Des homonymes français |
From inside the book
Results 1-5 of 37
Page 6
... gens qui commencent à composer , éprou- vent journellement ces difficultés ; les leur applanir est mon but . C'est pour eux , c'est pour elles sur - tout , que je me suis occupé de ce recueil , qui manquait à notre langue . Ce n'est pas ...
... gens qui commencent à composer , éprou- vent journellement ces difficultés ; les leur applanir est mon but . C'est pour eux , c'est pour elles sur - tout , que je me suis occupé de ce recueil , qui manquait à notre langue . Ce n'est pas ...
Page 13
... gens appliquent ce mot d'un poète : C'est là l'esprit de ceux qui n'en ont pas . J'imiterai plutôt la tolérance de Boileau et je répéterai après lui : Ce n'est pas quelquefois qu'une Muse un peu fine , Sur un mot , en passant , ne joue ...
... gens appliquent ce mot d'un poète : C'est là l'esprit de ceux qui n'en ont pas . J'imiterai plutôt la tolérance de Boileau et je répéterai après lui : Ce n'est pas quelquefois qu'une Muse un peu fine , Sur un mot , en passant , ne joue ...
Page 18
... gens sévères , c'est d'avoir prodigué les anecdotes et les citations de vers . Mais pour rendre cet écrit plus utile , j'ai dû le rendre moins aride . J'ajouterai , à l'égard des citations de vers , que je les crois infiniment ...
... gens sévères , c'est d'avoir prodigué les anecdotes et les citations de vers . Mais pour rendre cet écrit plus utile , j'ai dû le rendre moins aride . J'ajouterai , à l'égard des citations de vers , que je les crois infiniment ...
Page 58
... gens de goût savent par cœur la moitié des odes de Rousseau . Boileau , dans son art poétique , a fort bien caractérisé › les deux genres de l'ode : le genre élevé , et le genre anacréontique . L'ode , avec plus d'éclat et non moins d ...
... gens de goût savent par cœur la moitié des odes de Rousseau . Boileau , dans son art poétique , a fort bien caractérisé › les deux genres de l'ode : le genre élevé , et le genre anacréontique . L'ode , avec plus d'éclat et non moins d ...
Page 63
... donner , qui en rend toute la valeur . Les gens de loi et les notaires sont les seuls qui disent encore bailler à forme , bailler et délaisser par testament . La diphtongue ai est brève dans ce mot . Báiller BAI 63 B. ...
... donner , qui en rend toute la valeur . Les gens de loi et les notaires sont les seuls qui disent encore bailler à forme , bailler et délaisser par testament . La diphtongue ai est brève dans ce mot . Báiller BAI 63 B. ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
adjectif adverbe aime AMICT Apollon appelle Arques assez Avent beau beauté belle BOILEAU bois bottes bref chant charme chère cheval chose cœur comp Corneille d'Hist de-là décline DELILLE Dict dieu dire donne Doubs enfans espèce expression fable féminin femme figuré fleurs FONTAINE forme genre géo grace GRESSET h aspiré h s'aspire homme homonymes icht impératif j'ai jeu d'échecs jolie jour Jupiter l'abbé d'Olivet l'Acad l'adjectif l'Amour l'impératif locution main Marot masculin MOLIÈRE monosyllabe mots myth nomme oiseaux orne ornit parler participe du verbe particule peint phrase phys pièce plante pluriel poésie poète porte premier prend prép préposition Présent du verbe prétérit pron pronom personnel pronom possessif prononciation qu'un quelquefois Racine régime rime rivière ROUSSEAU s'écrit s'emploie sainte second sens sentir sert seul signifie singulier sorte souvent style familier subjonctif substantif sur-tout syllabe terme voilà voile Voltaire voyelle zool
Popular passages
Page 269 - LE LOUP ET LE CHIEN Un Loup n'avait que les os et la peau Tant les Chiens faisaient bonne garde. Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau, Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde. L'attaquer, le mettre en quartiers, Sire Loup l'eût fait volontiers. Mais il fallait livrer bataille, Et le Mâtin était de taille A se défendre hardiment. Le Loup donc l'aborde humblement, Entre en propos, et lui fait compliment Sur son embonpoint, qu'il admire. Il ne tiendra qu'à vous, beau Sire,...
Page 271 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles ; On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois ; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois.
Page 122 - La peste de ta chute, empoisonneur, au diable! En eusses-tu fait une à te casser le nez ! PHILINTE.
Page 137 - Perrette , sur sa tête ayant un pot au lait Bien posé sur un coussinet , Prétendait arriver sans encombre ' à la ville. Légère et court vêtue , elle allait à grands pas , Ayant mis ce jour-là , pour être plus agile , Cotillon simple et souliers plats. Notre laitière ainsi troussée Comptait déjà dans sa pensée Tout le prix de son lait ; en employait l'argent ; Achetait un cent d'œufs , faisait triple couvée : La chose allait à bien par son soin diligent.
Page 132 - C'est là leur diadème; ils en font plus de compte Que d'un cercle à fleurons de marquis et de comte Et des larges mortiers à grands bords abattus, Et de ces mitres d'or aux deux sommets pointus.
Page 62 - C'est en vain qu'au Parnasse un téméraire auteur Pense de l'art des vers atteindre la hauteur : S'il ne sent point du ciel l'influence secrète, Si son astre en naissant ne l'a formé poète, Dans son génie étroit il est toujours captif; Pour lui Phébus est sourd , et Pégase est rétif.
Page 301 - Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages : Tout Bourgeois veut bâtir comme les grands Seigneurs, Tout petit Prince a des Ambassadeurs, Tout Marquis veut avoir des Pages.
Page 36 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais; Je veux : mais (ô misère extrême ! ) Je ne fais pas le bien que j'aime , Et je fais le mal que je hais.
Page 371 - Où me cacher? Fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je? mon père y tient l'urne fatale; Le sort, dit-on, l'a mise en ses sévères mains : Minos juge aux enfers tous les pâles humains.
Page 188 - C'est moi, prince, c'est moi dont l'utile secours Vous eût du labyrinthe enseigné les détours. Que de soins m'eût coûtés cette tête charmante? Un fil n'eût point assez rassuré votre amante : Compagne du péril qu'il vous fallait chercher, Moi-même devant vous j'aurais voulu marcher; Et Phèdre, au labyrinthe avec vous descendue, Se serait avec vous retrouvée ou perdue.