Nouveaux essais sur la littérature contemporaine |
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... jours du monde , p un effet assez peu connu de la bonté de la Providen « des cadavres furent créés pour les animaux carna siers >> . - - C'est l'occasion ici de dire qu'après cela et mal cela , les Études de la nature n'en demeurent p ...
... jours du monde , p un effet assez peu connu de la bonté de la Providen « des cadavres furent créés pour les animaux carna siers >> . - - C'est l'occasion ici de dire qu'après cela et mal cela , les Études de la nature n'en demeurent p ...
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... jours , qui se mire ainsi , comme une jolie femme , dans le souvenir de ses grâces un peu fanées alors ; et habile d'ailleurs à saisir le temps , un mot , un soupir ... il n'y avait point de femme qui ne fût jalouse de le subjuguer 1 ...
... jours , qui se mire ainsi , comme une jolie femme , dans le souvenir de ses grâces un peu fanées alors ; et habile d'ailleurs à saisir le temps , un mot , un soupir ... il n'y avait point de femme qui ne fût jalouse de le subjuguer 1 ...
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... jour , et il semble que l'on devine san peine à quelle insinuation cet « avis » répondait . Mai Bernardin n'en persista pas moins . Il revint à charge . On le repoussa . Et après plusieurs leçons d cette jeune femme , sur laquelle on ...
... jour , et il semble que l'on devine san peine à quelle insinuation cet « avis » répondait . Mai Bernardin n'en persista pas moins . Il revint à charge . On le repoussa . Et après plusieurs leçons d cette jeune femme , sur laquelle on ...
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... jours . dans le palais d'Alcine . On le logea dans un appartement Tout brillant d'or et meublé richement , Grande chère surtout , et des vins fort exquis , Les Dieux ne sont pas mieux servis ... Il s'empressa d'en envoyer la nouvelle à ...
... jours . dans le palais d'Alcine . On le logea dans un appartement Tout brillant d'or et meublé richement , Grande chère surtout , et des vins fort exquis , Les Dieux ne sont pas mieux servis ... Il s'empressa d'en envoyer la nouvelle à ...
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... jours davantage , essaie de se l'attacher par des liens plus étroits , et finalement lui offre la main de sa fille ainée . C'était cette Virginie qu'il devait plus tard immortaliser . Il refuse pourtant , comme il avait refusé la nièce ...
... jours davantage , essaie de se l'attacher par des liens plus étroits , et finalement lui offre la main de sa fille ainée . C'était cette Virginie qu'il devait plus tard immortaliser . Il refuse pourtant , comme il avait refusé la nièce ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 139 - Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, — Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.
Page 139 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 172 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t*aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 152 - Elle file, elle coud, et garde à la maison Un père vieux , aveugle et privé de raison. Si , pour chasser de lui la terreur délirante , Elle chante parfois , une toux déchirante La prend dans sa chanson , pousse en sifflant un cri , Et lance les graviers de son poumon meurtri.
Page 137 - Dont la serrure grince et rechigne en criant, Ou dans une maison déserte quelque armoire Pleine de l'acre odeur des temps, poudreuse et noire, Parfois on trouve un vieux flacon qui se souvient, D'où jaillit toute vive une âme qui revient.
Page 140 - Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer...
Page 151 - Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas.
Page 140 - Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s'exhale des ordures, Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement...
Page 167 - TEL qu'un morne animal, meurtri, plein de poussière, La chaîne au cou, hurlant au chaud soleil d'été, Promène qui voudra son cœur ensanglanté Sur ton pavé cynique, ô plèbe carnassière ! Pour mettre un feu stérile en ton œil hébété, Pour mendier ton rire ou ta pitié grossière, Déchire qui voudra la robe de lumière De la pudeur divine et de la volupté.
Page 167 - Dans mon orgueil muet, dans ma tombe sans gloire, Dussé-je m'engloutir pour l'éternité noire, Je ne te vendrai pas mon ivresse ou mon mal, Je ne livrerai pas ma vie à tes huées, Je ne danserai pas sur ton tréteau banal Avec tes histrions et tes prostituées.