE . Oui , belle Julie ...
... Julie . Par ma foi , voilà votre père . Ah ! séparons - nous vite . JULIE . NÉRINE . Non , non , non , ne bougez ; je m'étois trompée . JULIE . Mon Dieu ! Nérine , que tu es sotte de nous donner de ces frayeurs ! ÉRASTE . Oui , belle Julie ...
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AGLAURE Aimé Martin Allons amant amour ANAXARQUE ANGÉLIQUE ARGAN ARISTE ARISTIONE ARMANDE avez beau BÉLINE BÉLISE belle BÉRALDE bergers chantants charmes chose CHRYSALE CIDIPPE ciel CLÉANTE CLÉONTE CLITANDRE CLITIDAS cœur comédie COMTESSE Comtesse d'Escarbagnas COVIELLE CRIQUET Dieu dire donner DORANTE DORIMÈNE douceur doux ÉLISE ENTRÉE DE BALLET ÉRASTE ÉRIPHILE Est-ce êtes étoit femme fille FROSINE GÉRONTE grace HARPAGON HENRIETTE homme HYACINTE IPHICRATE j'ai JULIE l'amour laquais LÉANDRE LOUISON LUCILE m'en MADAME JOURDAIN MAITRE MAÎTRE A DANSER MAÎTRE DE MUSIQUE MAÎTRE DE PHILOSOPHIE MAÎTRE JACQUES mariage Molière monde MONSIEUR DE POURCEAUGNAC MONSIEUR DIAFOIRUS MONSIEUR JOURDAIN MONSIEUR PURGON MONSIEUR TIBAUDIER MUPHTI MUSICIEN NÉRINE NICOLE OCTAVE ORONTE parler père personne PHILAMINTE POLICHINELLE PREMIER MÉDECIN princesse PSYCHÉ Qu'est-ce raison rien sais sauroit SBRIGANI SCAPIN seroit sieurs sœur SOSTRATE soupirs SYLVESTRE THOMAS DIAFOIRUS TIRCIS TOINETTE TRISSOTIN Turc VADIUS VALÈRE VÉNUS veut veux VICOMTE voilà vois voudrois voulez-vous yeux ZERBINETTE
Popular passages
Page 249 - Jourdain. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 523 - C'est à vous que je parle, ma sœur. Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats. Vous devriez brûler tout ce meuble inutile, Et laisser la science aux docteurs de la ville...
Page 80 - Ah ! c'est moi ! Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et.
Page 506 - Je consens qu'une femme ait des clartés de tout ; Mais je ne lui veux point la passion choquante De se rendre savante , afin d'être savante , Et j'aime que souvent, aux questions qu'on fait, Elle sache ignorer les choses qu'elle sait; De son étude, enfin, je veux qu'elle se cache , Et qu'elle ait du savoir sans vouloir qu'on le sache, Sans citer les auteurs, sans dire de grands mots Et clouer de l'esprit à ses moindres propos.
Page 654 - Rien. Il ne faut que demeurer en repos. La nature d'elle-même, quand nous la laissons faire, se tire doucement du désordre où elle est tombée. C'est notre inquiétude, c'est notre impatience qui gâte tout, et presque tous les hommes meurent de leurs remèdes, et non pas de leurs maladies.
Page 522 - J'aime bien mieux, pour moi , qu'en épluchant ses herbes Elle accommode mal les noms avec les verbes , Et redise cent fois un bas et méchant mot, Que de brûler ma viande , ou saler trop mon pot : Je vis de bonne soupe , et non de beau langage.
Page 405 - C'est par là que Molière, illustrant ses écrits, Peut-être de son art eût remporté le prix, Si, moins ami du peuple, en ses doctes peintures II n'eût point fait souvent grimacer ses figures, Quitté, pour le bouffon, l'agréable et le fin, Et sans honte à Térence allié Tabarin. Dans ce sac ridicule où Scapin s'enveloppe, Je ne reconnais plus l'auteur du Misanthrope.
Page 540 - Nous serons, par nos lois, les juges des ouvrages ; Par nos lois, prose et vers, tout nous sera soumis : Nul n'aura de l'esprit, hors nous et nos amis.
Page 557 - Il semble à trois gredins, dans leur petit cerveau, Que pour être imprimés, et reliés en veau, Les voilà dans l'État d'importantes personnes; Qu'avec leur plume ils font les destins des...
Page 554 - Nous l'avons, en dormant, Madame, échappé belle : Un monde près de nous a passé tout du long, Est chu tout au travers de notre tourbillon ; Et s'il eût en chemin rencontré notre terre, Elle eût été brisée en morceaux comme verre.