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TABLE CHRONOLOGIQUE DES PAPES.

avec l'impartialité convenable, quel jugement portera-t-on sur ces déclamations contre les frêles secours qu'on porte dans la capitale du monde chrétien, pour mettre son pontife en état d'opérer de si grandes choses qui honorent la religion et consolent l'humanité? N'y eût-il que l'intéret que tout bon catholique prend naturellement à la splendeur de la capitale du christianisme, du siége de son pontife, de la mère féconde de toutes les Eglises, il ne songera jamais à mettre en comparaison avec e le, moins encore à lui préférer dans l'essor de sa libéralité, quelque ville de la Germanie, de la Russie, de la grande ou petite Tartarie. Ce qu'était Jérusalem pour les Juifs, Rome l'est pour les chrétiens. Jamais sa destinée ne sera indifférente aux enfants de la foi; ils ne lui trouveront jamais trop d'éclat ni de prospérité; ils souhaitent, comme Tobie, qu'elle soit construite en pierres précieuses, que ses rues retentissent de chants d'allé

XIV

gresse (1), et que tous les rois de la terre, suivant l'expression de saint Jean, dans son admirable prophétie touchant la cité sainte, y portent leur magnificence et leur splendeur (2). Et j'ose dire que la haine de Rome. n'est pas une marque équivoque d'apostasie. «O Eglise romaine! ô cité sainte! s'écriait « Fénelon; ô chère et commune patrie de << tous les chrétiens! Il n'y a en Jésus-Christ << ni Grec, ni Scythe, ni Barbare, ni Juif. «Tout fait un seul peuple dans votre sein ; « tous sont concitoyens de Rome, et tout « catholique est Romain. Mais d'où vient «que tant d'enfants dénaturés méconnais«sent aujourd'hui leur mère, s'élèvent con<«<tre elle, et la regardent comme une ma«ratre! D'où vient que son autorité leur « donne tant de vains ombrages? >>

(1) Ex lapide pretioso omnis circuitus murorum ejus, et per vicos ejus alleluia cantabitur. Tob. xv. (2) Reges terræ afferent gloriam suara et honorem in illam. Apoc. XXI.

TABLE CHRONOLOGIQUE DES PAPES.

( Le caractère italique, suivi d'une étoile, marque les antipapes; le chiffre marque l'année de leur mort,

et non celle de leur élection.)

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les provinces suburbicaires, c'est-à-dire sur une partie de l'Italie, la même qui, pour le civil, dépendait du préfet de Rome: on a voulu depuis les étendre sur tout l'Occident. Comme évêque de Rome, il exerce dans le diocèse de Rome les fonctions d'ordinaire qui ne lui appartiennent pas dans les autres diocèses. Enfin, comme prince temporel, il est souverain de Rome et des Etats qui lui sont acquis par donation ou par prescription.

Aucun trône sur la terre n'a peut-être été rempli avec plus de supériorité de génie que la chaire pontificale. Les papes sont presque toujours des vieillards respectables, blanchis dans la connaissance des hommes et des affaires. Leur conseil est composé de ministres qui leur ressemblent : ce sont ordinairement des cardinaux, animés du même esprit que les papes, et, comme eux, sans passions. De ce conseil émanent des ordres qui embrassent l'univers. La foi est annonnoncée sous leurs auspices, depuis la Chine jusqu'à l'Amérique; et il faut avouer que le zèle pour la foi et la propagation de l'E vangile n'existe dans aucun siége épiscopal au même degré que dans celui de Rome. L'Eglise de Rome est aujourd'hui, comme elle a toujours été, non-seulement dans l droit, mais dans le fait, la mère et la reine de toutes les Eglises. « Rome chrétienne « dit un voyageur philosophe, ne doit rie « à la politique: si elle a étendu sa puis «sance dans les régions enveloppées de « plus épaisses ténèbres; si elle a soumis «ses lois des peuples qui échappèrent au « armes, et ne reconnurent jamais l'empi « des plus célèbres conquérants; si des ho « des sauvages, qui n'ont jamais pronon «<les noms d'Alexandre et de César, a écouté la voix de ses pontifes avec r «pect, et en ont reçu les instructions com << des oracles; si, dévouée à la paix, R « a fait des conquêtes que lui eût en «Rome consacrée à la guerre, ces pro <«< ne furent pas l'ouvrage des passion «maines les passions humaines ne « rent qu'à les rendre plus éclatante « qu'elles se liguèrent pour oppose << grands obstacles à l'exécution « qu'elles avaient tant d'intérêt à Disc. sur l'hist., le gouv., etc., d'Albon. Ce passage de l'aute beaucoup de rapport avec un plus ancien: Ut civitas sace per sacram beati Petri sede fecta, latius præsideres reli dominatione terrena. Qu aucta victoriis jus impe protuleris, minus tam labor subdidit, quan subjecit. (Leo M. Ser et Pauli.) Un auten à Rome chrétienn

