128 129 130 131 133 134 135 il a chassé le roi Jacques II, son beau-père. Il étoit né le 13 novembre 1650. 2 Le duc Charles de Lorraine, beau-frère de l'empereur Léopold premier. I Le faux bruit de la mort du prince d'Orange, qu'on croyoit avoir été tué au combat de la Boyne. 2 Le prince d'Orange. 3 Le roi Jacques II. I Louis XIV, qui donna retraite à Jacques II et à toute sa famille, après qu'il cut été obligé de se retirer d'Angleterre. 2 L'empereur. 3 Le Turc. 4 Le pape Innocent XI. 1 Les Anglois. Les balles de mousquet. 2 Les boulets de canon. 3 Les bombes. I C'est sans doute ce morceau qui aura donné à Voltaire l'idée de son ingénieux conte de Micromégas. 2 Le prince d'Orange. 3 L'Angleterre. 1 Le prince d'Orange, devenu plus puissant 135 136 par la couronne d'Angleterre, s'étoit rendu maître absolu en Hollande, et y faisoit ce qu'il lui plaisoit. 2 Les Anglois. 3 Allusion à ce qui se passa en 1690 à la Haye, lors du premier retour du prince d'Orange de l'Angleterre, où les ligués se rendirent, et où le duc de Baviere fut long-temps à attendre dans l'antichambre. I L'empereur. 2 Armes de la maison d'Autriche. CHAPITRE XIII. Pages 137 138 DE LA MODE. Sachot, curé de Saint-Gervais, qui exhor→ toit toutes les personnes de qualité à la mort. Le père Bourdaloue lui succéda dans cet emploi. 2 Caboust, sieur des Costeaux, avocat au parlement. 1 Marlet, avocat. 139 Le père Menestrier, jésuite. 2 De Gaignieres, écuyer de mademoiselle de Guise; ou M. de Beringhem, premier écuyer du roi. 142 146 148 150 151 I Amelot. Sa maison étoit dans la vieille rue du Temple. I Morin le joueur. 2 Ces barbeaux, qui croissent parmi les seigles furent un été à la mode dans Paris. Les dames en mettoient pour bouquet. I De Bourlon. Habits des Orientaux. I Offensives et défensives. 2 Le duc de Beauvilliers. 3 Fausse dévotion. 152 I Faux dévot. 354 2 Le duc de Beauvilliers, gouverneur des enfants de France, et chef du conseil des finances. Il s'empara de tout le bien du duc de Saint-Aignan son père, n'en paya point les dettes, et se jeta dans la dévotion. Il fit faire à Saint-Aignan en Berri un banc de menuiserie d'une élévation semblable aux chaires des évêques. I De Mauroy, qui, étant mousquetaire, se fit prêtre à Saint-Lazare où il avoit été 156 158 mis pour son libertinage. Il y vécut douze arts d'une manière assez régulière, ce qui lui fit donner la cure des Invalides, mais ensuite il revint à ses premiers excès; et ses dépenses avec les femmes furent telles que pour les soutenir il engagea le patrimoine des Invalides : après avoir entretenu assez long-temps mademoiselle Doujat, il avoit fini par lui donner cinquante mille francs en la mariant avec M. le Boindre, conseiller au Parlement. Tout ceci s'étant ensuite découvert, il fut condamné à une prison perpétuelle, et envoyé à l'abbaye des Bernardins de Sept-Fonts, où il mʊu, rut assez repentant de sa vie déréglée. Pages. 163 USAGES. *Allusion au pélican que portent MM. Ie Camus dans leurs armes. 164 Allusion à ce que Monsieur, pour s'approcher demonseigneur le Dauphin, ne vouloir La Bruyere, 2. 25 164 165 plus qu'on le traitât d'Altesse royale, mais qu'on lui parlât par Vous, comme l'on faisoit à Monseigneur et aux Enfants de France. Les autres princes, à son exemple, ne veulent plus être traités d'Al tesse, mais simplement de Vous. 2 De Dangeau: ou bien le Camus de Vienne, 3 Laugeois, qui se fait appeler de Laugeois. 2 Sonnin, fils de Sonnin receveur de Paris, 4 Maison religieuse qui, pour jouir des pri 2 Le motet, traduit en vers françois par L. L.... 3 Allusion aux saluts des pères Théatins, composés par Laurentani, Italien, qui |