... à adoucir nos mœurs, à nous tirer de notre ignorance, à nous arracher à nos coutumes grossières ou féroces. Les papes parmi nos ancêtres furent des missionnaires des arts envoyés à des barbares , des législateurs chez des Sauvages, o Le... Le génie du christianisme - Page 236by François-René vicomte de Chateaubriand - 1852Full view - About this book
| François-René vicomte de Chateaubriand - Art and religion - 1816 - 574 pages
...nations : elle cherchoità adoucir nos mœurs, à nous tirer de notre ignorance , à nous arracbcr à nos coutumes grossières ou féroces. Les papes...politesse , qui » fut probablement le fruit du voyage de » Piome. » C'est donc une chose assez généralement reconnue , que l'Europe doit au Saint-Siége... | |
| Voltaire - 1820 - 582 pages
...francs; elle affectait pour ces Francs un mépris qu'elle n'avait pas. Le règne seul de Charlemagne jut une lueur de politesse qui fut probablement le fruit du voyage de Rome, ou plutôt de son génie. Ses prédécesseurs ne furent illustres que par desdéprédations : ils détruisirent... | |
| Voltaire - History - 1821 - 526 pages
...francs; elle affectait pour ces Francs un mépris qu'elle n'avait pas. Le règne seul de Charlemagne eut une lueur de politesse qui fut probablement le fruit du voyage de Rome, ou plutôt de son génie. Ses prédécesseurs ne furent illustres que pai des déprédations : ils... | |
| John Chetwode Eustace - Italy - 1821 - 490 pages
...lib. iii. K«/>. i. f Le regne seul de Charlemagne, says Voltaire, an author not very partial to Rome, eut une lueur de politesse, qui fut probablement le fruit du voyage a Rome, " In the reign of Charlemagne alone there was a gleam of politeness, which was probably the... | |
| Pierre Joseph Alexis Tabaraud - 1824 - 156 pages
...barrières que les préjugés élèvent « entre les nations : elle cherchait à adoucir « nos mœurs , à nous tirer de notre ignorance, « à nous arracher...barbares, des législateurs chez des « sauvages... C'est doncune chose assez généra « lement reconnue, que l'Europe doit au saint« siége sa civilisation,... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - 1826 - 474 pages
...barrières que les préjugés élèvent entre les nations ; elle cherchoit à adoucir nos mœurs , à nous tirer de notre ignorance , à nous arracher à...dit Voltaire, eut une lueur de politesse, qui fut pro» bablement le fruit du voyage de Rome. » ( Génie du, Christianisme, tome iv , 4me. partie, liv.... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - French literature - 1826 - 474 pages
...barrières que les préjugés élèvent entre les nations ; elle cherchoit à adoucir nos mœurs , à nous tirer de notre ignorance , à nous arracher à...législateurs chez des Sauvages. « Le règne seul de.Charlemagne, » dit Voltaire, eut une lueur de politesse, qui fut pro» bablement le fruit du voyage... | |
| François-René vicomte de Chateaubriand - French literature - 1827 - 418 pages
...les préjugés élèvent entre les nations : elle cher choit à adoucir nos mœurs, à nous tirer <le notre ignorance, à nous arracher à nos coutumes...législateurs chez des Sauvages. « Le règne seul de Charle» magne , dit Voltaire , eut une lueur de poli» tesse, qui fut probablement le fruit du voyage... | |
| Félicité Robert de Lamennais - Church and state - 1826 - 362 pages
...cherchoit à adoucir nos mœurs, à nous tirer »de notre ignorance, à nous arracher à nos cou» tûmes grossières ou féroces. Les Papes, parmi » nos ancêtres,...«envoyés à des barbares , des législateurs chez les i44 • sauvages. Le règne seul de Charlemagne , dit M. de » Voltaire , eut une lueur de politesse... | |
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