Nouveaux essais sur la littérature contemporaine |
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... tion lui revenir , et trois biographes , qui ne s'étaien pas sans doute entendus , essayer , en les dégagea du vague plutôt que de l'oubli , de préciser son rô et sa physionomie . Le Bernardin de Saint - Pierre de M. de Lescure paru le ...
... tion lui revenir , et trois biographes , qui ne s'étaien pas sans doute entendus , essayer , en les dégagea du vague plutôt que de l'oubli , de préciser son rô et sa physionomie . Le Bernardin de Saint - Pierre de M. de Lescure paru le ...
Page 13
... tion qu'il devait y avoir , dans le Paris de 1770 , plus d'une demoiselle Girault , voilà qui explique bien des choses ! Notez après cela , que , pour être aussi résolu- ment déterministe que M. Taine lui - même , cette fille d'esprit n ...
... tion qu'il devait y avoir , dans le Paris de 1770 , plus d'une demoiselle Girault , voilà qui explique bien des choses ! Notez après cela , que , pour être aussi résolu- ment déterministe que M. Taine lui - même , cette fille d'esprit n ...
Page 33
... tion . L'auteur de l'Essai sur l'Indifférence n'a rien eu d'un « < moraliste » , au sens du moins où l'on entend ce mot quand on songe aux Essais de M. Nicole , par exemple , ou aux Sermons de Bourdaloue . Il a connu l'homme en général ...
... tion . L'auteur de l'Essai sur l'Indifférence n'a rien eu d'un « < moraliste » , au sens du moins où l'on entend ce mot quand on songe aux Essais de M. Nicole , par exemple , ou aux Sermons de Bourdaloue . Il a connu l'homme en général ...
Page 62
... tion ? Mais il sait bien qu'en 1845 ou 1842 nous n'étions pas en 1891 , et s'il le sait , pourquoi écrit - il comme s'il ne le savait pas ? Aussi bien touchons - nous ici le grand défaut du livre de M. Biré . D'une manière générale , il ...
... tion ? Mais il sait bien qu'en 1845 ou 1842 nous n'étions pas en 1891 , et s'il le sait , pourquoi écrit - il comme s'il ne le savait pas ? Aussi bien touchons - nous ici le grand défaut du livre de M. Biré . D'une manière générale , il ...
Page 79
... tion , et , quoiqu'il n'eût pas été bercé « sur les genoux d'une duchesse » , il y avait une habitude naturelle d'esprit , si je puis ainsi dire , déjà trop aristocratique , pour qu'il pût s'accommoder de ce que les ennemis du ...
... tion , et , quoiqu'il n'eût pas été bercé « sur les genoux d'une duchesse » , il y avait une habitude naturelle d'esprit , si je puis ainsi dire , déjà trop aristocratique , pour qu'il pût s'accommoder de ce que les ennemis du ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 139 - Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, — Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.
Page 139 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 172 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t*aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 152 - Elle file, elle coud, et garde à la maison Un père vieux , aveugle et privé de raison. Si , pour chasser de lui la terreur délirante , Elle chante parfois , une toux déchirante La prend dans sa chanson , pousse en sifflant un cri , Et lance les graviers de son poumon meurtri.
Page 137 - Dont la serrure grince et rechigne en criant, Ou dans une maison déserte quelque armoire Pleine de l'acre odeur des temps, poudreuse et noire, Parfois on trouve un vieux flacon qui se souvient, D'où jaillit toute vive une âme qui revient.
Page 140 - Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer...
Page 151 - Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas.
Page 140 - Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s'exhale des ordures, Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement...
Page 167 - TEL qu'un morne animal, meurtri, plein de poussière, La chaîne au cou, hurlant au chaud soleil d'été, Promène qui voudra son cœur ensanglanté Sur ton pavé cynique, ô plèbe carnassière ! Pour mettre un feu stérile en ton œil hébété, Pour mendier ton rire ou ta pitié grossière, Déchire qui voudra la robe de lumière De la pudeur divine et de la volupté.
Page 167 - Dans mon orgueil muet, dans ma tombe sans gloire, Dussé-je m'engloutir pour l'éternité noire, Je ne te vendrai pas mon ivresse ou mon mal, Je ne livrerai pas ma vie à tes huées, Je ne danserai pas sur ton tréteau banal Avec tes histrions et tes prostituées.