Espéllere, expulser, espello, impellere, pousser. espulsi, espulso, espellerò. Esprimere, exprimer, esprimo, espressi, espresso, esprimerò. mungo, munsi, munto, morderò. mungerò. ou múgnere, mugno, commovere, dismuóvere, attendrir. détourner. Muovere, mouvoir, muovo, mossi, mosso, muoverò.. mugnerò. Infinitivo. Pres. Pass. indet. Partic. Futuro. Rispóndere, répondre, rispondo, risposi, risposto, risponderò. corrispondere, correspondre. Ródere, ronger, rodo, rosi, corródere, ronger. Scégliere, choisir, sceglio, scelsi, prescegliere, choisir. roso, roderò. Scéndere, descendre, scendo, scesi, sceso, scenderò. ascéndere, monter. dispergere, disperser. Spingere, pousser, spingo, spinsi, spinto, spingerò. ou spignere, respingere, rispignere, repousser. ristringere, distruggere, détruire. ou sverre, Strúggere, fondre, struggo, strussi, strutto, struggerò. Svéllere, arracher, (svello, Tendere, tendre, tendo, svelgo, atténdere, conténdere, attendre. disputer. esténdere, inténdere, étendre. Infinitivo. soprintendere, avoir la surintendance. Pres. Pass. indet. Partic. preténdere, prétendre. Futuro. Térgere, polir, Tingere, teindre, tingo, tinsi, tinto, tergo, tersi. terso, tergerò. tingerò. ou tignere, intingere, tremper. §. 358. Les verbes terminés en úcere, ónere, áere, et gliere, ont une contraction à l'infinitif, ce qui fait qu'ils ont deux infinitifs, c'est-à-dire: l'ancien des Latins, comme: addúcere, pónere, tráere, cógliere; et le nouveau qui est formé de la contraction, comme: addurre, porre, trarre, corre. Le second est l'infinitif des Italiens, d'où sont formés le futur (futuro) et le conditionnel présent (correlativo presente), comme: addurrò, porrò, trarrò, corrò, = et addurrei, porrei, trarrei, correi. Tous les autres tems sont formés de l'ancien infinitif, comme de condúc-ere, conduc-o, conduc-i, conduc-e, etc. conduc-éva, conduc-éssi, etc. §. 359. La contraction a lieu à l'infinitif des verbes suivans, et doit être conservée tant au futur qu'au con'ditionnel de ces verbes. §. 360. Outre ces verbes il y a encore ceux terminés en ére long, c'est-à-dire, avec l'accent tonique sur la pénultième, qui, sans avoir de contraction à l'infinitif, en souf *) Dans les verbes en gliere, la contraction est ordinairement plus usitée dans la Poésie que dans la Prose. |