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leur seule nourriture, et les cherchent | sous des amas de neige. Les champignons, plantes terrestres ou parasites, de consistance gélatineuse, charnue ou coriace, dépourvues de fronde ou expansion folíacée, ne vivent en moyenne que de huit à dix jours. Presque tous les champignons contiennent du sucre et un acide particulier. Un grand nombre sont comestibles le champignon de couche, ou agaric comestible, tige courte et grosse, tête ramassée, chair ferme et bien nourrie, est le meilleur et le seul dont la vente soit autorisée; bolet, ou ceps ordinaire, chapeau trèslarge et arrondi, lisse en dessous et de couleur fauve; bolet charbonnier, ou ceps noir, chapeau brun, tubes faciles à détacher; bolet orangé, ou girolle rouge, dont le chapeau, d'abord convexe, se retourne ensuite et devient légèrement concave; mousserons, feuillets blancs, puis rosés, chair blanche et odorante; oronges, d'un jaune orange très-éclatant. Certains champignons vivent en parasites sur les plantes et occasionnent de grands dommages, comme le charbon, qui attaque la glume du blé; la rouille, qui forme des taches ovales sur ses feuilles et ses tiges; la carie, qui se développe dans l'intérieur des grains de froment; l'oïdium, qui attaque la vigne, et enfin les moisissures. L'empoisonnement par les champignons est presque toujours mortel. La première précaution à prendre, c'est de provoquer le vomissement par de l'eau tiède prise par demiverres, et par les barbes d'une plume trempée d'huile et introduites dans le gosier.

Direction. Avant de lire ou d'exposer cette leçon aux élèves, il convient de leur expliquer les mots les plus difficiles. Voyez les mots DICOTYLEDONES et MONOCOTYLEDONES, ce qui vous permettra de faire saisir les trois grandes divisions du règne végétal. Pendant que le maître lit ou explique, les élèves doivent prendre des notes. · Dicter le devoir écrit.

Devoir écrit. 1. Chercher la signification des mots : acotylédones, crip

togame, embryons, cotylédons, arborescent, potasse, incinération, vermifuge, catarrhe, tourbe, tubercules, soude, iode, chronique, comestible, parasite. 2. Exposer sous forme de lettre ce qu'il y a de plus pratique sur les fougères, les mousses, les algues, les fichens et les champignons.

ACOUSTIQUE (du grec akous, j'écoute). Cette science traite de la production des sons, de leur nature, et des instruments au moyen desquels on peut les produire. Le son résulte d'un mouvement très-rapide de va-etvient dans les corps; ce mouvement se communique aux molécules d'air environnantes et se propage en rayonnant dans toutes les directions avec une grande rapidité. Le moyen le plus simple d'engendrer une onde sonore, c'est de pincer fortement une petite lame par l'un de ses bouts et de la . faire vibrer par l'autre bout; la lame oscillera de part et d'autre, absolument comme un pendule que l'on a écarté de la verticale, mais avec une rapidité incomparablement plus grande. Lorsque la lame s'avance d'un côté, elle pousse l'air devant elle et le condense; elle occasionne derrière elle un certain vide, qui raréfie l'air. Quand elle revient en sens contraire, elle raréfie l'air qu'elle venait de condenser et condense l'air qu'elle venait de raréfier. Ce sont ces condensations et raréfactions alternatives de la couche d'air en contact avec la lame ou un autre corps vibrant, qui constituent les ondes sonores et produisent un son. Si, après avoir suspendu une clochette dans un ballon de verre à robinet, on y fait le vide, la clochette a beau être agitée, elle ne rend plus de son appréciable; mais si on laisse rentrer l'air dans le ballon d'une manière graduelle, le son produit par l'ébranlement de la sonnette devient de plus en plus fort et finit par se faire entendre comme à l'ordinaire. Il résulte de là que le son ne se perçoit pas dans le vide, mais qu'il se propage dans l'air. Si l'on suppose par la pensée une seule vibration en un certain point, l'expérience confirme

