Curiosité et indiscrétionPonthieu, 1825 - 335 pages |
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... soir même le prieur fut frappé d'apoplexie et mourut . rangue Cette première scène ne me corrigea pas , je trouvai moyen de me glisser de nouveau chez le père Rousseau ; j'ai eu lieu de me convaincre depuis qu'il favorisait mes larcins ...
... soir même le prieur fut frappé d'apoplexie et mourut . rangue Cette première scène ne me corrigea pas , je trouvai moyen de me glisser de nouveau chez le père Rousseau ; j'ai eu lieu de me convaincre depuis qu'il favorisait mes larcins ...
Page 26
... soir , les deux amis soupèrent ensemble , mais ils n'étaient pas seuls ; cinq autres députés de la Gironde , dont je ne me rappelle pas les noms , si ce n'est celui de Ducos , et moi , for- mâmes ce petit banquet , qui s'est si profondé ...
... soir , les deux amis soupèrent ensemble , mais ils n'étaient pas seuls ; cinq autres députés de la Gironde , dont je ne me rappelle pas les noms , si ce n'est celui de Ducos , et moi , for- mâmes ce petit banquet , qui s'est si profondé ...
Page 31
... soir sans lui avoir fait aucune espèce de question ; mais en revanche j'étais à sa porte le lendemain à quatre heures du matin ; j'avais maraudé toute la nuit . Jean , qui m'accompagna , était chargé de provi- sions . Je lui proposai de ...
... soir sans lui avoir fait aucune espèce de question ; mais en revanche j'étais à sa porte le lendemain à quatre heures du matin ; j'avais maraudé toute la nuit . Jean , qui m'accompagna , était chargé de provi- sions . Je lui proposai de ...
Page 43
... soir , lorsque la nuit eut répandu ses ombres sur cette scène d'horreur , son amante , ou sa femme , vint se pendre avec son mouchoir à un des poteaux du fatal instrument . ( 1 ) Je prie le lecteur de ne pas perdre de vue ce per ...
... soir , lorsque la nuit eut répandu ses ombres sur cette scène d'horreur , son amante , ou sa femme , vint se pendre avec son mouchoir à un des poteaux du fatal instrument . ( 1 ) Je prie le lecteur de ne pas perdre de vue ce per ...
Page 44
Vincent Fournier-Verneuil. J'entrai à sept heures du soir dans ce club : la salle n'était pas très vaste , il n'y avait pas de tri- bunes . Rome était assis à côté du président , et le bourreau était assis en face , au pied de la tribune ...
Vincent Fournier-Verneuil. J'entrai à sept heures du soir dans ce club : la salle n'était pas très vaste , il n'y avait pas de tri- bunes . Rome était assis à côté du président , et le bourreau était assis en face , au pied de la tribune ...
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Common terms and phrases
affaires ancien avocat baron beau besoin Bonaparte Bordeaux Brantôme c'était cent chambre CHAPITRE Cherval choses compagnie de Jésus comte Coppet crime crois d'autres Decazes Dégousée délateur député devant Dieu dîner dire disant doctrine donner enfans eût femme François Ier général gens heures honnête j'ai J'allai j'avais j'en j'étais jacobin jamais Jaubert jésuites jeune homme jours l'abbé l'aristocratie l'esprit l'homme larmes lecteur liberté Louis XVI m'en maison malheur maréchal ment Messieurs mille ministre missionnaires Mlle monde Muraire Mutius Scævola n'ai n'avait n'était Napoléon noble pair noblesse notaire Paraguay parle passer patrie patriote pendant pensée père Lestrade Périgord Périgueux personne peuple politique Pont d'Iéna préfet prince procès qu'un rente répondit révolution rien rois Rome royale Sainte-Alliance salon Sauquaire Sauquaire-Souligné sauver seul soir sortir Talleyrand Talma tête tion tontine tribunal de commerce trouvé vais Valady vérité vicomte vieillard vieux Villefumade vint voilà voulait yeux
Popular passages
Page 127 - Tant qu'un peuple est contraint d'obéir et qu'il obéit , il fait bien ; sitôt qu'il peut secouer le joug et qu'il le secoue , il fait encore mieux : car , recouvrant sa liberté par le même droit qui la lui a ravie , ou il est fondé à la reprendre , ou l'on ne l'était point à la lui ôter.
Page 22 - C'est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaye d'opprimer la vérité. Tous les efforts de la violence ne peuvent affaiblir la vérité, et ne servent qu'à la relever davantage.
Page 8 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.
Page 148 - Il y aura toujours une grande différence entre soumettre une multitude et régir une société. Que des hommes épars soient successivement asservis à un seul, en quelque nombre qu'ils puissent être, je ne vois là qu'un maître et des esclaves ; je n'y vois point un peuple et son chef ; c'est, si l'on veut, une agrégation, mais non pas une association ; il n'ya là ni bien public, ni corps politique.
Page 267 - Qu'on ne dise donc point que le souverain ne « soit pas sujet aux lois de son état, puisque la « proposition contraire est une vérité du droit «des gens, que la flatterie a quelquefois atta« quée , mais que les bons princes ont toujours « défendue comme une divinité tutélaire de leurs
Page 110 - Je fais avec toi une convention toute à ta charge et toute à mon profit, que j'observerai tant qu'il me plaira, et que tu observeras tant qu'il me plaira.
Page 252 - Le Moïse commence à moisir par les bords '. Quel mal cela fait-il? Ceux qui sont morts sont morts. Le tombeau contre vous ne peut-il les défendre? Et qu'ont fait tant d'auteurs, pour remuer leur cendre? Que vous ont fait Perrin, Bardin, Pradon, Hainaut...
Page 176 - Aristote avait raison; mais il prenait l'effet pour la cause. Tout homme né dans l'esclavage naît pour l'esclavage, rien n'est plus certain. Les esclaves perdent tout dans leurs fers, jusqu'au désir d'en sortir; ils aiment leur servitude comme les compagnons d'Ulysse aimaient leur abrutissement1. S'il ya donc des esclaves par nature , c'est parce qu'il ya eu des esclaves contre nature. La force a fait les premiers esclaves, leur lâcheté les a perpétués.
Page 132 - Semblable à la statue de Glaucus, que le temps, la mer et les orages avaient tellement défigurée qu'elle ressemblait moins à un dieu qu'à une bête féroce...
Page 267 - Combien est-il plus légitime de dire, avec le sage Platon, que la parfaite félicité d'un royaume est qu'un prince soit obéi de ses sujets, que le prince obéisse à la loi, et que la loi soit droite et toujours ) dirigée au bien public!