Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 20
... doute il eft armé du fecours des enfers . LE RO I. L'infolent vit encore ? Allez , qu'on le faififfe ; Préparez tout pour fon fupplice : Courez , foldats , chargez de fers Des coupables Hébreux la troupe vagabonde ; Ils font les ennemis ...
... doute il eft armé du fecours des enfers . LE RO I. L'infolent vit encore ? Allez , qu'on le faififfe ; Préparez tout pour fon fupplice : Courez , foldats , chargez de fers Des coupables Hébreux la troupe vagabonde ; Ils font les ennemis ...
Page 71
... doute amenée . MORILLO . Parbleu , dans mon château je prétends la garder ; En bon parent tu dois m'aider : C'est une bonne aubaine ; et des nièces pareilles Se trouvent rarement , et m'iraient à merveilles . LE DUC DE FOIX . Gardez de ...
... doute amenée . MORILLO . Parbleu , dans mon château je prétends la garder ; En bon parent tu dois m'aider : C'est une bonne aubaine ; et des nièces pareilles Se trouvent rarement , et m'iraient à merveilles . LE DUC DE FOIX . Gardez de ...
Page 72
... reconnaît ici vos fouveraines lois ; Le ciel , fans doute , vous a faite Pour en donner aux plus grands rois . Mais du fein des grandeurs , on aime quelquefois A Mais 72 LA PRINCESSE DE NAVARRE . LEONOR à la princesse. ...
... reconnaît ici vos fouveraines lois ; Le ciel , fans doute , vous a faite Pour en donner aux plus grands rois . Mais du fein des grandeurs , on aime quelquefois A Mais 72 LA PRINCESSE DE NAVARRE . LEONOR à la princesse. ...
Page 78
... doute être malheureux ; Je ne méritais pas un deftin plus propice , Mon cœur n'était point amoureux . Je voulais d'un tyran punir la violence ; Je voulais enlever Conftance , Pour unir nos maisons , nos noms et nos amis ; La feule ...
... doute être malheureux ; Je ne méritais pas un deftin plus propice , Mon cœur n'était point amoureux . Je voulais d'un tyran punir la violence ; Je voulais enlever Conftance , Pour unir nos maisons , nos noms et nos amis ; La feule ...
Page 95
... obéir . N LE DUC DE FOIX . Obéir , moi ? MORILLO . Sans doute , et que peux - tu prétendre ? LE DUC DE FO I X. Nous battre contre tous , contre tous la défendre . MORILLO . Qui , toi , te révolter contre un ACTE PREMIER . 95.
... obéir . N LE DUC DE FOIX . Obéir , moi ? MORILLO . Sans doute , et que peux - tu prétendre ? LE DUC DE FO I X. Nous battre contre tous , contre tous la défendre . MORILLO . Qui , toi , te révolter contre un ACTE PREMIER . 95.
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.