Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 18
... affez ; tous vos maux vont finir . Dieu m'a prêté fa force , fa puiffance : Le fer eft inutile au bras qu'il veut choifir ; En domptant les lions , j'appris à vous fervir : Leur dépouille fanglante eft le noble présage Des coups dont je ...
... affez ; tous vos maux vont finir . Dieu m'a prêté fa force , fa puiffance : Le fer eft inutile au bras qu'il veut choifir ; En domptant les lions , j'appris à vous fervir : Leur dépouille fanglante eft le noble présage Des coups dont je ...
Page 84
... affez beau Serait encore une fête galante ; C'est un art tout français d'expliquer fes défirs , Par l'organe des jeux , par la voix des plaifirs ; Un fpectacle eft furtout un amoureux myère , Pour courtifer Sanchette et tâcher de lui ...
... affez beau Serait encore une fête galante ; C'est un art tout français d'expliquer fes défirs , Par l'organe des jeux , par la voix des plaifirs ; Un fpectacle eft furtout un amoureux myère , Pour courtifer Sanchette et tâcher de lui ...
Page 103
... affez ce que vous devez être ; Nous venons vous prier de venir avec nous ; La moitié de mes gens marchera devant vous , L'autre moitié fuivra ; vous ferez transportée Surement et fans bruit , et par - tout respectée . SANCHETTE . Quel ...
... affez ce que vous devez être ; Nous venons vous prier de venir avec nous ; La moitié de mes gens marchera devant vous , L'autre moitié fuivra ; vous ferez transportée Surement et fans bruit , et par - tout respectée . SANCHETTE . Quel ...
Page 115
... affez que de vous avoir vue ? CONSTANCE . Quoi , vous ne connaiffez ni mon nom ni mon fort , Ni mes malheurs , ni ma naiffance ? LE DUC DE FOIX . Tout cela dans mon cœur eût - il été plus fort Qu'un moment de votre présence ? CONSTANCE ...
... affez que de vous avoir vue ? CONSTANCE . Quoi , vous ne connaiffez ni mon nom ni mon fort , Ni mes malheurs , ni ma naiffance ? LE DUC DE FOIX . Tout cela dans mon cœur eût - il été plus fort Qu'un moment de votre présence ? CONSTANCE ...
Page 116
... affez . CONSTANCE . Alamir ! Et c'eft vous ! c'eft vous qui l'excufez ! LE DUC DE FOI X. Non , je dois le haïr fi vous le haïffez . Vous étant odieux , il doit l'être à lui - même ; Mais comment condamner un mortel qui vous aime ? On ...
... affez . CONSTANCE . Alamir ! Et c'eft vous ! c'eft vous qui l'excufez ! LE DUC DE FOI X. Non , je dois le haïr fi vous le haïffez . Vous étant odieux , il doit l'être à lui - même ; Mais comment condamner un mortel qui vous aime ? On ...
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.