Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 7
... Mortels , accourez à mes yeux : Regardez , imitez les enfans de la gloire : Ils m'ont tous cédé la victoire . Mars les rendit cruels , et je les rends heureux . ( Entrée de héros armés et tenant dans leurs mains des guirlandes de fleurs ...
... Mortels , accourez à mes yeux : Regardez , imitez les enfans de la gloire : Ils m'ont tous cédé la victoire . Mars les rendit cruels , et je les rends heureux . ( Entrée de héros armés et tenant dans leurs mains des guirlandes de fleurs ...
Page 8
... Je ravis la raifon aux mortels miférables Pour leur faire oublier tous les maux que j'ai faits . ( ensemble . ) Volupté , reçois nos hommages ; Enchante dans ces lieux Les héros , les dieux et les fages : Sans 8 PROLOGUE .
... Je ravis la raifon aux mortels miférables Pour leur faire oublier tous les maux que j'ai faits . ( ensemble . ) Volupté , reçois nos hommages ; Enchante dans ces lieux Les héros , les dieux et les fages : Sans 8 PROLOGUE .
Page 9
... les myrtes de Cythère . Mortels , fuivez les Amours ; Toute fageffe eft folie . Profitez de vos beaux jours : Les dieux aimeront toujours ; Soyez dieux dans votre vie . LA VOLUPTÉ . Ah ! quelle éclatante lumière Fait pâlir PROLOGUE . 9.
... les myrtes de Cythère . Mortels , fuivez les Amours ; Toute fageffe eft folie . Profitez de vos beaux jours : Les dieux aimeront toujours ; Soyez dieux dans votre vie . LA VOLUPTÉ . Ah ! quelle éclatante lumière Fait pâlir PROLOGUE . 9.
Page 10
... mortels , et fouvent trop fatale , Non , je ne fuis point ta rivale : Je viens m'unir à toi pour mieux régner fur eux . Sans moi , de tes plaifirs l'erreur eft paffagère ; Sans toi , l'on ne m'écoute pas : Il faut que mon flambeau t ...
... mortels , et fouvent trop fatale , Non , je ne fuis point ta rivale : Je viens m'unir à toi pour mieux régner fur eux . Sans moi , de tes plaifirs l'erreur eft paffagère ; Sans toi , l'on ne m'écoute pas : Il faut que mon flambeau t ...
Page 21
... Roi , Prêtres ennemis , que mon Dieu fait trembler , Voyez ce figne heureux de la paix bienfefante , Dans cette main fanglante Qui vous peut immoler . CHOEUR DES PHILISTINS . Quel mortel orgueilleux peut tenir ce ACTE SE CON D. 21.
... Roi , Prêtres ennemis , que mon Dieu fait trembler , Voyez ce figne heureux de la paix bienfefante , Dans cette main fanglante Qui vous peut immoler . CHOEUR DES PHILISTINS . Quel mortel orgueilleux peut tenir ce ACTE SE CON D. 21.
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.