Nouveaux essais sur la littérature contemporaine |
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... ailleurs le plus ingénieu Quelques - unes de ses découvertes en ce genre so demeurées justement célèbres : il ne s'est point co tenté d'affirmer que les nez sont faits pour porter d lunettes ; mais il a trouvé que , si « le melon a d ...
... ailleurs le plus ingénieu Quelques - unes de ses découvertes en ce genre so demeurées justement célèbres : il ne s'est point co tenté d'affirmer que les nez sont faits pour porter d lunettes ; mais il a trouvé que , si « le melon a d ...
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... ailleurs , l'idée générale en est fausse . Mais tel est le pouvoir d'une idée générale , qu'aussitôt qu'on la pousse à ses der- nières applications , elle n'en devient pas plus vraie , quand elle est fausse , mais de toutes parts les ...
... ailleurs , l'idée générale en est fausse . Mais tel est le pouvoir d'une idée générale , qu'aussitôt qu'on la pousse à ses der- nières applications , elle n'en devient pas plus vraie , quand elle est fausse , mais de toutes parts les ...
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... ailleurs que la touche ironique et légère d'Arvède Barine se plaît à ces contrastes , excelle à en tirer parti , et met ainsi dans la ressem- blance comme un air de malice qui l'égaie sans y uire ? C'était bien le genre de talent qui ...
... ailleurs que la touche ironique et légère d'Arvède Barine se plaît à ces contrastes , excelle à en tirer parti , et met ainsi dans la ressem- blance comme un air de malice qui l'égaie sans y uire ? C'était bien le genre de talent qui ...
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... ailleurs nous ne sau- rions rien ajouter d'essentiel à ce qu'il a dit de la philosophie de Bernardin de Saint - Pierre , des Études de la nature , de Paul et Virginie , ou de l'influence enfin du premier maître de l'exotisme en ...
... ailleurs nous ne sau- rions rien ajouter d'essentiel à ce qu'il a dit de la philosophie de Bernardin de Saint - Pierre , des Études de la nature , de Paul et Virginie , ou de l'influence enfin du premier maître de l'exotisme en ...
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... ailleurs à saisir le temps , un mot , un soupir ... il n'y avait point de femme qui ne fût jalouse de le subjuguer 1 . » Faut - il en croire les bruits de cour ? et , tout jeune encore , fuyant une ingrate patrie , quand il alla tenter ...
... ailleurs à saisir le temps , un mot , un soupir ... il n'y avait point de femme qui ne fût jalouse de le subjuguer 1 . » Faut - il en croire les bruits de cour ? et , tout jeune encore , fuyant une ingrate patrie , quand il alla tenter ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 139 - Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, — Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens.
Page 139 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 172 - Mais la nature est là qui t'invite et qui t*aime; Plonge-toi dans son sein qu'elle t'ouvre toujours : Quand tout change pour toi, la nature est la même, Et le même soleil se lève sur tes jours.
Page 152 - Elle file, elle coud, et garde à la maison Un père vieux , aveugle et privé de raison. Si , pour chasser de lui la terreur délirante , Elle chante parfois , une toux déchirante La prend dans sa chanson , pousse en sifflant un cri , Et lance les graviers de son poumon meurtri.
Page 137 - Dont la serrure grince et rechigne en criant, Ou dans une maison déserte quelque armoire Pleine de l'acre odeur des temps, poudreuse et noire, Parfois on trouve un vieux flacon qui se souvient, D'où jaillit toute vive une âme qui revient.
Page 140 - Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer...
Page 151 - Tous ceux qu'il veut aimer l'observent avec crainte, Ou bien, s'enhardissant de sa tranquillité, Cherchent à qui saura lui tirer une plainte, Et font sur lui l'essai de leur férocité. Dans le pain et le vin destinés à sa bouche Ils mêlent de la cendre avec d'impurs crachats; Avec hypocrisie ils jettent ce qu'il touche, Et s'accusent d'avoir mis leurs pieds dans ses pas.
Page 140 - Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en pleurs s'exhale des ordures, Et d'un rayon d'hiver traversé brusquement...
Page 167 - TEL qu'un morne animal, meurtri, plein de poussière, La chaîne au cou, hurlant au chaud soleil d'été, Promène qui voudra son cœur ensanglanté Sur ton pavé cynique, ô plèbe carnassière ! Pour mettre un feu stérile en ton œil hébété, Pour mendier ton rire ou ta pitié grossière, Déchire qui voudra la robe de lumière De la pudeur divine et de la volupté.
Page 167 - Dans mon orgueil muet, dans ma tombe sans gloire, Dussé-je m'engloutir pour l'éternité noire, Je ne te vendrai pas mon ivresse ou mon mal, Je ne livrerai pas ma vie à tes huées, Je ne danserai pas sur ton tréteau banal Avec tes histrions et tes prostituées.