Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 23
... foit , je ne puis m'avilir A recevoir des lois de qui doit me fervir . SAMSON . Eh bien , vous avez vu quelle était fa puiffance , Connaiffez quelle eft fa vengeance . Defcendez , feux des cieux , ravagez ces climats : Que la foudre ...
... foit , je ne puis m'avilir A recevoir des lois de qui doit me fervir . SAMSON . Eh bien , vous avez vu quelle était fa puiffance , Connaiffez quelle eft fa vengeance . Defcendez , feux des cieux , ravagez ces climats : Que la foudre ...
Page 51
... foit comme toi méprifé pour jamais . " SAMS O N. Tu m'infpires enfin ; c'eft fur toi que je fonde Mes fuperbes deffeins Tu m'infpires ; ton bras feconde Mes languiffantes mains . LE RO I. Vil efclave , qu'ofes - tu dire ? Prêt à mourir ...
... foit comme toi méprifé pour jamais . " SAMS O N. Tu m'infpires enfin ; c'eft fur toi que je fonde Mes fuperbes deffeins Tu m'infpires ; ton bras feconde Mes languiffantes mains . LE RO I. Vil efclave , qu'ofes - tu dire ? Prêt à mourir ...
Page 141
... foit , Léonor , il est mon ennemi . Puiffe le duc de Foix auteur de mes alarmes , Puiffent don Pèdre et lui l'un par l'autre périr ! Mais , ô Ciel ! confervez mon vengeur Alamir , Dût - il ne point m'aimer , dût - il causer mes larmes ...
... foit , Léonor , il est mon ennemi . Puiffe le duc de Foix auteur de mes alarmes , Puiffent don Pèdre et lui l'un par l'autre périr ! Mais , ô Ciel ! confervez mon vengeur Alamir , Dût - il ne point m'aimer , dût - il causer mes larmes ...
Page 146
... foit dans fon fang trempée , Dans ce fang malheureux , brûlant pour vos attraits . CONSTANCE , l'arrêtant . Ciel ! Alamir , que vois - je , et qu'avez - vous pu dire ? Alamir , mon vengeur , vous par qui je respire ...... .. Etes - vous ...
... foit dans fon fang trempée , Dans ce fang malheureux , brûlant pour vos attraits . CONSTANCE , l'arrêtant . Ciel ! Alamir , que vois - je , et qu'avez - vous pu dire ? Alamir , mon vengeur , vous par qui je respire ...... .. Etes - vous ...
Page 147
... foit le plus heureux ? J'attends de mon deftin l'arrêt irrévocable ; Faut - il vivre , faut - il mourir ? CONSTANCE . Ne vous connaiffant pas , je croyais vous haïr ; Votre offense à mes yeux semblait inexcufable . Mon cœur à fon ...
... foit le plus heureux ? J'attends de mon deftin l'arrêt irrévocable ; Faut - il vivre , faut - il mourir ? CONSTANCE . Ne vous connaiffant pas , je croyais vous haïr ; Votre offense à mes yeux semblait inexcufable . Mon cœur à fon ...
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.