Lexique de la langue de Molière comparée à celle des écrivains de son temps: avec des commentaires de philologie historique et grammaticale, Volume 3Imprimerie nationale, 1897 - French language |
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... jour à un orphevre : Maistre , je vous prie de me dire ... Eh bien , dit - il , pourquoy ? ... Je vous diray , mon maistre , dit le - paysant . - Stille de l'Orateur , 3o édít . , 1647 , p . 215-216 . - Au lieu de luy respondre à propos ...
... jour à un orphevre : Maistre , je vous prie de me dire ... Eh bien , dit - il , pourquoy ? ... Je vous diray , mon maistre , dit le - paysant . - Stille de l'Orateur , 3o édít . , 1647 , p . 215-216 . - Au lieu de luy respondre à propos ...
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... jour il luy conseilloit d'aimer Mon- talban , et le lendemain il luy conseilloit d'aimer Egeric . SEGRAIS , Nouv . franç . , 1656 ; 3 ° Nouv . , p . 35 . Si l'on croit aimer sa maîtresse pour l'amour d'elle , on est bien trompé . LA ...
... jour il luy conseilloit d'aimer Mon- talban , et le lendemain il luy conseilloit d'aimer Egeric . SEGRAIS , Nouv . franç . , 1656 ; 3 ° Nouv . , p . 35 . Si l'on croit aimer sa maîtresse pour l'amour d'elle , on est bien trompé . LA ...
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... jour , je vous déferai de ce maraud fieffé , de ce faquin d'Argante . - Fourb . de Scap . , II , 6 . Lupolde , fasché de ce pauvre belistre , dit que , si le tiers des biens ecclésiastiques estoient rendus aux pauvres de chacune ...
... jour , je vous déferai de ce maraud fieffé , de ce faquin d'Argante . - Fourb . de Scap . , II , 6 . Lupolde , fasché de ce pauvre belistre , dit que , si le tiers des biens ecclésiastiques estoient rendus aux pauvres de chacune ...
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... Jour de Dieu ! vous verrez . - MONTFLEURY , Dupe de soi - même , II , 5 . Mais mon bonheur voulut qu'en ce mesme temps deux belles levrettes et trois gros mastins de basse - cour arriverent , et coifferent sans marchander le gros animal ...
... Jour de Dieu ! vous verrez . - MONTFLEURY , Dupe de soi - même , II , 5 . Mais mon bonheur voulut qu'en ce mesme temps deux belles levrettes et trois gros mastins de basse - cour arriverent , et coifferent sans marchander le gros animal ...
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... jour et nuit dans son tonneau , bien marry , pensez , qu'il fust vuide . GARASSE , Doctr . cur . , in - 4 ° , 1624 , p . 135 . - Doris , sans dire mot , tenoit les yeux en terre , comme ne sçachant si elle devoit estre aise ou marrie ...
... jour et nuit dans son tonneau , bien marry , pensez , qu'il fust vuide . GARASSE , Doctr . cur . , in - 4 ° , 1624 , p . 135 . - Doris , sans dire mot , tenoit les yeux en terre , comme ne sçachant si elle devoit estre aise ou marrie ...
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Common terms and phrases
amour Amph avoit beau belle BENSSERADE Bertr bibl BOIS-ROBERT BOSSUET BOUHOURS Bourg BRUY C'est-à-dire celuy CHAMPMESLÉ CHAPELAIN Chassang chose cœur Coméd Contes Coquette CORN Corneille Cotgrave Crisp Crit d'Alfar D'OUVILLE D'URFÉ Dand David Dép DESPR Diction dire donne édit elzév Escarb esté Estienne estoit estre Fabl Fâch femme Fille capitaine FONT Fourb franç Furetière Garc gens gent gentilh Guzm HAUTEROCHE Hist homme hypocondre ibid interm j'ai j'ay Jouaust Juan l'Académie L'Astrée l'Éc L'Ét locution LORET Madame MALH Méd Ménechmes mesme mignon Misanth Molière Monsieur MONTFLEURY Muze histor Nouv OEuvr Ovide bouffon parler passe personne peste pique Poés Polyandre Pourc Princ pronom QUINAULT quoy REGNARD Richelet rien ROCHEF SAINT-AMANT SARASIN Scap SCARRON SEGRAIS sens seroit Sév Sgan Simandre SOREL SUBLIGNY Tart Trad trav Trigaudin trouve univ Vaudev Vaugelas verbe veux Virg Voilà
Popular passages
Page 653 - Lorsque nous concevons la substance , nous concevons seulement une chose qui existe en telle façon qu'elle n'a besoin que de soi-même pour exister. En quoi il peut y avoir de l'obscurité touchant l'explication de ce mot : N'avoir besoin que de soi-même ; car, à proprement parler, il n'ya que Dieu qui soit tel, et il n'ya aucune chose créée qui puisse exister un seul moment sans être soutenue et conservée par sa puissance.
Page 471 - Non, non, il n'est point d'âme un peu bien située Qui veuille d'une estime ainsi prostituée; Et la plus glorieuse a des régals peu chers ' Dès qu'on voit qu'on nous mêle avec tout l'univers.
Page 625 - Oui, je comprends cela. ALAIN C'est justement tout comme, La femme est en effet le potage de l'homme; Et quand un homme voit d'autres hommes parfois, Qui veulent dans sa soupe aller tremper leurs doigts, II en montre aussitôt une colère extrême.
Page 353 - Laissons-nous aller de bonne foi aux choses qui nous prennent par les entrailles, et ne cherchons point de raisonnements pour nous empêcher d'avoir du plaisir.
Page 286 - A CES CAUSES, et autres à ce nous mouvant, de l'avis de notre Conseil et de notre certaine science...
Page 633 - N'avoir besoin que de soimême; car, à proprement parler, il n'ya que Dieu qui soit tel, et il n'ya aucune chose créée qui puisse exister un seul moment sans être soutenue et conservée par sa puissance. C'est pourquoi on a raison dans l'école de dire que le nom de substance n'est pas univoque...
Page 695 - L'auteur avait du bon, du meilleur; et la France Estimait dans ses vers le tour et la cadence. Qui ne les eût prisés? J'en demeurai ravi; Mais ses traits ont perdu quiconque l'a suivi. Son trop d'esprit s'épand en trop de belles choses : Tous métaux y sont or, toutes fleurs y sont rosés.
Page 557 - ... c'est trahir visiblement la cause de Dieu de se taire dans une occasion où sa gloire est ouvertement attaquée, où la foi est exposée aux insultes d'un bouffon qui fait commerce de ses mystères et qui en prostitue la sainteté, où un athée, foudroyé en apparence, foudroie en effet et renverse tous les fondements de la religion...
Page 70 - Vous eûtes de la complaisance ; Mais vous en deviez moins avoir, Et ne vous pas mettre en dépense Pour ne me donner que l'espoir.
Page 441 - Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas ; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile, Et laisser la science aux docteurs de la ville...