Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
From inside the book
Results 1-5 of 98
Page 8
... j'ai foutenus : En ces lieux je ne connais plus Que la charmante Iole et les Plaifirs paifibles . Mais vous , Bacchus , dont la valeur Fit du fang des humains rougir la terre et l'onde , Quel plaifir , quel barbare honneur Touvez - vous ...
... j'ai foutenus : En ces lieux je ne connais plus Que la charmante Iole et les Plaifirs paifibles . Mais vous , Bacchus , dont la valeur Fit du fang des humains rougir la terre et l'onde , Quel plaifir , quel barbare honneur Touvez - vous ...
Page 10
... j'ai besoin de tes appas . Je veux inftruire et je dois plaire . Viens de ta main charmante orner la Vérité . Difparaiffez , guerriers confacrés par la fable : Un Alcide véritable Va paraître en ce lieu , comme vous enchanté . Chantons ...
... j'ai besoin de tes appas . Je veux inftruire et je dois plaire . Viens de ta main charmante orner la Vérité . Difparaiffez , guerriers confacrés par la fable : Un Alcide véritable Va paraître en ce lieu , comme vous enchanté . Chantons ...
Page 34
... J'ai voulu l'enchaîner , il enchaîne mon cœur . O mère des Plaifirs , le cœur de ta prêtreffe Doit être plein de toi , doit toujours s'enflammer . O Vénus ! ma seule déesse , La tendreffe eft ma loi , mon devoir eft d'aimer . Echo ...
... J'ai voulu l'enchaîner , il enchaîne mon cœur . O mère des Plaifirs , le cœur de ta prêtreffe Doit être plein de toi , doit toujours s'enflammer . O Vénus ! ma seule déesse , La tendreffe eft ma loi , mon devoir eft d'aimer . Echo ...
Page 42
... J'ai trahi de mon Dieu le fecret formidable . Amour ! fatale volupté ! C'est toi qui m'as précipité Dans un piége effroyable , Et je fens que Dieu m'a quitté . SCENE V. LES PHILISTINS , SAMSON , DALILA . LE 42 SAMSON , OPER A.
... J'ai trahi de mon Dieu le fecret formidable . Amour ! fatale volupté ! C'est toi qui m'as précipité Dans un piége effroyable , Et je fens que Dieu m'a quitté . SCENE V. LES PHILISTINS , SAMSON , DALILA . LE 42 SAMSON , OPER A.
Page 50
... j'ai foutenu cet horrible langage , Quand il n'offenfait qu'un mortel : On infulte ton nom , ton culte , ton autel ; Lève - toi , venge ton outrage . CHOEUR DE PHILISTINS . Tes cris , tes cris ne font point entendus . Malheureux , ton ...
... j'ai foutenu cet horrible langage , Quand il n'offenfait qu'un mortel : On infulte ton nom , ton culte , ton autel ; Lève - toi , venge ton outrage . CHOEUR DE PHILISTINS . Tes cris , tes cris ne font point entendus . Malheureux , ton ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.