Godefroi de BouillonMame, 1874 - 349 pages |
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Albert d'Aix Alexis Anne Comnène Antioche armée arméniens armes assiégés avaient baronnage barons bataille Baudouin bientôt Boémond Boulogne C'était calife camp chefs chevalerie chevaliers chrétiens combat Comnène compagnons comte de Toulouse comte de Verdun conquête Constantinople corps coup croisade croisés d'Alexis d'Antioche d'armes d'Ascalon d'Édesse d'Occident devant Dieu duc de Lorraine duc Godefroi ennemis Eustache évêques féodale fief Firouz Flandre Foucher de Chartres foule frère garnison Germanie Godefroi de Bouillon Godefroi le Barbu grec guerre Guillaume de Tyr Henri historiens infidèles Jérusalem jour Kerbogha l'armée l'Église l'émir l'empereur l'empire L'Estoire d'Eracles l'évêque l'Oronte laisser lance maison d'Ardennes ment mille hommes montagnes mort musulmans n'avait n'était Nicée Normandie pèlerinage pèlerins pendant péril peuple Pierre l'Ermite plaine pont porte princes Provençaux Raimond d'Agilers remparts reste rival Robert royaume s'était Sarrasins seigneurs Seldjoukides seul siége soldats sorte sultan suzerain Syrie Tancrède tête tion tour troupes trouva Turcs vassaux
Popular passages
Page 132 - Robert, de la noblesse la plus illustre. Je ne sais qu'une chose, c'est que dans mon pays on voit près d'une église une place où se rendent tous ceux qui brûlent de signaler leur valeur. J'y suis allé souvent, sans que personne ait osé se présenter devant moi.
Page 15 - Nouveaux éclaircissements sur la question du lieu de naissance de Godefroi de Bouillon, en réponse à une notice de M. le recteur de l'Université de Louvain sur le même sujet; par l'abbé E. Barbe. — In-8°, 139 pages.
Page 315 - En outre de son armée féodale, et il comptait parmi ses sujets des Arméniens, des Grecs, des Juifs, des Arabes, des renégats de toutes les religions et des aventuriers de tous les pays. L'État confié à ses soins était comme un lieu de passage, et n'avait pour appui et pour défenseurs que des voyageurs et des étrangers. Il était le rendez-vous et l'asile des grands pécheurs, qui y venaient pour fléchir la colère de * L'Eftoire «fÊradei, Kv.
Page 141 - Iconoclastes. saintes images , et le synode rendit contre ces perfides hérétiques une sentence de condamnation bien méritée , telle qu'il convenait à l'Église orthodoxe de la prononcer. La ville est située au milieu d'une plaine, dans une position extrêmement favorable : elle est à peu de distance des montagnes qui l'enveloppent presque de tous côtés -, la campagne est riche , le sol fertile et les vastes forêts qui l'avoisinent offrent encore de nombreux avantages. Un lac spacieux en...
Page 167 - ... lorsque les Turcs commencèrent à se battre contre eux, ils furent presque réduits au désespoir , par l'étonnement que leur causèrent les armes dont ceux-ci se servaient , et dont les nôtres n'avaient aucune connaissance. Les Francs ne pouvaient non plus se faire aucune idée de leur extrême dextérité dans le maniement des chevaux et de la promptitude avec laquelle ils évitent les attaques et les coups de leurs ennemis , ayant l'habitude de ne combattre et de ne lancer leurs flèches...
Page 288 - ... des murailles, et suivant l'enceinte extérieure de la ville en toute humilité , rentrant ensuite par la porte qui fait face à la montagne des Oliviers , il alla se présenter devant le sépulcre de notre Seigneur Jésus-Christ, fils du Dieu vivant, versant des larmes , prononçant des prières , chantant les louanges de Dieu et lui rendant grâces , pour avoir été jugé digne de voir ce qu'il avait toujours si ardemment désiré. L'accomplissement des pieuses intentions du duc démontra...
Page 269 - ... ne pouvaient se rassasier de sa douceur. Cette espèce de plante est cultivée tous les ans par les agriculteurs de ce pays avec un soin infini. A l'époque de la moisson, et lorsque la canne a mûri , les indigènes la broient dans des mortiers, font filtrer le suc qu'ils en ont extrait et le recueillent dans des vases où ils le laissent reposer jusqu'à ce qu'il soit pris et durci, présentant alors i.
Page 167 - Francs eux-mêmes , qui affrontèrent un si grand danger , reconnaissent qu'ils n'ont vu aucune race d'hommes qui puisse être comparée à celle des Turcs, pour la finesse de l'esprit et pour la vaillance dans les combats ; et de plus lorsque les Turcs commencèrent à se battre contre eux...
Page 260 - choisissons parmi les chevaliers un homme fort, que « nous servirons fidèlement , et avec lequel nous puis« sions être en sûreté ; et si la grâce de Dieu est avec « nous , rendons-nous à Jérusalem , sous la conduite « de ce même chevalier. Quoi donc? Ne suffit-il pas « à nos princes que nous soyons demeurés ici pendant « un an, et que deux cent mille hommes armés y aient « succombé ? Que ceux qui le veulent reçoivent l'or « de l'empereur, que ceux qui le veulent reçoivent «...