| Victor Hugo - French poetry - 1853 - 410 pages
...Le soir tombait; la lutte éta:t ardente et noire. II avait l'oifensive et presque la victoire; II tenait Wellington acculé sur un bois. Sa lunette...mêlée, effroyable et vivante broussaille, Et parfois l'borizon, sombre comme la mer. Soudain, joyeux, il dit : Groucby ! — C'était Blftcber! L'espoir... | |
| Victor Hugo - French poetry - 1853 - 396 pages
...Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin, Et leur âme chantait dans les clairons d'airain! Le soir tombait ; la lutte était ardente et noire. Il avait l'offensive et presque la victoire; II tenait Wellington acculé sur un bois. Sa lunette à la main il observait parfois Le centre du combat,... | |
| 1877 - 876 pages
...soir tombait : la lutte était ardente et noire, II (i) avait l'offensive et presque la victoire; II tenait Wellington acculé sur un bois, Sa lunette...main, il observait parfois Le centre du combat, point obcur où tressaille La mêlée, effroyable et vivante broussaille, Et parfois l'horizon sombre comme... | |
| Victor Hugo - 1879 - 60 pages
...Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin, Et leur âme chantait dans les clairons d'airain ! Le soir tombait ; la lutte était ardente et noire. Il avait l'offensive et presque la victoire ; II tenait Wellington acculé sur un bois. Sa lunette à la main, il observait parfois Le centre du... | |
| Camille Fontaine - French language - 1889 - 438 pages
...Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin, Et leur âme chantait dans les clairons d'airain ! Le soir tombait ; la lutte était ardente et noire....l'offensive et presque la victoire ; Il tenait Wellington 1 acculé sur un bois. Sa lunette à la main, il observait parfois Le centre du combat, point obscur... | |
| Victor Hugo - 1882 - 502 pages
...Chassé vingt rois, passé les Alpes et le Rhin, Et leur âme chantait dans les clairons d'airain ! Le soir tombait; la lutte était ardente et noire. Il avait l'offensive et presque la victoire ; II tenait Wellington acculé sur un bois. Sa lunette à la main, il observait parfois Le centre du... | |
| Martial Besson - French poetry - 1891 - 260 pages
...leur âme chantait dans les clairons d'airain ! Le soir tombait; la lutte était ardente et noire. IF avait l'offensive et presque la victoire ; Il tenait...la main, il observait parfois Le centre du combat, pt»int obscur où tressaille La mêlée, effroyable et vivante broussaille. Et parfois l'horizon,... | |
| Charles Monselet - French literature - 1892 - 370 pages
...Waterloo, qui égale le tableau de la retraite de Russie. Qui ne sait par cœur ces vers prodigieux : Le soir tombait; la lutte était ardente et noire. Il avait l'offensive et presque la victoire : 11 tenait Wellington acculé sur un bois. Sa lunette à la main, il observait parfois Le centre du... | |
| Louise Both-Hendriksen - French language - 1897 - 236 pages
...leur âme chantait dans les clairons d'airain! Le soir tombait ; la lutte était ardente et noire. 25 Il avait l'offensive et presque la victoire ; Il tenait...tressaille La mêlée, effroyable et vivante broussaille, 30 Et parfois l'horizon, sombre comme la mer. L'espoir changea de camp, le combat changea d'âme, La... | |
| Frederic Spencer - French language - 1899 - 288 pages
...the syllabic value of the word in German. XVI. Waterloo. Le soir tombait : la luttç était ardentç et noire : Il avait l'offensive et presque la victoire ; Il tenait Wellington acculé sur un bois. Sa lunettç à la main, il observait parfois Le centre du combat, point obscur ou tressaille 5 La mêlée,... | |
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