ce fait que l'onde sonore se propage dans un canal rectiligne, en conservant toujours sa forme et son intensité primitive dans toutes les directions. Elle parcourt ainsi 333 mètres par seconde. On détermine cette vitesse de son dans l'air en observant combien de temps il s'écoule entre l'apparition de la flamme d'une arme à feu, tirée à une grande distance du lieu où l'on se trouve, et la perception de la détonation. La vitesse de la lumière étant incomparablement plus grande que celle du son, on aura ainsi le temps employé par l'onde sonore pour franchir la distance en question; et, divisant cette distance par le nombre de secondes employé à la propagation, on aura le chemin fait en une seconde, savoir 333 mètres. -Quant à la gravité et à l'acuité des sons, elles dépendent de la longueur des ondes sonores, ou, si l'on veut, de l'intervalle qui les sépare. Supposons, par exemple, une lame qui vibre dans l'intervalle d'une seconde, c'est-à-dire qui reste une seconde pour aller de droite à gauche, et autant pour revenir. Pour chacune de ces oscillations, le commencement de l'onde sera déjà à 333 mètres de distance lorsque la fin de cette onde aura lieu vers la plaque même. Si lá plaque fait deux vibrations par seconde, il est clair que les longueurs des ondes seraient moitié moindres, savoir, de 166 mètres; avec trois vibrations par seconde, 111 mètres; avec quatre vibrations, 83 mètres, et ainsi de suite, la longueur des ondes. étant le quotient de 333 mètres par le nombre de vibrations exécutées en une seconde. Cela connu, le son est grave lorsque les ondes ont une grande longueur ou se succèdent à de longs intervalles; le son est aigu quand les ondes ont peu de longueur ou se succèdent à de courts intervalles. l'on suppose une corde tendue par une force ou un poids constants, le nombre des vibrations sera réduit à moitié si la longueur de la corde est doublée. Puisque le nombre des vibrations est en raison inverse de la longueur d'une même corde, si on raccourcit cette

Si

corde au moyen d'un chevalet, on pourra former différents sons ou varier le ton de la corde. C'est ainsi qu'on a formé la gamme et les intervalles musicaux. Ce fut Pythagore qui découvrit les rapports qui existent entre les longueurs des cordes vibrantes, d'où résultent les différences de tons.

Direction. Cette leçon ne peut s'adresser qu'à des jeunes gens déjà cultivés; et, avant de l'exposer, le maître doit la relire jusqu'à ce qu'ils conçoivent clairement la production et la propagation du son, d'où provient la gravité et l'acuité, et comment on on a pu former la gamme. (Voyez MUSIQUE.)

Devoir écrit. Que signifient les mots molécule, onde, verticale, condenser, raréfier, vide, intensité, chevalet, gamme ? Problèmes sur la vitesse du son. Questions orales sur la production et la propagation du son, etc.

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ADAM ou les premiers temps. 1. Parmi toutes les fables dont sont remplies les histoires des anciens. peuples, on entrevoit aisément les faits. les plus éloignés dont parle Moïse. L'œuvre des six jours de la création, attestée par l'historien du peuple de Dieu, l'est en même temps par l'ordre de la semaine, cette coutume si constamment observée chez presque toutes les nations. Presque toutes ont donc eu l'idée de la création du monde. Moïse, le plus ancien des historiens, fait remonter l'origine du genre humain au seul Adam; il en fixe le berceau, les âges et les générations; tous partent de Babel, 800 ans avant lui. Il ne s'embarrasse pas comment ils ont passé les mers; pourquoi les uns sont blancs, les autres noirs or, l'histoire confirme son rẻcit. La tour de Babel, la confusion et l'origine des langues, la dispersion des hommes; tout cela est connu et devance les histoires de la Chaldée. La réunion du genre humain dans la plaine de Senaar, entre le Tigre et l'Euphrate, avant la dispersion des colonies, est un fait très-conforme à