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de Trente, ville est souverain et protection de la cence dura près de 1563, sous cinq Marcel II. Paul IV, de Charles-Quint rs d'Allemagne. Sardinaux légats archevêques, néraux d'ordres thelogie; il dummer les erreurs loss muss des

DE

RAPHIE RELIGIEUSE.

n der), ministre luthé1718, mort en 1793, fut le secrétaire de la Sosciences érigée en 1752 amé en 1739 président hérienne à Alcmaer, et où il prêcha avec un at 51 ans. On a de lui Mémoires sur l'histoire

pontife des Juifs, frère tribu de Lévi, naquit en nt son frère, l'an 1574 Dieu voulut délivrer son té des Egyptiens, il l'ascette importante mission. oujours Moïse; et comme beaucoup plus de facilité, - plusieurs circonstances, peuple et à Pharaon. Les dirent à la cour du roi rent une infinité de proer le cœur endurci de ce passage de la mer Rouge, -e était sur la montagne de

la faiblesse de céder aux euple infidèle qui demandait , et voulait qu'on lui fit un armes de son repentir et les e lui méritèrent le pardon de a le choisit même pour exercer - sacrificature. Coré, Dathan et Ix de celle préférence, se réentraînèrent le peuple dans leur is ils furent abîmés avec leurs s la terre qui s'entr'ouvrit. Cette ition fut suivie de plusieurs auins effrayantes. Deux cent cinmes du parti des rebelles ayant rité d'offrir de l'encens à l'autel, t un feu qui les consuma. Comme on ne cessait point encore, le feu du Ploppa cette multitude révoltée, en plus de quatorze mille, et l'eût exterentièrement, si Aaron ne se fût mis, nsoir à la main, entre les morts et les ts, pour apaiser la colère de Dieu. De veaux miracles confirmèrent le sacere d'Aaron. Moïse ordonna qu'on mît dans tabernacle les verges des douze tribus, on convint de déférer la souveraine sacriacature à la tribu dont la verge fleurirait. DICT. DE BIOGRaphie relig. I.

A

Le lendemain, celle de Lévi parut chargée de fleurs et de fruits. Enfin le feu du ciel consuma l'holocauste d'Aaron à la vue de tout le peuple, qui en loua le Seigneur. Il soutint avec Hur les bras de Moïse qui priait pendant que Josué combattait les Amalécites. Il mourut l'an 1452 avant J.-C., à 123 ans, sur la montagne d'Hor, à la vue de la Terre promise, dans laquelle il ne put entrer, en punition de sa défiance lorsque Moïse frappa le rocher dans le désert de Cadès. Les Juifs ont eu 86 grands-prêtres jusqu'à l'entière destruction du temple. Cette dignité était à vie, jusqu'à l'invasion des Romains, qui en disposèrent à leur gré, la donnant à leurs partisans, ou la livrant au poids de l'or. Bergier, dans son Dictionnaire théologique, a vengé Aaron des fausses imputations que quelques protestants ont élevées contre sa conduite.

AARON (saint), né au commencement du VIe siècle, en Bretagne, jadis appelée l'Armorique, fut le fondateur du premier monastère qui ait été élevé dans cette province, et qui était situé dans une île qu'un bras de mer séparait de la ville d'Aleth: il le dirigeait quand saint Malo passa en France. Il reçut ce saint homme de la manière qu'on devait attendre de son caractère; il partagea avec lui la gloire de son apostolat. Saint Aaron gouverna son monastère avec autant de sagesse que d'édification, et mourut en 580. On l'honorait le 22 juin dans le diocèse de Saint-Malo. Il y a une église paroissiale de son nom dans le diocèse de Saint-Brieuc. L'île où était son monastère prit dans la suite le nom d'Aaron. En 1159, Jean de la Grille, évêque d'Aleth, transféra son siége dans l'église de Saint-Malo, qui appartenait à un monastère de la même île. La vilie d'Aleth ayant été abandonnée de ses habitants, donna naissance à celle de Saint-Malo, qui occupa toute l'île d'Aaron. L'Eglise honore un autre saint du même nom, martyrisé en Angleterre.

