Revue canadienne, Volume 50

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Alphonse Leclaire
Revue canadienne, 1906 - Canada
 

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Popular passages

Page 651 - Conserve encore aux yeux de tous, et sans mélange, Son culte pour la France, et son cachet sacré. Mais d'autres, repoussant tout servage exécré, Après avoir brûlé leur dernière cartouche, Renfermés désormais dans un orgueil farouche, Révoltés impuissants, sans crainte et sans remord, Voulurent, libres même en face de la mort, Emporter au tombeau leur éternelle haine.... En vain l'on invoqua l'autorité romaine ; En vain, sous les regards de ces naïfs croyants, Le prêtre déroula les...
Page 437 - ... mais ayez bien soin que votre confiance se fonde tout entière sur le Dieu dont vous soutiendrez la cause et, pour qu'il vous secoure, implorez-le sans vous lasser. Pour nous, aussi longtemps que vous aurez à lutter contre le danger, nous serons de cœur et d'âme au milieu de vous. Labeurs, peines, souffrances, nous partagerons tout avec vous, et, adressant en même temps au Dieu qui a fondé l'Eglise et qui la conserve, nos prières les plus humbles et les plus instantes, nous le supplierons...
Page 352 - Les aveugles voient, les boiteux marchent , les lépreux sont guéris, les sourds entendent, les morts ressuscitent, l'évangile est annoncé aux pauvres.
Page 116 - Par la mort non de diable*! si j'étais que des médecins, je me vengerais de son impertinence ; et, quand il sera malade, je le laisserais mourir sans secours.
Page 677 - Oies et sont en vue de l'île aux Coudres. M. Compain les attendait au bout d'en bas en se promenant le long des rochers, un livre à la main. D'aussi loin qu'ils furent à la portée de sa voix il leur cria: — "Le Père de La Brosse est mort, vous venez me chercher pour lui donner la sépulture.
Page 117 - La postérité saura peut-être la fin de ce poète comédien qui, en jouant son Malade imaginaire ou son Médecin par force, reçut la dernière atteinte de la maladie dont il mourut peu d'heures après, et passa des plaisanteries du théâtre, parmi lesquelles il rendit presque le dernier soupir, au tribunal de Celui qui dit : Malheur à vous qui riez, car vous pleurerez...
Page 681 - Il ya comme du délire dans cette création. Les montagnes paraissent avoir été jetées là au hasard, comme dans une épouvantable mêlée où les combattants sont restés debout, foudroyés sur place. Dans ces entassements informes, on respire comme un souffle encore tout récent de cataclysme, et bien des siècles encore passeront sans rien enlever à cette nature de son 'horreur tragique.
Page 480 - N'entendant rien du tout, Son bréviaire fini de l'un à l'autre bout, Ne sachant que penser de cela tout en somme, Il venait au secours de ce pauvre jeune homme. Il ne vit dans l'église aucun signe nouveau, Et se dit que le mal était dans le cerveau De l'écolier. Plus tard, connaissant mieux l'affaire, D'un miracle il trouva que la preuve était claire. C'est ce qu'a dit mon oncle, et je l'ai toujours cru...
Page 538 - Les auteurs ressortissant à l'un des pays de l'Union, ou leurs ayants cause, jouissent, dans les autres pays, du droit exclusif de faire ou d'autoriser la traduction de leurs ouvrages jusqu'à l'expiration de dix années à partir de la publication de l'œuvre originale dans l'un des pays de l'Union.
Page 136 - Un autre habit pour l'Etourdi, consistant en pourpoint, haut-de-chausses, manteau de satin. Et encore un autre habit pour le Cocu imaginaire, haut-de-chausses, pourpoint et manteau, col et souliers, le tout de satin rouge cramoisi. Une...

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