Nouveaux essais sur la littérature contemporaine |
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... race et de nom qu'il s'attribuait ; et de sa beauté . ― - - Nous avons quelques - unes des lettres de la prin cesse Marie Miesnik à Bernardin de Saint - Pierre , et elles sont caractéristiques . Elles changent un peu de l'air de roman ...
... race et de nom qu'il s'attribuait ; et de sa beauté . ― - - Nous avons quelques - unes des lettres de la prin cesse Marie Miesnik à Bernardin de Saint - Pierre , et elles sont caractéristiques . Elles changent un peu de l'air de roman ...
Page 52
... à saisir , de son éducation et surtout de sa race ? Il était de Saint - Malo , mais La Mettrie , par exemple , l'auteur de l'Homme machine , n'en était - il pas aussi ? Et il était Breton , mais s'il y a quelque 52 NOUVEAUX ESSAIS.
... à saisir , de son éducation et surtout de sa race ? Il était de Saint - Malo , mais La Mettrie , par exemple , l'auteur de l'Homme machine , n'en était - il pas aussi ? Et il était Breton , mais s'il y a quelque 52 NOUVEAUX ESSAIS.
Page 166
... race des faux élégiaques qui croyaient le représenter . —- II - Et au fait ils le représentaient , puisque , si l'on cherche quel a été chez nous , en France , le caractère essentiel du romantisme , on n'en trouvera pas de plus général ...
... race des faux élégiaques qui croyaient le représenter . —- II - Et au fait ils le représentaient , puisque , si l'on cherche quel a été chez nous , en France , le caractère essentiel du romantisme , on n'en trouvera pas de plus général ...
Page 170
... race que Leconte de Lisle a essayé d'immortaliser dans ses vers , dans Qain , dans la Vigne de Naboth , dans Néférou - Ra , dans la Vérandah , dans la Mort de Valmiki , dans l'Épée d'Angantyr , — et tant d'autres poèmes qui diffèrent ...
... race que Leconte de Lisle a essayé d'immortaliser dans ses vers , dans Qain , dans la Vigne de Naboth , dans Néférou - Ra , dans la Vérandah , dans la Mort de Valmiki , dans l'Épée d'Angantyr , — et tant d'autres poèmes qui diffèrent ...
Page 176
... races dispa- rues laissent en mémoire d'elles aux races qui les remplacent , c'est dans les symboles de la religion que l'a cherchée l'auteur des Poèmes antiques et des Poèmes barbares . Tel est le sens de Surya , de Bha- gavat , de la ...
... races dispa- rues laissent en mémoire d'elles aux races qui les remplacent , c'est dans les symboles de la religion que l'a cherchée l'auteur des Poèmes antiques et des Poèmes barbares . Tel est le sens de Surya , de Bha- gavat , de la ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 139 - Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, — Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.
Page 139 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 172 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t*aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 152 - Elle file, elle coud, et garde à la maison Un père vieux , aveugle et privé de raison. Si , pour chasser de lui la terreur délirante , Elle chante parfois , une toux déchirante La prend dans sa chanson , pousse en sifflant un cri , Et lance les graviers de son poumon meurtri.
Page 137 - Dont la serrure grince et rechigne en criant, Ou dans une maison déserte quelque armoire Pleine de l'acre odeur des temps, poudreuse et noire, Parfois on trouve un vieux flacon qui se souvient, D'où jaillit toute vive une âme qui revient.
Page 140 - Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer...
Page 151 - Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas.
Page 140 - Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s'exhale des ordures, Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement...
Page 167 - TEL qu'un morne animal, meurtri, plein de poussière, La chaîne au cou, hurlant au chaud soleil d'été, Promène qui voudra son cœur ensanglanté Sur ton pavé cynique, ô plèbe carnassière ! Pour mettre un feu stérile en ton œil hébété, Pour mendier ton rire ou ta pitié grossière, Déchire qui voudra la robe de lumière De la pudeur divine et de la volupté.
Page 167 - Dans mon orgueil muet, dans ma tombe sans gloire, Dussé-je m'engloutir pour l'éternité noire, Je ne te vendrai pas mon ivresse ou mon mal, Je ne livrerai pas ma vie à tes huées, Je ne danserai pas sur ton tréteau banal Avec tes histrions et tes prostituées.