Curiosité et indiscrétionPonthieu, 1825 - 335 pages |
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... père était chargé des affaires contentieuses de la communauté ; d'ailleurs les moines m'ai- maient beaucoup , mon ... pères appre- naient les progrès d'une révolution qui devait commencer par leur destruction . Il n'y avait parmi ces ...
... père était chargé des affaires contentieuses de la communauté ; d'ailleurs les moines m'ai- maient beaucoup , mon ... pères appre- naient les progrès d'une révolution qui devait commencer par leur destruction . Il n'y avait parmi ces ...
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Vincent Fournier-Verneuil. Il n'y avait parmi ces pères qu'un seul philo- sophe ; c'est dans sa chambre et sous ses ... père Rousseau était à l'office divin , j'entrai furtivement dans sa chambre ; j'ouvre sa bibliothèque et je prends ...
Vincent Fournier-Verneuil. Il n'y avait parmi ces pères qu'un seul philo- sophe ; c'est dans sa chambre et sous ses ... père Rousseau était à l'office divin , j'entrai furtivement dans sa chambre ; j'ouvre sa bibliothèque et je prends ...
Page 9
... père prieur don Sizan , car c'était lui , me regarde avec colère , me menace , et puis radoucissant sa voix , il me proposa de me laisser prendre des fruits dans le potager tous les jours et tant que je voudrais si je voulais lui dire ...
... père prieur don Sizan , car c'était lui , me regarde avec colère , me menace , et puis radoucissant sa voix , il me proposa de me laisser prendre des fruits dans le potager tous les jours et tant que je voudrais si je voulais lui dire ...
Page 10
... père prononçait l'Orate Fratres lorsque j'entendis à mes côtés quelqu'un dire qu'il y avait sur la place un vainqueur de la Bastille ; je lais- sai le bon père , la bouche béante et la phrase en l'air , et je courus voir ce qu'on ...
... père prononçait l'Orate Fratres lorsque j'entendis à mes côtés quelqu'un dire qu'il y avait sur la place un vainqueur de la Bastille ; je lais- sai le bon père , la bouche béante et la phrase en l'air , et je courus voir ce qu'on ...
Page 11
... père Lestrade portait ses plaintes à ma grand'mère ; j'arrivai pour dîner , et je trouvai toute la fa- mille réunie ; mon père et ma tante se dispu- taient à qui m'embrasserait le premier ; ma mère me gronda sévèrement ; ma grand'mère ...
... père Lestrade portait ses plaintes à ma grand'mère ; j'arrivai pour dîner , et je trouvai toute la fa- mille réunie ; mon père et ma tante se dispu- taient à qui m'embrasserait le premier ; ma mère me gronda sévèrement ; ma grand'mère ...
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Common terms and phrases
affaires ancien avocat baron beau besoin Bonaparte Bordeaux Brantôme c'était cent chambre CHAPITRE Cherval choses compagnie de Jésus comte Coppet crime crois d'autres Decazes Dégousée délateur député devant Dieu dîner dire disant doctrine donner enfans eût femme François Ier général gens heures honnête j'ai J'allai j'avais j'en j'étais jacobin jamais Jaubert jésuites jeune homme jours l'abbé l'aristocratie l'esprit l'homme larmes lecteur liberté Louis XVI m'en maison malheur maréchal ment Messieurs mille ministre missionnaires Mlle monde Muraire Mutius Scævola n'ai n'avait n'était Napoléon noble pair noblesse notaire Paraguay parle passer patrie patriote pendant pensée père Lestrade Périgord Périgueux personne peuple politique Pont d'Iéna préfet prince procès qu'un rente répondit révolution rien rois Rome royale Sainte-Alliance salon Sauquaire Sauquaire-Souligné sauver seul soir sortir Talleyrand Talma tête tion tontine tribunal de commerce trouvé vais Valady vérité vicomte vieillard vieux Villefumade vint voilà voulait yeux
Popular passages
Page 127 - Tant qu'un peuple est contraint d'obéir et qu'il obéit , il fait bien ; sitôt qu'il peut secouer le joug et qu'il le secoue , il fait encore mieux : car , recouvrant sa liberté par le même droit qui la lui a ravie , ou il est fondé à la reprendre , ou l'on ne l'était point à la lui ôter.
Page 22 - C'est une étrange et longue guerre que celle où la violence essaye d'opprimer la vérité. Tous les efforts de la violence ne peuvent affaiblir la vérité, et ne servent qu'à la relever davantage.
Page 8 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.
Page 148 - Il y aura toujours une grande différence entre soumettre une multitude et régir une société. Que des hommes épars soient successivement asservis à un seul, en quelque nombre qu'ils puissent être, je ne vois là qu'un maître et des esclaves ; je n'y vois point un peuple et son chef ; c'est, si l'on veut, une agrégation, mais non pas une association ; il n'ya là ni bien public, ni corps politique.
Page 267 - Qu'on ne dise donc point que le souverain ne « soit pas sujet aux lois de son état, puisque la « proposition contraire est une vérité du droit «des gens, que la flatterie a quelquefois atta« quée , mais que les bons princes ont toujours « défendue comme une divinité tutélaire de leurs
Page 110 - Je fais avec toi une convention toute à ta charge et toute à mon profit, que j'observerai tant qu'il me plaira, et que tu observeras tant qu'il me plaira.
Page 252 - Le Moïse commence à moisir par les bords '. Quel mal cela fait-il? Ceux qui sont morts sont morts. Le tombeau contre vous ne peut-il les défendre? Et qu'ont fait tant d'auteurs, pour remuer leur cendre? Que vous ont fait Perrin, Bardin, Pradon, Hainaut...
Page 176 - Aristote avait raison; mais il prenait l'effet pour la cause. Tout homme né dans l'esclavage naît pour l'esclavage, rien n'est plus certain. Les esclaves perdent tout dans leurs fers, jusqu'au désir d'en sortir; ils aiment leur servitude comme les compagnons d'Ulysse aimaient leur abrutissement1. S'il ya donc des esclaves par nature , c'est parce qu'il ya eu des esclaves contre nature. La force a fait les premiers esclaves, leur lâcheté les a perpétués.
Page 132 - Semblable à la statue de Glaucus, que le temps, la mer et les orages avaient tellement défigurée qu'elle ressemblait moins à un dieu qu'à une bête féroce...
Page 267 - Combien est-il plus légitime de dire, avec le sage Platon, que la parfaite félicité d'un royaume est qu'un prince soit obéi de ses sujets, que le prince obéisse à la loi, et que la loi soit droite et toujours ) dirigée au bien public!