L'âge d'or de la littérature française |
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... faisait revivre la beauté antique . Les vainqueurs - Louis XII après Charles VIII et Fran- çois Ier après Louis XII - subirent la fascination de cette 1 Charles VIII ( 1483–1498 ) fils et successeur de Louis XI . 2 La Renaissance avait ...
... faisait revivre la beauté antique . Les vainqueurs - Louis XII après Charles VIII et Fran- çois Ier après Louis XII - subirent la fascination de cette 1 Charles VIII ( 1483–1498 ) fils et successeur de Louis XI . 2 La Renaissance avait ...
Page 22
... faisait ainsi rôtir tout vif . " A la suite d'une aventure abracadabrante , il est parvenu à s'enfuir , à moitié grillé . Pantagruel , amusé par l'absurde récit et par la verve et l'esprit du compère , décide de se l'attacher ; il le ...
... faisait ainsi rôtir tout vif . " A la suite d'une aventure abracadabrante , il est parvenu à s'enfuir , à moitié grillé . Pantagruel , amusé par l'absurde récit et par la verve et l'esprit du compère , décide de se l'attacher ; il le ...
Page 46
... faisait fausse route , que ce modèle n'allait pas à son genre d'esprit , que rien ne peut égaler le charme du naturel et de l'aisance ; il s'abandonna à la pente de son génie et , sans effort , atteignit à la « naïve douceur » 1 Pindare ...
... faisait fausse route , que ce modèle n'allait pas à son genre d'esprit , que rien ne peut égaler le charme du naturel et de l'aisance ; il s'abandonna à la pente de son génie et , sans effort , atteignit à la « naïve douceur » 1 Pindare ...
Page 52
... faisait offrir 1 Oyant , entendant ; du vieux verbe ouïr , qui ne s'emploie plus qu'à l'infini- tif , au participe passé et dans l'expression ouï - dire . 2 Pétrarque , grand poète italien du XIVe siècle ; vécut longtemps en France , à ...
... faisait offrir 1 Oyant , entendant ; du vieux verbe ouïr , qui ne s'emploie plus qu'à l'infini- tif , au participe passé et dans l'expression ouï - dire . 2 Pétrarque , grand poète italien du XIVe siècle ; vécut longtemps en France , à ...
Page 75
... faisait asseoir près d'elle , dans la ruelle . Tel était le cérémonial en usage pour les réceptions des Précieuses . Précieuses et ruelles se multiplièrent . Mais les imitatrices n'avaient ni le goût ni le bon sens ni la culture de ...
... faisait asseoir près d'elle , dans la ruelle . Tel était le cérémonial en usage pour les réceptions des Précieuses . Précieuses et ruelles se multiplièrent . Mais les imitatrices n'avaient ni le goût ni le bon sens ni la culture de ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 207 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 113 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 173 - On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie : Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie : Les tourterelles se fuyaient : Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil et dit : Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune : Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 193 - Agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte: heureux si, averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration, je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie les restes d'une voix qui tombe et...
Page 226 - Je ne puis vous dire l'excès de l'agrément de cette pièce : c'est une chose qui n'est pas aisée à représenter et qui ne sera jamais imitée ; c'est un rapport de la musique, des vers, des chants, des personnes, si parfait et si complet, qu'on n'y souhaite rien...
Page 189 - Madame se meurt ! Madame est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup , comme si quelque tragique accident avait désolé sa famille? Au premier bruit d'un mal si étrange, on accourut à SaintCloud de toutes parts ; on trouve tout consterné , excepté le cœur de cette princesse : partout on entend des cris , partout on voit la douleur et le désespoir , et l'image de la mort. Le roi , la reine , Monsieur...
Page 187 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons.
Page 172 - Grippeminaud, le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps, Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Page 210 - Corneille nous assujettit à ses caractères et à ses idées; Racine se conforme aux nôtres : celui-là peint les hommes comme ils devraient être, celui-ci les peint tels qu'ils sont.
Page 188 - Non, après ce que nous venons de voir, la santé n'est qu'un nom, la vie n'est qu'un songe, la gloire n'est qu'une apparence, les grâces et les plaisirs ne sont qu'un dangereux amusement : tout est vain en nous, excepté le sincère aveu 6 que nous faisons devant Dieu de nos vanités et le jugement arrêté qui nous fait mépriser tout ce que nous sommes.