Histoire de France depuis les temps les plus reculés jusqu'à la révolution de 1789,.Legrand, Troussel et Pomey, 1857 |
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Popular passages
Page 536 - J'apporterai ce que je pourrai à son » innocence. Je vous permets d'y faire ce que vous pourrez, jusqu'à » ce qu'on connaisse qu'il soit criminel de lèse-majesté; car alors le « père ne peut solliciter pour le fils, le fils pour le père, la femme pour » le mari, ni le frère pour le frère (1).
Page 425 - Les états s'ouvrirent le 16 d'octobre (1588). «.Les députés étant entrés et la porte fermée, le duc de Guise, assis en sa chaire, habillé d'un habit de satin blanc, la cape retroussée à la bigearre , perçant de ses yeux toute l'épaisseur de l'assemblée, pour...
Page 359 - Je veux bien qu'il sache que cela serait bon en temps de paix; mais en temps de guerre, qu'on a le bras armé et le cul sur la selle, tout le monde est compagnon.
Page 440 - Ah! mon ami, soyez le bienvenu! « Mais est-il bien vrai au moins? Ce méchant, ce perfide, ce tyran est-il « mort? Dieu, que vous me faites aise! Je ne suis marrie que d'une chose; « c'est qu'il n'ait su, avant de mourir, que c'est moi qui l'ai fait faire.
Page 334 - Guise et des patrouilles bourgeoises , qui en font un horrible carnage. Des rues on passe dans les maisons, dont on enfonce les portes : tout ce qui s'y trouve, sans distinction d'âge ni de sexe, est massacré ; l'air retentit des cris aigus des assassins , et des plaintes douloureuses des mourants. Le jour vient éclairer la scène affreuse de cette sanglante tragédie. « Les corps détranchés tombaient des fenêtres, les portes coehères « étaient bouchées de corps achevés ou languissants...
Page 274 - Italiens, ains François, voire des plus braves, entre lesquels il y en avoit qui étoient ses propres compagnons, parents et amis, et que dans une heure il faudroit se tuer les uns les autres, ce qui donnoit quelque horreur du 'fait, sans néanmoins diminuer du courage.
Page 319 - Noue attribue à l'amiral d'avoir dit plusieurs fois, depuis la paix, « qu'il dési« rait plutôt mourir que de retomber en ces confusions, et voir devant ses « yeux commettre tant de maux. »
Page 339 - Sire, j'ai communiqué le commandement de Votre Majesté à ses fidèles habitants et gens de guerre de la garnison. Je n'y...
Page 339 - J'ai reçu un ordre, sous le sceau de Votre Majesté, de faire « mourir tous les protestants qui sont dans ma province. Je res« pecte trop Votre Majesté pour ne pas croire que ces lettres sont « supposées ; et si, ce qu'à Dieu ne plaise, l'ordre est véritablement « émané d'elle, je la respecte aussi trop pour lui obéir.
Page 376 - ... sa gorge, y portant un collier de perles et trois collets de toile, « deux à fraise et un renversé, ainsi que lors le portoient les dames de la