Satires, Volume 1 |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
appelle arrivé artes assez atque avaient C'était cause célèbre cent compter coups cour d'autres dernier dieux digne dire Domitien donne écrits effet enim époux esclave espèce facit faisaient fameux femme fils forme fortune front gens Grecs habet hæc haut homme illa ille inter jeune jeux jour Juvénal laisse lieu livres loin magna main maison maître Mars Martial mille misère montrer mort n'était nemo Néron nuit nulla omnes pareil parle passage passer peine pense pere peuple pieds place plein Pline poëte porte pourrait premier public qu'à qu'un quæ quam quid quis quod quum rapport regard reste riche rien Romains Rome s'en s'il sacrés satire second secrets sentiment serait servir seul soin sort souvent table tamen tems terre tibi trait trouve tunc venit veut vient voit voix yeux
Popular passages
Page 15 - Quel sujet inconnu vous trouble et vous altère ? D'où vous vient aujourd'hui cet air sombre et sévère , Et ce visage enfin plus pâle qu'un rentier A l'aspect d'un arrêt qui retranche un quartier...
Page 211 - Nos pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu'une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son esprit se hausse A connaître un pourpoint d'avec un haut-de-chausse.
Page 15 - D'un double cadenas font fermer les boutiques ; Que, retiré chez lui, le paisible marchand Va revoir ses billets et compter son argent; Que dans le marché-neuf tout est calme et tranquille ; Les voleurs à l'instant s'emparent de la ville. Le bois le plus funeste et le moins fréquenté Est, au prix de Paris, un lieu de sûreté.
Page 50 - Atque recens linum ostendit non una cicatrix? Nil habet infelix paupertas durius in se, Quam quod ridiculos homines facit. Exeat...
Page 15 - Fait paraître en courant sa bouillante vigueur : Qui jamais ne se lasse, et qui dans la carrière S'est couvert mille fois d'une noble poussière : Mais la postérité d'Alfane et de Bavard » , Quand ce n'est qu'une rosse , est vendue au hasard...
Page 15 - En quelque endroit que j'aille, il faut fendre la presse D'un peuple d'importuns qui fourmillent sans cesse : L'un me heurte d'un ais dont je suis tout froissé ; Je vois d'un autre coup mon chapeau renversé.
Page 179 - Audio, quid veteres olim moneatis amici: Pone seram, cohibe: sed quis custodiet ipsos Custodes ? cauta est et ab illis incipit uxor.
Page 212 - C'est à vous que je parle, ma sœur. Le moindre solécisme en parlant vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d'étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas ; Et, hors un gros Plutarque à mettre mes rabats, Vous devriez brûler tout ce meuble inutile...
Page 12 - II brise de Séjan la statue adorée ; Soit qu'il fasse au conseil courir les sénateurs, D'un tyran soupçonneux pâles adulateurs ; Ou que , poussant à bout la luxure latine, Aux porte-faix de Rome il vende Messaline ; Ses écrits pleins de feu partout brillent aux yeux.
Page 15 - S'est couvert mille fois d'une noble poussière : Mais la postérité d'Alfane et de Bayard ' , Quand ce n'est qu'une rosse , est vendue au hasard , Sans respect des aïeux dont elle est descendue , Et va porter la malle , ou tirer la charrue. Pourquoi donc voulez- vous que , par un sot abus , Chacun respecte en vous un honneur qui n'est plus ? On ne m' éblouit point d'une apparence vaine : La vertu , d'un cœur noble est la marque certaine.