la marche qu'elles ont tenue; tout part de l'Orient, les hommes et les arts; tout s'avance peu à peu vers l'Occident, vers le Midi et vers le Nord. Si les peuplades chinoises et égyptiennes ont été plus tôt policées que les autres, c'est parce qu'elles se sont établies d'abord dans des pays très-fertiles, ce qui leur permettait de s'adonner aux travaux de l'intelligence et de conserver l'usage des premières inventions. La haute antiquité de ces peuplades et leur ressemblance en tant de points avec les habitants de la Chaldée, montrent l'unité de leur origine. Concevons ailleurs des familles vagabondes qui ne connaissent ni les lieux, ni les routes, et qui tombent à l'aventure dans un pays misérable où tout leur manque point d'instruments pour exercer ce qu'elles pouvaient avoir retenu de bon; point de repos pour perfectionner ce que le besoin actuel pouvait leur faire inventer. N'étant qu'une poignée de monde, un autre peloton les mettait en fuite; cette vie errante et longtemps incertaine fit tout oublier. Ce qui explique l'ignorance et l'état sauvage de certains peuples. -Ce n'est qu'en renouant le commerce avec l'Orient que les choses ont changé. Les Goths et tout le Nord n'ont cessé d'être barbares qu'en s'établissant dans la Gaule et l'Italie. Les Gaulois et les Francs doivent leur politesse aux Romains qui avaient été prendre leurs lois et leur science à Athènes. La Grèce demeura brute jusqu'à l'arrivée de Cadmus, qui y apporta les lettres phéniciennes. Les Grecs, enchantés de ce secours, se livrèrent à la culture de leur langue, à la poésie et au chant; ils ne prirent goût à la politique, à l'architecture, à la navigation, à l'astronomie et à la peinture qu'après avoir voyagé à Memphis, à Tyr et à la cour de Perse; ils perfectionnent tout, mais n'inventent rien. Il est donc aussi manifeste par l'Histoire profane que par le récit de l'Ecriture sainte, que l'Orient est le berceau du genre humain et la source commune des nations et des belles connaissances. (Voyez

RACES, pour prouver qu'Adam est le père de tous les hommes. Voyez aussi CREATION.)

2. « A mesure que les hommes se multiplient, dit Bossuet, la terre se peuple de proche en proche; on passe les montagnes et les précipices, on traverse les fleuves et les mers et on établit de nouvelles habitations. La terre, qui n'était au commencement qu'une forêt immense, prend une autre forme; les bois abattus font place aux champs, aux pâturages, aux hameaux, aux bourgades et enfin aux villes. On s'instruit à prendre certains animaux, à apprivoiser les autres et à les accoutumer au service. On eut d'abord à combattre les bêtes farouches, et les premiers héros, comme Nemrod, se signalèrent dans ces guerres, qui firent inventer les armes. Avec les animaux, l'homme sut encore adoucir les fruits et les plantes; il plia jusqu'aux métaux à son usage, et peu à peu il fit servir toute la nature.-Les Egyptiens, heureusement situés, ont perfectionné les premiers arts et en ont inventé d'autres. Comme leur pays était uni et leur ciel toujours pur et sans nuages, ils ont beaucoup observé le cours des astres, et, les premiers, ils ont réglé l'année. Ces observations les ont naturellement fortifiés dans l'arithmétique. Pour reconnaître leurs terres, tous les ans couvertes par le débordement du Nil, ils ont été obligés de recourir à l'arpentage, qui leur a bientôt appris la géométrie. >> Les Indiens dont on a vanté la haute antiquité, étaient encore plongés dans l'ignorance la plus profonde et dans la barbarie, lorsque les Egyptiens, les Pheniciens et les Chaldéens se distinguaient par leurs connaissances et leur habileté dans les arts. Une partie des connaissances que les Indiens ont acquises paraît avoir été empruntée des Grecs, qui, depuis Alexandre, devenus maîtres de la Bactriane, et ensuite des bords de l'Indus, s'étaient répandus de tous côtés dans l'Inde et continuèrent depuis à fréquenter ces régions. — De même les Chinois, qui font remonter l'origine des sciences et des arts à

