Oeuvres completes de P.L. CourierF. Didot frères, fils et cie, 1861 - 455 pages |
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... voyage aussi bien dans ses romans que dans la vraie vie, grâce à son métier d'hôtesse de l'air. En éternelle romantique, elle a toujours un faible pour ses héros de papier. DÉBORAH GUÉRAND Oups , je crois que je t'aime Nouvelle. Front ...
... voyage aussi bien dans ses romans que dans la vraie vie, grâce à son métier d'hôtesse de l'air. En éternelle romantique, elle a toujours un faible pour ses héros de papier. DÉBORAH GUÉRAND Oups , je crois que je t'aime Nouvelle. Front ...
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... crois. plus. Omar Ba « Je veux faire comprendre aux jeunes d'Afrique que cette Europe ne vaut pas de risquer sa vie, car on y vit, comme partout ailleurs, avec des souffrances, des impasses et des échecs récurrents. » Omar Ba en a rêvé ...
... crois. plus. Omar Ba « Je veux faire comprendre aux jeunes d'Afrique que cette Europe ne vaut pas de risquer sa vie, car on y vit, comme partout ailleurs, avec des souffrances, des impasses et des échecs récurrents. » Omar Ba en a rêvé ...
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... crois, Michael Lonsdale, 2013 Être père, j'y crois, Olivier Le Gendre, 2014 La solidarité, j'y crois, Guy Aurenche, 2014 La compassion, j'y crois, Bernard Ugeux, 2015 Toi et moi, j'y crois, Philippe Pozzo di Borgo, 2015 Projet Délivrer ...
... crois, Michael Lonsdale, 2013 Être père, j'y crois, Olivier Le Gendre, 2014 La solidarité, j'y crois, Guy Aurenche, 2014 La compassion, j'y crois, Bernard Ugeux, 2015 Toi et moi, j'y crois, Philippe Pozzo di Borgo, 2015 Projet Délivrer ...
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... crois, Michael Lonsdale, 2013 Être père, j'y crois, Olivier Le Gendre, 2014 La solidarité, j'y crois, Guy Aurenche, 2014 La compassion, j'y crois, Bernard Ugeux, 2015 À mes enfants, Pour que l'œuvre continue.
... crois, Michael Lonsdale, 2013 Être père, j'y crois, Olivier Le Gendre, 2014 La solidarité, j'y crois, Guy Aurenche, 2014 La compassion, j'y crois, Bernard Ugeux, 2015 À mes enfants, Pour que l'œuvre continue.
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... crois tout connaître de tes parents, Zian et Céline, mais tu te trompes. Ta famille n'est pas celle que tu crois. Si tu veux en savoir plus, répondsmoi. Sinon, je te laisserai tranquille, et tu continueras à ignorer qui tu es vraiment ...
... crois tout connaître de tes parents, Zian et Céline, mais tu te trompes. Ta famille n'est pas celle que tu crois. Si tu veux en savoir plus, répondsmoi. Sinon, je te laisserai tranquille, et tu continueras à ignorer qui tu es vraiment ...
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Common terms and phrases
affaire AKERBLAD amis Amyot assez avez ayant baiser beau belle bientôt c'était Calabre Cambyse cher cheval chèvres Chloé chose Clavier conte Coraï coup cour crois d'Amyot Daphnis Daphnis et Chloé demande Dieu dieux dire disait dit-il donner Dryas écrit Égypte êtes eût faisait femme fille Florence flûte Furia fût garde général gens grec guerre homme Ibid j'ai j'avais j'en jamais jeune jour juges l'autre là-dessus laisse Lamon lettre Livourne livres Longus Luynes m'en MADAME COURIER main maire maître manuscrit Ménélas ment Messieurs mieux ministre monde Monsieur Myrtale n'ai n'en Naples Nymphes Otanès pamphlet Pamphlet des pamphlets parler passer Paul-Louis Paul-Louis Courier Pausanias pays peine pense père Périandre Périclès Perses personne peuple plaisir pouvait préfet présent prince prison quitter raison Renouard reste rien Rome s'en s'il sais savez semble sent serait seul Smerdis sorte terre Thucydide tion trouve vais Véretz veux Voilà vois voulait voyant vrai Xénophon
Popular passages
Page 85 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 275 - Le souper fini, on nous laisse ; nos hôtes couchaient en bas, nous dans la chambre haute où nous avions mangé ; une soupente élevée de sept à huit pieds, où l'on montait par une échelle, c'était là le coucher...
Page 275 - ... nous éveiller, comme nous l'avions recommandé. On apporte à manger : on sert un déjeuner fort propre, fort bon, je vous assure. Deux chapons en faisaient partie, dont il fallait, dit notre hôtesse, emporter l'un et manger l'autre. En les voyant, je compris enfin le sens de ces terribles mots : faut-il les tuer tous deux?
Page 275 - L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez.
Page 321 - ... gardez-vous bien de croire que quelqu'un ait écrit en français depuis le règne de Louis XIV; la moindre femmelette de ce tempslà vaut mieux pour le langage que les Jean-Jacques , Diderot , d'Alembert , contemporains et postérieurs; ceux-ci sont tous ânes bâtés, sous le rapport de la langue , pour user d'une de leurs phrases \ vous ne devez pas seulement savoir qu'ils aient existé.
Page 36 - Le changement de domicile s'opérera par le fait d'une habitation réelle dans un autre lieu, joint à l'intention d'y fixer son principal établissement.
Page 274 - ... mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans soupçon; mais comment faire? Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme ne se fit pas prier : nous voilà mangeant et buvant, lui du moins, car pour moi j'examinais le lieu et la mine de nos hôtes. Nos hôtes avaient bien mines de charbonniers; mais la maison, vous l'eussiez...
Page 242 - Nous venons de faire un empereur, et, pour ma part, je n'y ai pas nui. Voici l'histoire : Ce matin, d'Anthouard nous assemble et nous dit de quoi il s'agissait, mais bonnement, sans préambule ni péroraison. — Un empereur ou la république, lequel est le plus de votre goût ? Comme on dit rôti ou bouilli, potage ou soupe, que voulez-vous ? Sa harangue finie, nous voilà tous à nous regarder, assis en rond.
Page 274 - Nos hôtes avaient bien mines de charbonniers; mais la maison, vous l'eussiez prise pour un arsenal. Ce n'étaient que fusils, pistolets, sabres, couteaux, coutelas. Tout me déplut, et je vis bien que je déplaisais aussi. Mon camarade, au contraire : il était de la famille, il riait, il causait avec eux; et, par une imprudence que j'aurais dû prévoir (mais quoi!
Page 377 - Ta ne feras jamais rien; ce qui m'accommodait assez, et me semblait même d'un bon augure pour mon avancement dans le monde ; car en ne faisant rien, je pouvais parvenir à tout , et singulièrement à être de l'Académie ; je m'abusais. Le bonhomme sans doute avait dit, et rarement il se trompa : Tu ne seras jamais rien, c'est-à-dire , tu ne seras ni gendarme, ni rat de cave, ni espion, ni duc, ni laquais, ni académicien.