Le Correspondant, Volume 60; Volume 96Charles Douniol, 1874 - French periodicals |
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... sommes là . Le gouvernement cherche les moyens de ré- primer cette émeute , qui attend sans tirer ni désarmer . La garde nationale ne comprend pas le danger , et elle ne vient pas ; nous sommes cent cinquante sur douze cents de mon ...
... sommes là . Le gouvernement cherche les moyens de ré- primer cette émeute , qui attend sans tirer ni désarmer . La garde nationale ne comprend pas le danger , et elle ne vient pas ; nous sommes cent cinquante sur douze cents de mon ...
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... sommes convaincus que M. Thiers ne se propose point de contrister le pape . Il ne le voudrait pas , surtout dans des cir- constances où la vieillesse de l'auguste pontife a tant de sujets d'af- fliction et d'angoisses . Nous sommes ...
... sommes convaincus que M. Thiers ne se propose point de contrister le pape . Il ne le voudrait pas , surtout dans des cir- constances où la vieillesse de l'auguste pontife a tant de sujets d'af- fliction et d'angoisses . Nous sommes ...
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... sommes au delà des larmes , comme dit Shakespeare . Il faut prendre Dieu pour appui et agir toujours et malgré tout . « Recevez mes remercîments les plus vifs et mes dévoués respects . « A. COCHIN . >> On devait croire le silence de M ...
... sommes au delà des larmes , comme dit Shakespeare . Il faut prendre Dieu pour appui et agir toujours et malgré tout . « Recevez mes remercîments les plus vifs et mes dévoués respects . « A. COCHIN . >> On devait croire le silence de M ...
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... sommes - nous obligés d'avouer humblement que la France est tra- vaillée par une maladie à part , par un mal français . Quel est - il et comment le guérir ? « Je vous demande , mon cher ami , de me donner votre réponse . Je suis ...
... sommes - nous obligés d'avouer humblement que la France est tra- vaillée par une maladie à part , par un mal français . Quel est - il et comment le guérir ? « Je vous demande , mon cher ami , de me donner votre réponse . Je suis ...
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... sommes donc tous vivants et réunis , grâce à Dieu , dans notre maison pillée . Mais je souffre cruellement du douloureux martyre de l'inutilité . Trop catholique pour jamais réussir à Paris , trop libéral pour être adopté dans les ...
... sommes donc tous vivants et réunis , grâce à Dieu , dans notre maison pillée . Mais je souffre cruellement du douloureux martyre de l'inutilité . Trop catholique pour jamais réussir à Paris , trop libéral pour être adopté dans les ...
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Common terms and phrases
âme assez avaient Benoît IX BERTHE Bismark Brésil Bruyère c'était catholique cause Cecil Champlieu chose chrétienne Cochin cœur comte conseil d'Écosse Darnley Dauphine devant Dieu dire docteur donner Écosse Édimbourg Élisabeth esprit eût évêque femme force GASPARD gouvernement Grégoire Grégoire VII guerre hommes Hosack j'ai jamais jeune jour Jules Gauthier Keith l'Assemblée l'Église l'empereur l'Empire l'emprunt Labanoff laisser livre livre de Daniel lords Louis XVI madame madame de Polignac main maison de Condé Marie Stuart Marie-Antoinette marine MATHILDE ment Mercy à Marie-Thérèse millions ministre monde morale Moray Morgan mort Morton n'avait n'était Nabuchodorossor navires pape parler parole passé Paul de Foix pays pensée père Périclès personne peuple politique pouvait première prince princesse Prusse public raison Randolph reine religieuse république reste Riccio rien romain Rome s'était saint semble sentiment serait seul siècle sorte Stuart Mill surtout théâtre tion Tonkin trouve vrai yeux
Popular passages
Page 29 - ... 0 profondeur des trésors de la sagesse et de la science de Dieu! que ses jugements sont incompréhensibles , et...
Page 540 - Un homme à la cour, et souvent à la ville, qui a un long manteau de soie ou de drap de Hollande, une ceinture large et placée haut sur l'estomac, le soulier de maroquin, la calotte de même, d'un beau grain, un collet bien fait et bien empesé, les cheveux arrangés et le teint vermeil, qui avec cela se souvient de quelques distinctions métaphysiques, explique ce que c'est que la lumière de gloire, et sait précisément comment l'on voit Dieu, cela s'appelle un docteur.
Page 528 - C'est un métier que de faire un livre, comme de faire une pendule. Il faut plus que de l'esprit pour être auteur. Un magistrat allait par son mérite à la première dignité, il était homme délié et pratique dans les affaires ; il a fait imprimer un ouvrage moral qui est rare par le ridicule.
Page 527 - II ya des âmes sales, pétries de boue et d'ordure, éprises du gain et de l'intérêt, comme les belles âmes le sont de la gloire et de la vertu...
Page 51 - Par la comédie, par la tragédie, par le drame, par la bouffonnerie, dans la forme qui nous conviendra le mieux, inaugurons donc le théâtre utile, au risque d'entendre crier les apôtres de l'art pour l'art, trois mots absolument vides de sens. Toute littérature qui n'a pas en vue la perfectibilité, la moralisation, l'idéal, l'utile, en un mot, est une littérature rachitique et malsaine, née morte.
Page 629 - Tuileries, il y avait une si grande foule que nous avons été trois quarts d'heure sans pouvoir ni avancer, ni reculer. M. le Dauphin et moi avons recommandé plusieurs fois aux gardes de ne frapper personne, ce qui a fait un très bon eflet.
Page 527 - De telles gens ne sont ni parents, ni amis, ni citoyens, ni chrétiens, ni peut-être des hommes : ils ont de l'argent.
Page 521 - ... beaucoup de fermeté et une grande étendue d'esprit pour se passer des charges et des emplois , et consentir ainsi à- demeurer chez soi et à ne rien faire. Personne presque n'a assez .de mérite pour jouer ce rôle avec dignité , ni assez de fonds pour remplir le vide du temps, sans ce que le vulgaire appelle des affaires. Il ne manque cependant à l'oisiveté du sage , qu'un meilleur nom ; et que méditer, parler, lire , et être tranquille, s'appelât travailler.
Page 520 - Il faut chercher seulement à penser et à parler juste, sans vouloir amener les autres à notre goût et à nos sentiments : c'est une trop grande entreprise.
Page 504 - Non 1 me répondit nettement une voix intérieure que je ne pouvais réprimer. Je me sentis défaillir ; tout ce qui me soutenait dans la vie s'écroula. Tout mon bonheur, je devais le tenir de la poursuite incessante de cette fin. Le charme qui me fascinait était rompu ; insensible à la fin, pouvais-je encore m'intéresser aux moyens ? Il ne me restait plus rien à quoi je pusse consacrer ma vie