Curiosité et indiscrétionPonthieu, 1825 - 335 pages |
From inside the book
Results 1-5 of 13
Page 28
... voulait bien me donner mon révérend père . D'ailleurs quelles distractions peut - on se donner dans la partie du Périgord où je suis né ? des rochers nus , des vallons qui ont à peine une portée de fusil de largeur , quel- ques ...
... voulait bien me donner mon révérend père . D'ailleurs quelles distractions peut - on se donner dans la partie du Périgord où je suis né ? des rochers nus , des vallons qui ont à peine une portée de fusil de largeur , quel- ques ...
Page 34
... voulait les voir , et rien ne pouvait le détourner de cette funeste pensée . Mes prières furent inutiles ; il partit , et je l'accompagnai jusqu'au Château - Lévêque . Il fallait qu'il évitât Périgueux ; je lui donnai un guide , et je ...
... voulait les voir , et rien ne pouvait le détourner de cette funeste pensée . Mes prières furent inutiles ; il partit , et je l'accompagnai jusqu'au Château - Lévêque . Il fallait qu'il évitât Périgueux ; je lui donnai un guide , et je ...
Page 52
... voulait que les hommes rentrassent dans les forêts ; et il faut lui rendre cette justice , c'est qu'il en donnait un étonnant exemple , quoiqu'encore au printemps de la vie . M. Dumetz avait une bibliothèque considé- rable ; il eut la ...
... voulait que les hommes rentrassent dans les forêts ; et il faut lui rendre cette justice , c'est qu'il en donnait un étonnant exemple , quoiqu'encore au printemps de la vie . M. Dumetz avait une bibliothèque considé- rable ; il eut la ...
Page 53
... voulait me par- ler ; je sortis et j'aperçus un homme de six pieds , assez bien couvert , jeune encore , mais ayant une barbe très longue ; je lui demandai en quoi je pouvais lui être utile ; il me pria de lui permettre de prendre du ...
... voulait me par- ler ; je sortis et j'aperçus un homme de six pieds , assez bien couvert , jeune encore , mais ayant une barbe très longue ; je lui demandai en quoi je pouvais lui être utile ; il me pria de lui permettre de prendre du ...
Page 55
... voulait faire de moi un homme de robe , et on choisit Bordeaux pour que j'y allasse faire mon stage . On fit mes paquets ; on mit de l'or dans ma poche et je partis . Ce fut le moment le plus pé- nible que j'eusse éprouvé jusqu'alors ...
... voulait faire de moi un homme de robe , et on choisit Bordeaux pour que j'y allasse faire mon stage . On fit mes paquets ; on mit de l'or dans ma poche et je partis . Ce fut le moment le plus pé- nible que j'eusse éprouvé jusqu'alors ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
affaires ancien avocat baron beau besoin Bonaparte Bordeaux Brantôme c'était cent chambre CHAPITRE Cherval choses compagnie de Jésus comte Coppet crime crois d'autres Decazes Dégousée délateur député devant Dieu dîner dire disant doctrine donner enfans eût femme François Ier général gens heures honnête j'ai J'allai j'avais j'en j'étais jacobin jamais Jaubert jésuites jeune homme jours l'abbé l'aristocratie l'esprit l'homme larmes lecteur liberté Louis XVI m'en maison malheur maréchal ment Messieurs mille ministre missionnaires Mlle monde Muraire Mutius Scævola n'ai n'avait n'était Napoléon noble pair noblesse notaire Paraguay parle passer patrie patriote pendant pensée père Lestrade Périgord Périgueux personne peuple politique Pont d'Iéna préfet prince procès qu'un rente répondit révolution rien rois Rome royale Sainte-Alliance salon Sauquaire Sauquaire-Souligné sauver seul soir sortir Talleyrand Talma tête tion tontine tribunal de commerce trouvé vais Valady vérité vicomte vieillard vieux Villefumade vint voilà voulait yeux
Popular passages
Page 127 - Tant qu'un peuple est contraint d'obéir et qu'il obéit , il fait bien ; sitôt qu'il peut secouer le joug et qu'il le secoue , il fait encore mieux : car , recouvrant sa liberté par le même droit qui la lui a ravie , ou il est fondé à la reprendre , ou l'on ne l'était point à la lui ôter.
Page 22 - C'est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaye d'opprimer la vérité. Tous les efforts de la violence ne peuvent affaiblir la vérité, et ne servent qu'à la relever davantage.
Page 8 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.
Page 148 - Il y aura toujours une grande différence entre soumettre une multitude et régir une société. Que des hommes épars soient successivement asservis à un seul, en quelque nombre qu'ils puissent être, je ne vois là qu'un maître et des esclaves ; je n'y vois point un peuple et son chef ; c'est, si l'on veut, une agrégation, mais non pas une association ; il n'ya là ni bien public, ni corps politique.
Page 267 - Qu'on ne dise donc point que le souverain ne « soit pas sujet aux lois de son état, puisque la « proposition contraire est une vérité du droit «des gens, que la flatterie a quelquefois atta« quée , mais que les bons princes ont toujours « défendue comme une divinité tutélaire de leurs
Page 110 - Je fais avec toi une convention toute à ta charge et toute à mon profit, que j'observerai tant qu'il me plaira, et que tu observeras tant qu'il me plaira.
Page 252 - Le Moïse commence à moisir par les bords '. Quel mal cela fait-il? Ceux qui sont morts sont morts. Le tombeau contre vous ne peut-il les défendre? Et qu'ont fait tant d'auteurs, pour remuer leur cendre? Que vous ont fait Perrin, Bardin, Pradon, Hainaut...
Page 176 - Aristote avait raison; mais il prenait l'effet pour la cause. Tout homme né dans l'esclavage naît pour l'esclavage, rien n'est plus certain. Les esclaves perdent tout dans leurs fers, jusqu'au désir d'en sortir; ils aiment leur servitude comme les compagnons d'Ulysse aimaient leur abrutissement1. S'il ya donc des esclaves par nature , c'est parce qu'il ya eu des esclaves contre nature. La force a fait les premiers esclaves, leur lâcheté les a perpétués.
Page 132 - Semblable à la statue de Glaucus, que le temps, la mer et les orages avaient tellement défigurée qu'elle ressemblait moins à un dieu qu'à une bête féroce...
Page 267 - Combien est-il plus légitime de dire, avec le sage Platon, que la parfaite félicité d'un royaume est qu'un prince soit obéi de ses sujets, que le prince obéisse à la loi, et que la loi soit droite et toujours ) dirigée au bien public!