Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 23
... paraît embrafe . ) Brûlez , moiffons ; féchez , guérets ; Embrafez - vous , vaftes forêts . ( au roi . ) Connaiffez quelle eft fa vengeance . CHOEUR . Tout s'embrafe , tout fe détruit ; Un dieu terrible nous poursuit . Brûlante flamme ...
... paraît embrafe . ) Brûlez , moiffons ; féchez , guérets ; Embrafez - vous , vaftes forêts . ( au roi . ) Connaiffez quelle eft fa vengeance . CHOEUR . Tout s'embrafe , tout fe détruit ; Un dieu terrible nous poursuit . Brûlante flamme ...
Page 38
... paraît dans toute fa fplendeur . ) AIR , AMOUR , MOUR , volupté pure , Ame de la nature , Maître des élémens , L'univers n'eft formé , ne s'anime et ne dure Que par tes regards bienfefans . Tendre Vénus , tout 38 OPERA . SAMSON ,
... paraît dans toute fa fplendeur . ) AIR , AMOUR , MOUR , volupté pure , Ame de la nature , Maître des élémens , L'univers n'eft formé , ne s'anime et ne dure Que par tes regards bienfefans . Tendre Vénus , tout 38 OPERA . SAMSON ,
Page 61
... paraît qu'aimable , Vous écoute un moment , et revole aux dangers . Leur maître en tous les temps veille fur la patrie . Les foins font éternels , ils confument la vie ; Les plaifirs font trop paffagers . 9 Il n'en eft pas ainfi de la ...
... paraît qu'aimable , Vous écoute un moment , et revole aux dangers . Leur maître en tous les temps veille fur la patrie . Les foins font éternels , ils confument la vie ; Les plaifirs font trop paffagers . 9 Il n'en eft pas ainfi de la ...
Page 67
... de mon père , De ne jamais m'unir à ce fang que je hais . LEON O R. Serment d'aimer toujours , ou de n'aimer jamais , Me paraît un peu téméraire . Enfin , de peur des rois et des amans , F 2 ACTE 67 PREMIER . CONSTANCE. ...
... de mon père , De ne jamais m'unir à ce fang que je hais . LEON O R. Serment d'aimer toujours , ou de n'aimer jamais , Me paraît un peu téméraire . Enfin , de peur des rois et des amans , F 2 ACTE 67 PREMIER . CONSTANCE. ...
Page 69
... paraît d'une toute autre espèce Que monfieur le baron . LEONOR . Oui , plus de politeffe , Plus de monde , de grâce . CONSTANCE . Il porte dans fon air Je ne fais quoi de grand . LEONOR . Oui . CONSTANCE . De noble . LEON OR . CONSTANCE ...
... paraît d'une toute autre espèce Que monfieur le baron . LEONOR . Oui , plus de politeffe , Plus de monde , de grâce . CONSTANCE . Il porte dans fon air Je ne fais quoi de grand . LEONOR . Oui . CONSTANCE . De noble . LEON OR . CONSTANCE ...
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.