Memoires: Section des lettres, Volume 5 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Aigulf Alcuin Anian Ardon Arnaud de Villeneuve avaient Batlle Bened Benoit Bonne de Pons bulle Capitation cardinal Casaub Casaubon chrétienne cœur comte conseil consuls cour d'Aniane Daniel Encontre deliberation députés devait Dieu diocèses divine donner duc de Saint-Simon Duclos enim Epist esprit États évêques Félix d'Urgel frères grand-maître hommes Ibid Innocent Innocent III Isaac jour l'abbé l'Église l'Espagne l'Hérault l'hôpital l'intendant l'ordre du Saint-Esprit Languedoc lettre lieutenant de maire livres Louis XIV Madame de Maintenon Madame de Sévigné Maguelone maison Majesté maréchal meme Mémoires de Noailles ment Messire mihi Mme d'Heudicourt Mme de Maintenon Mme de Montespan monastère Montmayeur Montpellier n'était Narbonne pape parler personne peuple Philippe de Canaye poète premier prince province quæ quam quod Raymond Lulle Régent règle religieux Rome royale saint Saint-Esprit Saint-Simon Scarron sciences seigneur Septimanie serait seulement Sévigné siècle suivant sunt tion Toulouse trouve Wittiza
Popular passages
Page 513 - Croissez et multipliez, et remplissez la terre, et l'assujettissez, et dominez sur les poissons de la mer, et sur les oiseaux des cieux, et sur toute bête qui se meut sur la terre.
Page 432 - Enfin, nul autre ami n'a tant de soin et d'attention que le roi en a pour elle ; et , ce que j'ai dit bien des fois , elle lui fait connaître un pays tout nouveau , je veux dire , le commerce de l'amitié et de la conversation , sans chicane et sans contrainte : il en paraît charmé.
Page 155 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 405 - Lui, marchand? C'est pure médisance, il ne l'a jamais été. Tout ce qu'il faisait, c'est qu'il était fort obligeant, fort officieux ; et comme il se connaissait fort bien en étoffes, il en allait choisir de tous les côtés , les faisait apporter chez lui , et en donnait à ses amis pour de l'argent.
Page 258 - Louis annonça qu'il allait gouverner par lui-même; et, dès qu'il ne fut plus ostensiblement asservi, il crut régner. En butte alors à tous les genres de séduction, il se laissa persuader qu'il était parfait, et, dès ce moment, il fut inutile de l'instruire.
Page 33 - Là paraissent, avec éminence, la prudence et la Simplicité, l'humilité et le courage, la sévérité et la douceur, la liberté et la dépendance. Là, la correction a toute sa fermeté ; la condescendance, tout son attrait; le commandement, toute sa vigueur ; et la sujétion , son repos ; le silence , sa. gravité; et la parole , sa...
Page 524 - ... du mérite. Ils ne doivent pas ignorer que les plus misérables écrivains en ce genre partagent presque également cet honneur avec eux. La satire , la licence et l'impiété n'ont jamais seules prouvé d'esprit.
Page 658 - ... et nous ressouvenant des frayeurs qui vous agitoient, on peut, ce me semble, en tirer un bon augure pour l'avenir et croire sans crainte de se flatter mal à propos que l'orage , arrivé à son période, commence à s'apaiser. Pour moi , madame , j'en suis si persuadée que les ennemis, lorsqu'ils refusent de conclure la paix aux conditions dont le Roi a bien voulu convenir, me...
Page 262 - ... de s'adresser à Louis XIV, et de le prier de rappeler le grand -prieur. Louis se fit obéir à Londres , l'exilé revint tremblant à Versailles, dit Duclos. Dubois qui connaissait le faible du prince , chercha à l'entretenir, et lui présenta la vie licencieuse et le plaisir comme le seul bien que l'on puisse se procurer quand on est prince , en dédommagement...
Page 416 - Elle ne se doute pas que je l'aie pénétrée, et elle m'en aime davantage. Ce matin, elle a exigé que je lui donnasse ma parole de ne la point quitter. Je lui ai tout promis; j'ai tout oublié; nous nous sommes embrassées. Désormais nous vivrons en paix1.