AARON (BEN-ASER), célèbre docteur juif, se proposa, de concert avec Ben-Nephthali, de corriger les exemplaires hébreux de la Bible, et se chargea de recueillir les diverses leçons des manuscrits d'Occident, tandis que Ben-Nephthali rassemblait celles des manuscrits d'Orient. Leurs exemplaires qui ont

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1261

Benoit IX,derechefen 1017

Urbain IV.

1261

jusqu'en

1048

C'ément IV.

1268

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Damase II.

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1276

reprise en 1403 : dé

Jules III.

1555

S. Léon IX.

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1276

posé au concile de

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Victor II.

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1276

Pise en 1405, au con

Paul IV.

1559

Etienne IX ou X.

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1277

cile de Constance en 1417

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Boniface IX.

1404

S. Pie V.

1572

Nicolas II.

1061

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Innocent VH.

1406

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Alexandre II.

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Grégoire XII, déposé

Sixte V.

1590

Honorius.

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1292

au concile de Pise. '1409

Urbain VII.

1590

Grégoire VII.

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Guibert.

Boniface VIII.

1303

Alexandre V, élu au
concile de l'ise.

Grégoire XIV.

1591

1410

Innocent IX.

1591

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S. Benoit XI.

Jean XXII abdique 1301

Clément VIII.

1605

Urbain II.

1099

Le saint - siége fut

dans le concile de

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transféré à Avignon

Constance

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Albert, Théodoric et

par le successeur de

Martin V, élu dans le

Grégoire XV.

1623

Maginulfe.

Benoit XI.

concile de Constan

Urbain VIII.

1644

Gélase II.

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1314

Benoit XIII

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Alexandre VII.

1667

Callixte II.

1124

Jean XXIL

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Pierre de Corbière. *

malgré sa déposition,

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1424

Innocent XI.

1689

Anaclet et Victor. *

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Clém ni VIII,* élu en

Alexandre VIII.

1691

Célestin II.

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1424, n'est pas re

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connu.

Eugène III.

1153

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Eugène IV.

1447

Innocent XIII.

1724

Anastase IV.

1154 Il reporta le saint

Félix V est élu dans

Benoît XIII.

1730

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siége à Rome en

le concile de Bâle en

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Alexandre III.

1181

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Victor, Paschal, Cal

l'Eglise fut divisée

1449, et meurt en 1451

Clément XIII.

1769

lix et Innocent.

par un schisme qu'on

Nicolas V, depuis 1447

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nomme le grand

jusqu'en

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schisme d'Occident:

Calixte III.

1458

Pie VII.

1823

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1461

Léon XII.

1829

Paul II.

1471

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Célestin III.

1198

Urban VI, a Rome.

1389

Sixte IV.

1484

Grégoire XVI, élu le

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Clément VII, à Avi

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2 février 1831, mort

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gnon, reconnu par

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une partie de l'Hyli

Pie III.

1503

Pie IX, élu le 16 juin 1846

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se, elu mort en

en 1378,

Jules II.

1513

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1521

TABLEAU SOMMAIRE DES CONCILES GÉNÉRAUX

TENUS DEPUIS LE COMMENCEMENT DE L'EGLISE JUSQU'A NOS JOURS.

Pour avoir une idée de l'histoire de l'Eglise, il ne suffit point de consulter une liste chronologique des pontifes romains, il est nécessaire de connaitre les principales assemblées où l'Eglise a réprimé l'audace des heretiques, et mis ses dogmes dans le jour le plus lumineux. C'est ce qui nous a engagé à placer ici la table des conciles généraux.

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xvij

DES CONCILES GÉNÉRAUX.

VI CONCILE GÉNÉRAL. 680 et 681. III concile général de Constantinople, où, sur la fin, se trouvèrent plus de 160 évêques; deux patriarches, l'un de Constantinople et l'autre d'Antioche; et l'empereur, afin que sa présence arrêtát les esprits mutins. Ce concile fut assemblé pour détruire entièrement le monothélisme, et pour reconnaître en Jésus-Christ deux volontés, une divine et l'autre humaine, et autant d'actions qu'il y a de natures. On excommunia Sergius, Pyrrhus, Paul, Macarius et tous leurs sectateurs.

VII CONCILE GÉNÉRAL.

787. II concile général de Nicée, de 377 évêques, convoqué par l'empereur Constantin et sa mère Irène. Les légats du pape Adrien présidèrent, et Taraise, patriarche de Constantinople, y assista. On y régla la vénération due aux saintes images.

VI CONCILE GÉNÉRAL.