près de 3000 ans avant Jésus-Christ, ont été en relation avec les anciens peuples, de qui ils ont tiré la plupart des connaissances dont on leur fait honneur. Dans les temps où on leur suppose de très-belles lois et un grand empire, ils étaient bornés à un petit nombre de provinces et environnés de peuples barbares et sauvages qui les pressaient de toutes parts, et au milieu desquels il était impossible qu'ils eussent acquis le haut degré de civilisation qu'on veut bien leur prêter. Tout ceci nous ramène encore naturellement au récit de Moïse, qui nous montre que tous les peuples, toutes les langues, les sciences et les arts, ont eu leur berceau dans les plaines de Senaar et aux environs, d'où le genre humain est parti pour peupler toute la terre. (Voyez MYTHOLOGIE.)

Direction. Ces deux leçons, avec les renvois qui les développent et les complètent, sont destinées à faire goùter et aimer l'Ecriture sainte.- Pour bien saisir cet enseignement, les élèves doivent déjà savoir leur Histoire sainte et avoir quelque idée de l'Histoire ancienne. (Voy. BIBLE.)

Devoir écrit. Faire développer ces canevas 1. Ce que prouve l'ordre de la semaine. Berceau du genre humain. Dispersion des colonies et leur marche. Causes de l'ignorance et de l'état sauvage. Marche de la civilisation chez les peuples anciens. 2. Comment la ferre se peuple et se cultive peu à peu. Science des Egyptiens. Que penser de la science des Indiens et des Chinois. Que conclure de là.

ADAM. (Voyez DICTIONNAIRE COMIQUE.)

ADDISON. Célèbre écrivain anglais, 1672-1719, s'est surtout fait un nom par son élégance et son goût. C'est lui qui contribua le plus à faire apprécier le génie de Milton (Voyez ce MOT), que l'Angleterre avait longtemps méconnu. Outre la Relation de ses voyages en France et en Italie, ses Dialogues sur les médailles, un poëme qui eut beaucoup de succès, la

tragédie de Caton, il écrivit une Défense de la religion chrétienne, qu'il ne put achever. En 1709, et dans les années suivantes, il travailla avec Steele, autre écrivain anglais, à la rédaction du Spectateur, publication d'un genre tout nouveau, où la littérature, la morale et la politique étaient traitées d'une manière supérieure. « Addison n'était pas fait pour les grands ouvrages et n'avait pas les hautes parties du génie littėraire. Mais sa prose vivra dans la langue anglaise par la correction facile, la pureté, l'élégance. Les peintures générales de mœurs, les caractères originaux, enfin les fragments de critique jetés par lui dans le Spectateur n'ont jamais été surpassés, malgré tant d'essais semblables; c'est le style anglais dans sa perfection. Goldsmith en Irlande, Franklin en Amérique, l'ont pris pour modèle. Sans doute, depuís Addison, la critique littéraire est devenue plus métaphysique, plus raffinée, plus savante; mais a-t-elle rien fait de préférable aux gracieux et élégants chapitres du Spectateur sur l'imagination? Laissons donc à Addison la gloire d'avoir été moraliste ingénieux, critique spirituel et sensé, surtout excellent écrivain c'est beaucoup pour une vie partagée entre la politique et les lettres.» (Villemain, Littérature au XVIII® siècle.)

Direction. Dicter cette leçon aux élèves qui étudient l'anglais. Elle peut aussi être apprise par cœur et servir à trois usages orthographe, récitation et leçon de littérature, même pour ceux qui n'étudient pas l'anglais.

