Nouveaux essais sur la littérature contemporaine |
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... effet assez peu connu de la bonté de la Providen « des cadavres furent créés pour les animaux carna siers >> . - - C'est l'occasion ici de dire qu'après cela et mal cela , les Études de la nature n'en demeurent p moins l'un des livres ...
... effet assez peu connu de la bonté de la Providen « des cadavres furent créés pour les animaux carna siers >> . - - C'est l'occasion ici de dire qu'après cela et mal cela , les Études de la nature n'en demeurent p moins l'un des livres ...
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... marché . Douze mille livres de rente ! Une fille du même prix vaudrait mieux à tous égards . » Il en crut mademoiselle Girault , et revint à Paris jouer le rôle de solliciteur . - Il ne le jouait pas , en effet , 14 NOUVEAUX ESSAIS.
... marché . Douze mille livres de rente ! Une fille du même prix vaudrait mieux à tous égards . » Il en crut mademoiselle Girault , et revint à Paris jouer le rôle de solliciteur . - Il ne le jouait pas , en effet , 14 NOUVEAUX ESSAIS.
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Ferdinand Brunetière. - Il ne le jouait pas , en effet , on le sait peut - être , - avec moins d'obstination que celui de soupirant . Mais y réussissant moins bien encore , et ne recevant du Ministère que de rares gratifications , il se ...
Ferdinand Brunetière. - Il ne le jouait pas , en effet , on le sait peut - être , - avec moins d'obstination que celui de soupirant . Mais y réussissant moins bien encore , et ne recevant du Ministère que de rares gratifications , il se ...
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... effet , telle était bien , comme on sait , la religion de Voltaire . Bonne pour la « canaille » , ce que Voltaire ne pardonnait pas à la religion chré- tienne , c'était tout justement l'humilité de ses ori- gines . Mais , au contraire ...
... effet , telle était bien , comme on sait , la religion de Voltaire . Bonne pour la « canaille » , ce que Voltaire ne pardonnait pas à la religion chré- tienne , c'était tout justement l'humilité de ses ori- gines . Mais , au contraire ...
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... effet , n'étaient - ils pas au premier rang de ces « indifférents » pour qui la religion n'était en somme qu'une politique , un ins- trument de règne , un moyen d'oppression au besoin ? Mais quand il se vit enfin abandonné de la papauté ...
... effet , n'étaient - ils pas au premier rang de ces « indifférents » pour qui la religion n'était en somme qu'une politique , un ins- trument de règne , un moyen d'oppression au besoin ? Mais quand il se vit enfin abandonné de la papauté ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 139 - Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, — Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.
Page 139 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 172 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t*aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 152 - Elle file, elle coud, et garde à la maison Un père vieux , aveugle et privé de raison. Si , pour chasser de lui la terreur délirante , Elle chante parfois , une toux déchirante La prend dans sa chanson , pousse en sifflant un cri , Et lance les graviers de son poumon meurtri.
Page 137 - Dont la serrure grince et rechigne en criant, Ou dans une maison déserte quelque armoire Pleine de l'acre odeur des temps, poudreuse et noire, Parfois on trouve un vieux flacon qui se souvient, D'où jaillit toute vive une âme qui revient.
Page 140 - Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer...
Page 151 - Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas.
Page 140 - Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s'exhale des ordures, Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement...
Page 167 - TEL qu'un morne animal, meurtri, plein de poussière, La chaîne au cou, hurlant au chaud soleil d'été, Promène qui voudra son cœur ensanglanté Sur ton pavé cynique, ô plèbe carnassière ! Pour mettre un feu stérile en ton œil hébété, Pour mendier ton rire ou ta pitié grossière, Déchire qui voudra la robe de lumière De la pudeur divine et de la volupté.
Page 167 - Dans mon orgueil muet, dans ma tombe sans gloire, Dussé-je m'engloutir pour l'éternité noire, Je ne te vendrai pas mon ivresse ou mon mal, Je ne livrerai pas ma vie à tes huées, Je ne danserai pas sur ton tréteau banal Avec tes histrions et tes prostituées.