Nouveaux essais sur la littérature contemporaine |
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... seulement en France , mais dans toute l'Europe lisante , et jusque par delà les mers , Bernardin de Saint - Pierre est l'auteur de Paul et Virginie . Pour quelques artistes , pour quel- ques curieux , pour les historiens de la ...
... seulement en France , mais dans toute l'Europe lisante , et jusque par delà les mers , Bernardin de Saint - Pierre est l'auteur de Paul et Virginie . Pour quelques artistes , pour quel- ques curieux , pour les historiens de la ...
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... seulement par une autre lettre , datée du 1er août 1771 , que , toujours soucieuse de contenter les moindres désirs de l'ami de son frère , mademoi- selle Girault lui avait ménagé dans les environs de Rouen , chez une dame Burel , une ...
... seulement par une autre lettre , datée du 1er août 1771 , que , toujours soucieuse de contenter les moindres désirs de l'ami de son frère , mademoi- selle Girault lui avait ménagé dans les environs de Rouen , chez une dame Burel , une ...
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... seulement les femmes réunissent les homme entre eux par les liens de la nature , mais encore på ceux de la société . Remplies pour eux des affection les plus tendres , elles les unissent à celles de la div nité , qui en est la source ...
... seulement les femmes réunissent les homme entre eux par les liens de la nature , mais encore på ceux de la société . Remplies pour eux des affection les plus tendres , elles les unissent à celles de la div nité , qui en est la source ...
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... seulement des mots ou des traits , mais - 1. I. Lamennais , étude d'histoire politique et religieuse , par M. E. Spuller . Paris , 1892 ; Hachette . II . Lamennais , d'après les documents inédits , par M. A. Roussel , de l'Oratoire de ...
... seulement des mots ou des traits , mais - 1. I. Lamennais , étude d'histoire politique et religieuse , par M. E. Spuller . Paris , 1892 ; Hachette . II . Lamennais , d'après les documents inédits , par M. A. Roussel , de l'Oratoire de ...
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... seulement un « penseur » > ? C'est un titre au moins qu'Edmond Scherer , dans une très belle Étude , lui a jadis durement contesté . M. Ravaisson , dans son mémorable Rapport sur la philosophie en France au XIXe siècle , et M. Paul ...
... seulement un « penseur » > ? C'est un titre au moins qu'Edmond Scherer , dans une très belle Étude , lui a jadis durement contesté . M. Ravaisson , dans son mémorable Rapport sur la philosophie en France au XIXe siècle , et M. Paul ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 139 - Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, — Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.
Page 139 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 172 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t*aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 152 - Elle file, elle coud, et garde à la maison Un père vieux , aveugle et privé de raison. Si , pour chasser de lui la terreur délirante , Elle chante parfois , une toux déchirante La prend dans sa chanson , pousse en sifflant un cri , Et lance les graviers de son poumon meurtri.
Page 137 - Dont la serrure grince et rechigne en criant, Ou dans une maison déserte quelque armoire Pleine de l'acre odeur des temps, poudreuse et noire, Parfois on trouve un vieux flacon qui se souvient, D'où jaillit toute vive une âme qui revient.
Page 140 - Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer...
Page 151 - Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas.
Page 140 - Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s'exhale des ordures, Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement...
Page 167 - TEL qu'un morne animal, meurtri, plein de poussière, La chaîne au cou, hurlant au chaud soleil d'été, Promène qui voudra son cœur ensanglanté Sur ton pavé cynique, ô plèbe carnassière ! Pour mettre un feu stérile en ton œil hébété, Pour mendier ton rire ou ta pitié grossière, Déchire qui voudra la robe de lumière De la pudeur divine et de la volupté.
Page 167 - Dans mon orgueil muet, dans ma tombe sans gloire, Dussé-je m'engloutir pour l'éternité noire, Je ne te vendrai pas mon ivresse ou mon mal, Je ne livrerai pas ma vie à tes huées, Je ne danserai pas sur ton tréteau banal Avec tes histrions et tes prostituées.