Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 30
... est l'Amour qui les apprête : Puiffent - ils mériter un regard de vos yeux ! SAMSON . Quel eft cet Adonis dont votre voix aimable Fait retentir ce beau féjour ? DALIL A. C'était un héros indomptable , Qui fut aimé de la mère d'Amour ...
... est l'Amour qui les apprête : Puiffent - ils mériter un regard de vos yeux ! SAMSON . Quel eft cet Adonis dont votre voix aimable Fait retentir ce beau féjour ? DALIL A. C'était un héros indomptable , Qui fut aimé de la mère d'Amour ...
Page 38
... est le temple de l'univers ; Tous les mortels , à tout âge , à toute heure , Y viennent demander des fers . Arrêtez , regardez cette aimable demeure , C'est le temple de l'univers . SCENE IV . SAMSON , DALILA , Choeur de différens ...
... est le temple de l'univers ; Tous les mortels , à tout âge , à toute heure , Y viennent demander des fers . Arrêtez , regardez cette aimable demeure , C'est le temple de l'univers . SCENE IV . SAMSON , DALILA , Choeur de différens ...
Page 40
... ; tout fera poffible A ce cœur amoureux . DALIL A. Dites - moi , par quel charme heureux , Par quel pouvoir fecret cette force invincible ? ... SAMSON . SAMSON . Que me demandez - vous ? C'est un 40 SAMSON , OPERA .
... ; tout fera poffible A ce cœur amoureux . DALIL A. Dites - moi , par quel charme heureux , Par quel pouvoir fecret cette force invincible ? ... SAMSON . SAMSON . Que me demandez - vous ? C'est un 40 SAMSON , OPERA .
Page 41
... est un fecret terrible Entre le ciel et moi . DALIL A. Ainfi vous doutez de ma foi ? Vous doutez et m'aimez ! ... SAMSO N. Mon cœur eft trop fenfible ; Mais ne m'impofez point cette funefte loi . DALIL A. Un cœur fans confiance est un ...
... est un fecret terrible Entre le ciel et moi . DALIL A. Ainfi vous doutez de ma foi ? Vous doutez et m'aimez ! ... SAMSO N. Mon cœur eft trop fenfible ; Mais ne m'impofez point cette funefte loi . DALIL A. Un cœur fans confiance est un ...
Page 42
... SAMSON . J'ai trahi de mon Dieu le fecret formidable . Amour ! fatale volupté ! C'est toi qui m'as précipité Dans un piége effroyable , Et je fens que Dieu m'a quitté . SCENE V. LES PHILISTINS , SAMSON , DALILA . LE 42 SAMSON , OPER A.
... SAMSON . J'ai trahi de mon Dieu le fecret formidable . Amour ! fatale volupté ! C'est toi qui m'as précipité Dans un piége effroyable , Et je fens que Dieu m'a quitté . SCENE V. LES PHILISTINS , SAMSON , DALILA . LE 42 SAMSON , OPER A.
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.