L'âge d'or de la littérature française |
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... de chansons de geste nous redisent les hauts faits des pala- dins . La Chanson de Roland marque l'éclatant début de I cette poésie héroïque ; incarnation magnifique de l'âme nationale , PREMIÈRE PARTIE a Renaissance et la Réforme CHAPITRE.
... de chansons de geste nous redisent les hauts faits des pala- dins . La Chanson de Roland marque l'éclatant début de I cette poésie héroïque ; incarnation magnifique de l'âme nationale , PREMIÈRE PARTIE a Renaissance et la Réforme CHAPITRE.
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Louise Delpit. cette poésie héroïque ; incarnation magnifique de l'âme nationale , elle résonne fièrement d'un bout à l'autre de la France , passe les frontières , se répand sur l'Europe avec tout son prolongement d'épopées guerrières ...
Louise Delpit. cette poésie héroïque ; incarnation magnifique de l'âme nationale , elle résonne fièrement d'un bout à l'autre de la France , passe les frontières , se répand sur l'Europe avec tout son prolongement d'épopées guerrières ...
Page 21
... âme malivole , 10 et science sans conscience n'est que ruine de 1 Lullius , alchimiste espagnol surnommé l'Illuminé ( 1235-1315 ) . 2 Frutices , arbrisseaux , terme aujourd'hui inusité . 8 Contemner , mépriser ; ce verbe ne s'emploie ...
... âme malivole , 10 et science sans conscience n'est que ruine de 1 Lullius , alchimiste espagnol surnommé l'Illuminé ( 1235-1315 ) . 2 Frutices , arbrisseaux , terme aujourd'hui inusité . 8 Contemner , mépriser ; ce verbe ne s'emploie ...
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Louise Delpit. l'âme , il te convient servir , aimer et craindre Dieu et en lui mettre toutes tes pensées et tout ton espoir , et par foi formée de charité être à lui adjoint , en sorte que jamais n'en sois désemparé par péché . Aie ...
Louise Delpit. l'âme , il te convient servir , aimer et craindre Dieu et en lui mettre toutes tes pensées et tout ton espoir , et par foi formée de charité être à lui adjoint , en sorte que jamais n'en sois désemparé par péché . Aie ...
Page 30
... âme malicieuse et satirique des ancêtres , il ne partage pas le dédain de son temps pour la vieille littérature nationale ; il ne partage aucun dédain trop avide de savoir tout ce qui peut être su ! - A sa fantastique imagination s ...
... âme malicieuse et satirique des ancêtres , il ne partage pas le dédain de son temps pour la vieille littérature nationale ; il ne partage aucun dédain trop avide de savoir tout ce qui peut être su ! - A sa fantastique imagination s ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 207 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 113 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature, mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser. Une vapeur, une goutte d'eau suffit pour le tuer. Mais quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt; et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 173 - On n'en voyait point d'occupés A chercher le soutien d'une mourante vie ; Nul mets n'excitait leur envie : Ni loups ni renards n'épiaient La douce et l'innocente proie : Les tourterelles se fuyaient : Plus d'amour, partant plus de joie. Le lion tint conseil et dit : Mes chers amis, Je crois que le ciel a permis Pour nos péchés cette infortune : Que le plus coupable de nous Se sacrifie aux traits du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune.
Page 193 - Agréez ces derniers efforts d'une voix qui vous fut connue. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort des autres, grand prince, dorénavant je veux apprendre de vous à rendre la mienne sainte: heureux si, averti par ces cheveux blancs du compte que je dois rendre de mon administration, je réserve au troupeau que je dois nourrir de la parole de vie les restes d'une voix qui tombe et...
Page 226 - Je ne puis vous dire l'excès de l'agrément de cette pièce : c'est une chose qui n'est pas aisée à représenter et qui ne sera jamais imitée ; c'est un rapport de la musique, des vers, des chants, des personnes, si parfait et si complet, qu'on n'y souhaite rien...
Page 189 - Madame se meurt ! Madame est morte ! Qui de nous ne se sentit frappé à ce coup , comme si quelque tragique accident avait désolé sa famille? Au premier bruit d'un mal si étrange, on accourut à SaintCloud de toutes parts ; on trouve tout consterné , excepté le cœur de cette princesse : partout on entend des cris , partout on voit la douleur et le désespoir , et l'image de la mort. Le roi , la reine , Monsieur...
Page 187 - Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires, à qui seul appartient la gloire, la majesté et l'indépendance, est aussi le seul qui se glorifie de faire la loi aux rois et de leur donner, quand il lui plaît, de grandes et de terribles leçons.
Page 172 - Grippeminaud, le bon apôtre, Jetant des deux côtés la griffe en même temps, Mit les plaideurs d'accord en croquant l'un et l'autre.
Page 210 - Corneille nous assujettit à ses caractères et à ses idées; Racine se conforme aux nôtres : celui-là peint les hommes comme ils devraient être, celui-ci les peint tels qu'ils sont.
Page 188 - Non, après ce que nous venons de voir, la santé n'est qu'un nom, la vie n'est qu'un songe, la gloire n'est qu'une apparence, les grâces et les plaisirs ne sont qu'un dangereux amusement : tout est vain en nous, excepté le sincère aveu 6 que nous faisons devant Dieu de nos vanités et le jugement arrêté qui nous fait mépriser tout ce que nous sommes.