Les chansons d'autrefois: vieux chants populaires de nos pères |
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Page 34
... plein de crotte Avant qu'elle expirat ! Ha ha ha ! ha ! ha ! ha ! etc. La pauvre Bourbonnaise Va dormir à son aise , Sans fauteuil et sans chaise , Sans lit et sans sofa . Ha ! ha ! ha ! ha ! Voilà qu'elle succombe , Elle est dans l ...
... plein de crotte Avant qu'elle expirat ! Ha ha ha ! ha ! ha ! ha ! etc. La pauvre Bourbonnaise Va dormir à son aise , Sans fauteuil et sans chaise , Sans lit et sans sofa . Ha ! ha ! ha ! ha ! Voilà qu'elle succombe , Elle est dans l ...
Page 78
... lui - même austère , Et qui , sous la douceur du miel , Ne déguise pas le mystère D'un cœur amer et plein de fiel . Oh ! la merveille Sans pareille ! Mari d'accord avec sa femme , La rareté ! Deux 78 LES CHANSONS D'AUTREFOIS .
... lui - même austère , Et qui , sous la douceur du miel , Ne déguise pas le mystère D'un cœur amer et plein de fiel . Oh ! la merveille Sans pareille ! Mari d'accord avec sa femme , La rareté ! Deux 78 LES CHANSONS D'AUTREFOIS .
Page 85
... plein des paquets . » Or , Bachot versait rasade , Que Manon sablait ; Pour lui faire une embrassade , Lève son mantelet . « J ' veux , dit - il , qu'on m'agonise , Manon , si de vous , Moi - même , en face de l'Église , Je ne deviens l ...
... plein des paquets . » Or , Bachot versait rasade , Que Manon sablait ; Pour lui faire une embrassade , Lève son mantelet . « J ' veux , dit - il , qu'on m'agonise , Manon , si de vous , Moi - même , en face de l'Église , Je ne deviens l ...
Page 91
... mal à moi - même ; Mais quand on est amoureux , Un cheveu de ce qu'on aime Tire plus que quatre bœufs . D'un pot plein de marjoleine Quand je te fis un présent , Aussitôt pour mon étrenne , Tu le cassis , moi CHANSONS POUR RIRE . 91.
... mal à moi - même ; Mais quand on est amoureux , Un cheveu de ce qu'on aime Tire plus que quatre bœufs . D'un pot plein de marjoleine Quand je te fis un présent , Aussitôt pour mon étrenne , Tu le cassis , moi CHANSONS POUR RIRE . 91.
Page 93
... plein de duretés . Quand ton humeur est revêche , Je rumine en mon cerviau , Et tu me semble une pêche , Dont ton cœur est le noyau . Le soleil qui fond la glace , N'est pas plus ardent que moi : Comme un gueux de sa besace , Je me sens ...
... plein de duretés . Quand ton humeur est revêche , Je rumine en mon cerviau , Et tu me semble une pêche , Dont ton cœur est le noyau . Le soleil qui fond la glace , N'est pas plus ardent que moi : Comme un gueux de sa besace , Je me sens ...
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Common terms and phrases
aimable aime AIR connu ALEXANDRE DUVAL amant amours ANONYME Aspasie AUTEUR INCONNU Bacchus baiser beau Bélisaire belle bergère boire bon roi Dagobert bon tabac buvons Cadet Rousselle Carabi caresse chagrin chanson chanter charmant cher CLEF DU CAVEAU cœur Colinette Confiteor corset COUPLETS Cythère d'aller au bois dame danser Désormais je serai Dieu doux enfant faridondaine fille fillette fleurs fripon Giroflé gloire Hélas Hippocrate homme J'ai du bon Javotte jeune joli jour l'amour l'échappe belle Lisette m'en maman Manon marmotte mère mirontaine Mironton monsieur mort Musique p'tit PANARD passe pauvre père petit patapon Pierrot plaisir des rois plaisirs pleurs poëte qu'un Relan Relan tamplan ROMANCE RONDE rose Rousselle est bon saint Éloi saint Hubert sais serai sage seulette soir soupire t'aime tendre tendresse Tircis Tontaine tonton tour Trala deridera V'là Va-t'en Vendange veux vieille Voilà la différence Voilà la ressemblance yeux
Popular passages
Page 169 - Combien j'ai douce souvenance Du joli lieu de ma naissance ! Ma sœur, qu'ils étaient beaux les jours De France ! O mon pays, sois mes amours Toujours ! Te souvient-il que notre mère, Au foyer de notre chaumière, Nous pressait sur son cœur joyeux, Ma chère ; Et nous baisions ses blancs cheveux Tous deux. Ma sœur, te souvient-il encore Du château que baignait la Dore...
Page 316 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Page 169 - Où l'airain sonnait le retour Du jour? Te souvient-il du lac tranquille Qu'effleurait l'hirondelle agile, Du vent qui courbait le roseau Mobile, Et du soleil couchant sur l'eau Si beau?
Page 321 - Représentants d'un peuple juste, 0 vous ! législateurs humains, De qui la contenance auguste Fait trembler nos vils assassins, Suivez le cours de votre gloire ! Vos noms, chers à l'humanité, Volent au temple de mémoire , Au sein de l'immortalité ! LIVRE DIXIÈME PRÉPARATIFS DE LA RÉVOLUTION DU 10 AOUT.
Page 316 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 319 - Partez, vaillants époux, les combats sont vos fêtes, Partez, modèles des guerriers ; ' Nous cueillerons des fleurs pour en ceindre vos têtes, Nos mains tresseront vos lauriers, Et si le temple de mémoire S'ouvrait à vos mânes vainqueurs, Nos voix chanteront votre gloire, Nos flancs porteront vos vengeurs. UNE JEUNE FILLE Et...
Page 7 - Charmante Gabrielle, Percé de mille dards, Quand la gloire m'appelle A la suite de Mars, Cruelle départie ! Malheureux jour ! Que ne suis-je sans vie Ou sans amour ! L'amour, sans nulle peine, M'a, par vos doux regards, Comme un grand capitaine, Mis sous ses étendards.
Page 398 - Elle fit un fromage, Et ron, ron, ron, petit patapon, Elle fit un fromage, Du lait de ses moutons, ron, ron, Du lait de ses moutons.
Page 317 - La victoire en chantant nous ouvre la barrière ; La liberté guide nos pas, Et du nord au midi la trompette guerrière A sonné l'heure des combats. Tremblez, ennemis de la France, Rois ivres de sang et d'orgueil ! Le peuple souverain s'avance ; Tyrans, descendez au cercueil.
Page 318 - Songez à nous aux champs de Mars : Consacrez dans le sang des rois et des esclaves Le fer béni par vos vieillards ; Et, rapportant sous la chaumière Des blessures et des vertus, Venez fermer notre paupière, Quand les tyrans ne seront plus.