| Charles Monselet - 1854 - 228 pages
...âme qui parlait à la mienne. Le fruit de la ronce sauvage me semblait délicieux, j'en mangeais pour me rafraîchir la bouche Ah! si le bonheur était...prêtant l'oreille, et je l'entrevis derrière les noyers Elle s'est approchée ; à sa taille légère, je l'ai prise pour Fanchon Berthier, ou pour Marie Jeanne... | |
| Charles Monselet - 1858 - 234 pages
...âme qui parlait à la mienne. Le fruit de la ronce sauvage me semblait délicieux, j'en mangeais pour me rafraîchir la bouche Ah! si le bonheur était...prêtant l'oreille, et je l'entrevis derrière les noyers Elle s'est approchée ; à sa taille légère, je l'ai prise pour Fanchon Berthier, ou pour MarieJeanne... | |
| 1913 - 992 pages
...la bouche ! ... Ah ! si le bonheur était là, pourquoi donc l'être venu chercher ici (à Paris) ? Pendant que je chantais, j'entendis une marche, comme d'une jeune fille : je ni arrêtai, prêtant l'oreille, et je 1 entrevis derrière les noyers. Elle s'est approchée. A sa... | |
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