Physiologie de la pensée: recherche critique des rapports du corps a l'ésprit, Volume 1 |
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Common terms and phrases
actes affections anatomique animaux antérieurs appelle avons besoin c'est-à-dire centre cérébrale cerveau chose commune conditions organiques conscience considérable contraire corps côté d'abord d'autres d'être degré dernier Descartes détermination développement différence dire distinction diverses doctrine doit donner doute effet enfin esprit exemple extérieur facultés fonctions fond forme générale haut homme humaine idées images impressions instincts intellectuelles j'ai jugement l'âme l'entendement l'esprit l'homme l'instinct l'intelligence l'organe l'une lieu livre loin lui-même main manière matière mémoire ment moelle épinière monde moral mouvement moyen n'en nature nécessaire nerfs objets ordre parler particulier passions pensée perception personne peut-être philosophie physiologie place plutôt porte pose pourrait pourtant pouvoirs premier presque proprement psychologique qu'à qu'une question raison rapports recherches relations représente respiration reste rien sait savoir science seconde semble sens sensation sensibilité sentiment serait seul siége sorte souvent substance suite suivant sujet surtout système nerveux tion toucher trouve vérité veut voilà volonté vrai
Popular passages
Page 353 - ... car il n'ya en nous qu'une seule âme , et cette âme n'a en soi aucune diversité de parties ; la même qui est sensitive est raisonnable , et tous ses appétits sont des volontés.
Page 21 - Une chose qui pense : qu'est-ce qu'une chose qui pense, c'est-à-dire une chose qui doute, qui entend, qui conçoit, qui affirme, qui nie, qui veut, qui ne veut pas, qui imagine aussi, et qui sent?
Page 350 - Et toute l'action de l'âme consiste en ce que, par cela seul qu'elle veut quelque chose , elle fait que la petite glande , à qui elle est étroitement jointe , se meut en la façon qui est requise pour produire l'effet qui se rapporte à cette volonté.
Page 62 - Mais, pour entendre plus parfaitement toutes ces choses, il est besoin de savoir que l'âme est véritablement jointe à tout le corps, et qu'on ne peut pas proprement dire qu'elle soit en quelqu'une de ses parties à l'exclusion des autres...
Page 83 - ... ni sensitive, ni aucun autre principe de mouvement et de vie, que son sang et ses esprits agités par la chaleur du feu qui brûle continuellement dans son cœur, et qui n'est point d'autre nature que tous les feux qui sont dans les corps inanimés.
Page 353 - Et ce n'est qu'en la répugnance qui est entre les mouvements que le corps par ses esprits et l'âme par sa volonté tendent à exciter en même temps dans la glande , que consistent tous les combats qu'on a coutume d'imaginer entre la partie inférieure de l'âme qu'on nomme sensitive et la supérieure , qui est raisonnable...
Page 349 - ... est que je considère que les autres parties de notre cerveau sont toutes doubles, comme aussi nous avons deux yeux , deux mains , deux oreilles , et enfin tous les organes de nos sens extérieurs sont doubles ; et que , d'autant que nous n'avons qu'une seule et simple pensée d'une même chose en même temps, il faut nécessairement qu'il y ait quelque lieu où les deux images qui viennent par les deux yeux, où les deux autres impressions qui viennent d'un seul objet par les doubles organes...
Page 273 - Il résulte de tout ce que nous venons de dire que le mode d'action des autimouiaux dans le rhumatisme articulaire, e«t tout autre que dans la péri pneumonie.
Page 30 - ... semblables, puissent être entendues en un sens clair et distinct par ceux qui examinent avec attention leurs propres idées, et qui règlent plutôt leurs pensées sur l'évidence des choses que sur le son des mots, je crains pourtant que cette manière de parler des facultés de l'âme n'ait fait venir à plusieurs personnes l'idée confuse d'autant d'agents qui existent distinctement en nous, qui ont différentes fonctions et...