| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - France - 1791 - 316 pages
...étoit un grand homme maigre , bien fait , avec un grand nez, des yeux dont le feu et l'esprit sortoient comme un torrent , et une physionomie telle que je n'en ai vu qui y ressemblât , et qui ne se pouvoit oublier quand on ne l'auroit vu qu'une fois. Elle rassembloit tout, et les contraires ne... | |
| cardinal Louis François de Bausset - 1808 - 522 pages
...sortaient comme un torrent , et une physio» uomie , telle que je n'en ai vue qui y ressem.» blùi „ et qui ne pouvait s'oublier, quand on » ne l'aurait vue qu'une fois. » Elle rassemblait tout, et les contraires ne » s'y combattaient point ; elle avait de la gra»vité... | |
| Jean Vatout, Louis Philippe (King of the French) - 1826 - 464 pages
...le feu et l'esprit sortaient comme un tor« rent, et une physionomie tejle que je n'en ai « jamais vu qui y ressemblât, et qui ne pouvait « s'oublier, quand on ne l'aurait vue qu'une fois. «Elle rassemblait tout, et les contraires ne s'y « combattaient point ; elle avait de la gravité... | |
| Jean Siffrein Maury - Eloquence - 1827 - 458 pages
...un grand homme maigre , bien fait, « avec un grand nez , des yeux dont le feu et l'esprit sortoient comme un torrent, et une physionomie telle que je n'en ai vu aucune qui y ressemblât , et qui ne se pouvoit oublier .quand on ne l'auroit vue qu'une fois. Elle... | |
| Jean Siffrein Maury - Eloquence - 1827 - 474 pages
...grand homme maigre , bien fait, « avec un grand nez, des yeux dont le feu et l'esprit « sortoient comme un torrent, et une physionomie telle « que je n'en ai vu aucune qui y ressemblât , et qui ne « se pouvoit oublier quand on ne l'auroit vue qu'une « fois.... | |
| Louis de Rouvroy duc de Saint-Simon - France - 1829 - 508 pages
...duc de Bourgogne même. Ce prélat était un grand homme maigre, bien fait, pâle, avec un grand nez, des yeux dont le feu et l'esprit sortaient comme un torrent, et une physionomie telle que je n'en ai point vu qui y ressemblât, et qui ne se pouvait oublier quand on ne l'aurait vue qu'une fois. Elle... | |
| Gabriel Peignot - Wills - 1829 - 486 pages
...le feu et l'esprit sortaient comme un tor» rent , et une physionomie telle que je n'en ai » jamais vu qui y ressemblât, et qui ne pouvait » s'oublier quand on ne l'aurait vue qu'une fois. » Elle rassemblait tout, et les contraires ne s'y » combattaient point. Elle avait de la gravité... | |
| Gabriel Peignot - Wills - 1829 - 466 pages
...le feu et l'esprit sortaient comme un tor» rent , et une physionomie telle que je n'en ai » jamais vu qui y ressemblât, et qui ne pouvait » s'oublier quand on ne l'aurait vue qu'une fob. » Elle rassemblait tout, et les contraires ne s'y » combattaient point. Elle avait de la gravité... | |
| Jean Louis Eugène Lerminier - Eighteenth century - 1833 - 520 pages
...duc de Bourgogne même. Ce prélat était un grand homme maigre, bien fait, pâle, avec un grand nez, des yeux dont le feu et l'esprit sortaient comme un torrent, et une physionomie telle que je n'en ai point vu qui y ressemblât, et qui ne se pou • Vait oublier quand on ne l'auraii vue qu'une fois.... | |
| Jean Louis Eugène Lerminier - Eighteenth century - 1833 - 548 pages
...de Bourgogne même. Ce prélat était un grand homme maigre, bien fait, pâle , avec un grand nez, des yeux dont le feu et l'esprit sortaient comme un torrent, et une physionomie telle que je n'en ai point vu qui y ressemblât, et qui ne se pouvait oublierquand on ne l'aurait vue qu'une fois. Elle... | |
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