ADDITION. Les opérations de l'arithmétique se réduisent à deux : l'augmentation et la diminution des nombres. L'opération à l'aide de laquelle on augmente un nombre se divise en plusieurs procédés, tous identiques au fond, mais se distinguant par une spécialisation de plus en plus grande. Ainsi, on a : 1° la formation des nombres, qui consiste à ajouter l'unité à elle-même et à tous les nombres déjà produits; 2° l'addi

tion, qui a pour but d'ajouter toutes sortes de nombres les uns aux autres; c'est déjà un procédé de simplification supérieur au premier. S'il fallait ajouter à un nombre donné une à une toutes les unités d'un autre nombre, il faudrait un temps considérable; 3° la multiplication, qui consiste à ajouter un nombre à lui-même autant de fois qu'il y a d'unités dans un autre nombre; il est facile de voir que c'est un cas particulier de l'addition, car on n'ajoute pas ensemble divers nombres, mais bien le même nombre est ajouté à lui-même un certain nombre de fois, déterminé par la quantité d'unités contenues dans un autre nombre; 4° dans la formation des puissances, on ajoute un nombre à lui-même autant de fois qu'il contient d'unités; 5o dans les logarithmes, on est parvenu à abréger la multiplication de deux nombres considérables en additionnant simplement deux autres nombres beaucoup plus petits. Geci soit dit pour faire saisir la marche logique de l'enseignement dans l'arithmétique. Ne commençons donc pas par l'addition, en laissant de côté la partie fondamentale, la numération parlée et écrite (voyez NUMÉRATION), et ne continuons pas par la soustraction, puisque la multiplication se présente naturellement. Ceci est utile non-seulement à ceux qui cherchent la raison et le pourquoi des opérations, mais il est encore nécessaire de suivre cet ordre pour les petits enfants.

Direction et exercices. 1. Avant d'user de ce tableau, nécessaire au mo

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niteur pour les répétitions, les enfants doivent avoir fait, au moyen de bûchettes, des exercices variés sur la numération (voyez ce mot), au moins jusqu'au nombre 100. Ils savent ajouter à un nombre donné. Il s'agit maintenant, toujours au moyen de bûchettes, de leur faire saisir l'économie de cette table d'addition. Pour cela, prenez le chiffre 2, 1r colonne verticale à gauche, et ajoutez-le à chaque chiffre de la 1 colonne horizontale en haut, et vous avez neuf questions à faire. Faites le même exercice avec chacun des chiffres de la 1re colonne verticale, et vous aurez 81 questions, c'est-à-dire tous les cas qui peuvent se présenter dans l'addition des neuf premiers nombres. Quant à la réponse à chaque question, elle se trouve toujours à l'angle dont les deux colonnes, où l'on a pris les deux chiffres, forment les côtés.

Le tableau étant compris, les enfants apprendront par cœur cette table d'addition, avec ou sans les bûchettes, avec ou sans tableau, quatre exercices qui leur font toujours plaisir par leur variété.

Combien font 2

2 et 2 2 et 4 2 et 6

2 et 3

4

2 et 5

6

2 et 7

2 et 8

2 et 9

8

234567891

3

Combien font

5

4+2 4+ 3 4+4 4+5 7 4+6 4+7 4+8 4+9 9

Ce deuxième tableau, en variant les questions, augmente les difficultés. Au lieu d'ajouter 2, par exemple, successivement aux 9 premiers nombres, en suivant l'ordre naturel, on ajoute ce nombre 2 aux nombres pairs, puis aux nombres impairs. On fait le même exercice pour tous les chiffres de la colonne horizontale de Un autre genre de ce tableau. questions, qui ne demande pas de tableau, c'est de faire compter de 2 en 2, de 3 en 3, de 4 en 4. Combien font 2 et 2, et 2, et 2, etc., jusqu'à 50 au moins. Mêmes questions avec le 3, le 4, le 5, etc., en commençant tantôt par un nombre pair, tantôt par un nombre impair. Au moyen de ces exercices, le maître peut occuper très

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