869. IV concile général de Constantinople, où se trouvèrent 102 évêques, 3 légats du pape et patriarches. On y brûla les actes d'un conciliabule que Photius avait assemblé contre le pape Nicolas et contre Ignace, légitime patriarche de Constantinople. On y condamna Photius, qui s'était emparé de cette dignité, et Ignace fut rétabli avec honneur. Le culte des images de la sainte Vierge et des saints y fut encore maintenu.

Ix' concile général.

1123. I concile général de Latran, sous Callixte II, où l'on compta plus de 300 évê– ques et plus de 600 abbes. Il fut tenu pour la paix de l'Eglise, troublée depuis plus de 45 ans à l'occasion du droit de la collation des bénéfices que l'empereur prétendait. On y travailla à rétablir la discipline ecclésiastique affaiblie par la longueur et la multitude des schismes. On y chercha aussi les moyens de délivrer la Terre-Sainte de la puissance des infidèles.

X CONCILE GÉNÉRAL.

1139. II concile général de Latran, d'environ 1000 évêques, sous Innocent II, pape, et en présence de Conrad III, empereur. Il fut assemblé pour condamner les schismatiques, pour rétablir la discipline de l'Eglise et pour anathématiser les erreurs d'Arnaud de Brescia, ancien disciple d'Abailard.

XI CONCILE GÉNÉRAL.

1179. III concile général de Latran, composé de 302 évêques, sous Alexandre III, pape. Il fut assemblé pour annuler les ordinations faites par les antipapes, condamner les erreurs des vaudois, et pour travailler à la réforme des mœurs.

XII CONCILE GÉNÉRAL.

1215. IV concile général de Latran, présidé par le pape Innocent III. Il y avait deux

xviij

patriarches: celui de Constantinople et celui de Jérusalem; 71 archevêques, 412 évêques et 800 abbés, le primat des maronites, et saint Dominique, instituteur de l'ordre des Frères-Prêcheurs. Ce concile fut assemblé pour condamner les erreurs des albigeois et des autres hérétiques, et pour la conquête de la Terre-Sainte.

XIII CONCILe général.

1245. I concile général de Lyon, où présidait le pape Innocent IV, et où parurent les patriarches de Constantinople, d'Antioche, d'Aquilée et de Venise, 140 évêques, Baudouin II, empereur d'Orient, et saint Louis, roi de France. On y excommunia Frédéric II. On y donna le chapeau rouge aux cardinaux, et enfin on décida qu'une nouvelle armée de croisés serait envoyée dans la Palestine, sous la conduite de saint Louis

XIV CONCILE général.

1274. I concile général de Lyon, présidé par Grégoire X, et où s'assemblèrent les patriarches d'Antioche et de Constantinople, 15 cardinaux, 500 évêques, 70 abbés, 1,000 docteurs. On y travaillà à réunir les Grecs et les Latins sur la procession du Saint-Esprit. On ajouta au symbole de la foi, qui avait été dressé au concile de Constantinople, le mot Filioque. On chercha les moyens de recouvrer la Terre-Sainte.

XV CONCILE GÉNÉRAL.

1311. Concile général de Vienne en France, assemblé par ordre de Clément V, où se rendirent les deux patriarches d'Antioche et d'Alexandrie, 300 évêques, 3 rois, Philippe IV, roi de France, Edouard II, roi d'Angleterre, Jacques II, roi d'Aragon. On y parla particulièrement des erreurs et des crimes des templiers, des béguards et des béguines; d'une expédition dans la TerreSainte; de la réformation des mœurs du clergé, et de la nécessité d'établir dans les universités des professeurs pour enseigner les langues orientales.

XVI CONCILE GÉNÉRAL.

Concile de Pise, en 1409, que plusieurs regardent comme général, et dont l'objet principal fut l'extinction du schisme, après la mort de Grégoire XI, en 1378. Il s'y trouva 22 cardinaux, 4 patriarches, 92 évêques, des députés de presque toutes les universités, et des ambassadeurs de la plupart des cours. On y élut Alexandre V pape; mais le schisme ne fut pas éteint pour cela.

XVII CONCILE GÉNÉRAL.

1414. Concile général de Constance en Allemagne. Il fut assemblé par les soins de l'empereur Sigismond, pour anathématiser les hérésies de Wiclef et de Jean Hus, et pour éteindre les schismes qui déchiraient l'Eglise depuis 37 ans. On y comptait 4 patriarches, 47 archevêques, 160 évêques, 564 abbés et docteurs. Jean Gerson, chancelier

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