Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 31
... fens pénétré ! DALIL A. Sans Vénus , fans l'Amour , qu'aurait - il pu prétendre ? Dans nos bois il eft adoré . Quand il fut redoutable , il était ignoré . Il devint dieu dès qu'il fut tendre . Depuis cet heureux jour Ces prés , cette ...
... fens pénétré ! DALIL A. Sans Vénus , fans l'Amour , qu'aurait - il pu prétendre ? Dans nos bois il eft adoré . Quand il fut redoutable , il était ignoré . Il devint dieu dès qu'il fut tendre . Depuis cet heureux jour Ces prés , cette ...
Page 36
... , D'annoncer la funefte guerre ; Brillez , jour glorieux , le plus beau de mes jours . Hymen , Amour , que ton flambeau l'éclaire ; Qu'à jamais je puiffe plaire , Puifque je fens que 36 SAMSON , O PER A. ACTE I V. ...
... , D'annoncer la funefte guerre ; Brillez , jour glorieux , le plus beau de mes jours . Hymen , Amour , que ton flambeau l'éclaire ; Qu'à jamais je puiffe plaire , Puifque je fens que 36 SAMSON , O PER A. ACTE I V. ...
Page 37
... fens que j'aimerai toujours ! Secondez - moi , tendres Amours , Amenez la paix fur la terre . S C ENE I I I. SAMSON DALIL A. 2 J. SAMSON . A 1 fauvé les Hébreux par l'effort de mon bras , Et vous fauvez par vos appas Votre peuple et ...
... fens que j'aimerai toujours ! Secondez - moi , tendres Amours , Amenez la paix fur la terre . S C ENE I I I. SAMSON DALIL A. 2 J. SAMSON . A 1 fauvé les Hébreux par l'effort de mon bras , Et vous fauvez par vos appas Votre peuple et ...
Page 40
... fens : Possédez à jamais ce cœur qui vous possède , Et gouvernez tous mes momens . Venez : vous vous troublez ..... DALIL A. Ciel ! que vais - je lui dire ? SAMSON . D'où vient que votre cœur soupire ? DALIL A. Je crains de vous ...
... fens : Possédez à jamais ce cœur qui vous possède , Et gouvernez tous mes momens . Venez : vous vous troublez ..... DALIL A. Ciel ! que vais - je lui dire ? SAMSON . D'où vient que votre cœur soupire ? DALIL A. Je crains de vous ...
Page 42
... ai trahi de mon Dieu le fecret formidable . Amour ! fatale volupté ! C'est toi qui m'as précipité Dans un piége effroyable , Et je fens que Dieu m'a quitté . SCENE V. LES PHILISTINS , SAMSON , DALILA . LE 42 SAMSON , OPER A.
... ai trahi de mon Dieu le fecret formidable . Amour ! fatale volupté ! C'est toi qui m'as précipité Dans un piége effroyable , Et je fens que Dieu m'a quitté . SCENE V. LES PHILISTINS , SAMSON , DALILA . LE 42 SAMSON , OPER A.
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.