Je pense , donc je suis, sur quoi « roule toute la philosophie de Descartes, est une « conclusion pour eux bien froide et bien languissante. « J'aime, donc je suis, est une conséquence toute vive, « tout animée , par où l'on rappelle les désirs... Traité de la vieillesse, hygiénique, médical et philosophique, ou Recherches ... - Page 140by Joseph-Henri Reveillé-Parise - 1853 - 488 pagesFull view - About this book
| Jean-François de La Harpe - Literature - 1840 - 718 pages
...la philosophie de Descartes , est une conclusion pour eux bien froide et bien languissante, faimc, donc je suis, est une conséquence toute vive , tout animée , par où l'on rappelle les désirs de la jeunesse .jusqu'à s'imaginer quelquefois être jeune encore. Vous me direz que c'est... | |
| Académie nationale des sciences, arts et belles-lettres de Caen - 1849 - 1076 pages
...toute la philosophie de Descartes, est une « conclusion pour eux bien froide et bien languissante. « J'aime, donc je suis, est une conséquence toute vive, « tout animée , par où l'on rappelle les désirs de la * jeunesse, jusqu'à s'imaginer quelquefois d'être jeune « encore. » On conçoit... | |
| 1850 - 560 pages
...roule la philosophie de M. Descartes , est une conclusion pour eux bien froide et bien languissante : j'aime , donc je suis, est une conséquence toute vive , tout animée , par où l'on rappelle les désirs de la jeunesse, jusqu'à s'imaginer quelquefois d'être jeune encore. » C'est de ce ton... | |
| 1851 - 578 pages
...toute la philosophie de Descartes, est une « conclusion pour eux bien froide et bien languissante. a J'aime, donc je suis, est une conséquence toute vive, « tout animée , par où l'on rappelle les désirs de la « jeunesse, jusqu'à s'imaginer quelquefois d'être jeune « encore. « du reste... | |
| Pierre André Sayous - 1853 - 426 pages
...roule la philosophie de M. Descartes , est une conclusion pour eux bien froide et bien languissante : j'aime, donc je suis, est une conséquence toute vive, tout animée par où l'on rappelle les désirs de la jeunesse, jusqu'à s'imaginer quelquefois d'être jeune encore. » ^ Pour entrer... | |
| Gustave Merlet - 1870 - 352 pages
...philosophie de M. Descartes, est pour un septuagénaire une conclusion bien froide et bien languissante. J'aime, donc je suis, est une conséquence toute vive, tout animée, par où l'on rappelle les désirs de sa jeunesse, jusqu'à s'imaginer quelquefois d'être jeune encore. » Cette confidence... | |
| Louis-Mathurin Moreau-Christophe - Hygiene - 1873 - 486 pages
...Je pense, donc je suis, de Descartes, est une conclusion pour eux bien froide et bien languissante. J'aime, donc je suis, est une conséquence toute vive, tout animée, par où l'on rappelle les désirs de la jeunesse, jusqu'à s'imaginer quelquefois être jeune encore (31). » Et le célèbre... | |
| Julien Gilles Travers - 1886 - 918 pages
...toute la » philosophie de Descarte, est une conclusion pour eux bien » froide et bien languissante. J'aime, donc je suis, est une » conséquence toute vive, tout animée, par où l'on rappelle » les désirs de la jeunesse, jusqu'à s'imaginer quelquefois » d'être jeune encore. D On conçoit... | |
| Saint-Evremond - 1892 - 572 pages
...toute la philosophie de Descartes, est une con« clusion pour eux bien froide et bien languissante. J'aime, donc « je suis, est une conséquence toute vive , tout animée , par où « l'on rappelle les désirs de la jeunesse, jusqu'à s'imaginer quel« quefois d'être jeune encore. » On conçoit... | |
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