| Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1820 - 598 pages
...fripiers tous en armes. Je les flattai, je les caressai, je les menaçai, enfin je les persuadai. Ils quittèrent les armes , ce qui fut le salut de Paris,...l'entrée de la nuit qui s'approchait , la ville eût eté infailliblement pillée. Je n'ai guère eu en ma vie de satisfaction plus sensible que celle-là... | |
| France - 1825 - 464 pages
...armes. Je les flattai , je les caressai, je les conjurai, je les menaçai, enfin je les persuadai. Ils quittèrent les armes: ce qui fut le salut de Paris,...encore eues à la main à l'entrée de la nuit qui s'approchoit, la ville eût été infailliblement pillée. Je n'ai guère eu en ma vie de satisfaction... | |
| Petitot (M., Claude-Bernard) - France - 1825 - 460 pages
...armes. Je les flattai , je les caressai, je les conjurai, je les menaçai, enfin je les persuadai. Ils quittèrent les armes: ce qui fut le salut de Paris,...encore eues à la main à l'entrée de la nuit qui s'approchoit, la ville eût été infailliblement pillée. Je n'ai guère eu en ma vie de satisfaction... | |
| Jean François Paul de Gondi (card. de Retz.) - 1825 - 458 pages
...armes. Je les flattai , je les caressai, je les conjurai, je les menaçai, enfin je les persuadai. Ils quittèrent les armes: ce qui fut le salut de Paris,...encore eues à la main à l'entrée de la nuit qui s'approchoit, la ville eût été infailliblement pillée. Je n'ai guère eu en ma vie de satisfaction... | |
| Joseph Fr. Michaud - France - 1837 - 642 pages
...de fripiers toute en armes. Je les flattai , je les caressai , enfm je les persuadai. Ils quitèrent les armes , ce qui fut le salut de Paris; parce que s'ils les eussent eu encore à la main à l'entrée de la nuit, qui s'approchoit , la ville eust esté infailliblement... | |
| Antonin Roche - 1845 - 766 pages
...fripiers tous en armes. Je les flattai , je les caressai , je les menaçai , enfm je les persuadai. Ils quittèrent les armes, ce qui fut le salut de Paris...parce que s'ils les eussent encore eues à la main a l'entrée de la nuit qui s'approchait , la ville eût été infailliblement pillée. Je n'ai guère... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1872 - 728 pages
...armes. Je les flattai, je les caressai, je les injuriai*, je les menacai : enfin je les persuadai. Ils quittèrent les armes, ce qui fut le salut de Paris, parce que, si ils les eussent eues * encore à la main à l'entrée de la nuit, qui s'approchoit, la ville eût... | |
| French classics - 1876 - 228 pages
...armes. Je les flattai, je 35 les caressai, je les injuriai, je les menaçai, enfin je les persuadai. Ils quittèrent les armes, ce qui fut le salut de Paris ; parce que s'ils les eussent eues encore à la main à l'entrée de la nuit, qui s'approchait, la ville eût été infailliblement... | |
| Gustave Masson - France - 1886 - 202 pages
...armes. Je les flattai, je 35 Jes caressai, je les injuriai, je les menaçai, enfin je les persuadai. Ils quittèrent les armes, ce qui fut le salut de Paris ; parce que s'ils les eussent eues encore à la main à l'entrée de la nuit, qui s'approchait, la ville eût été infailliblement... | |
| Jean François Paul de Gondi de Retz - France - 1891 - 452 pages
...armes. Je les flattai, je les caressai, je les injuriai, je les menaçai, enfin je les persuadai. Ils quittèrent les armes, ce qui fut le salut de Paris ; parce que s'ils les eussent eues encore à la main à l'entrée de la nuit, qui s'approchoit, la vi'/e eût été infailliblement... | |
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