Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 253
... ZELID E. A mon père attaché , Il a fuivi mon fort ; je connais fa vaillance . Ah ! que PANO PE . vous le voyez avec indifférence ! ZELID E. Il a fait fon devoir ; mon cœur LES ROIS PASTEURS, ...
... ZELID E. A mon père attaché , Il a fuivi mon fort ; je connais fa vaillance . Ah ! que PANO PE . vous le voyez avec indifférence ! ZELID E. Il a fait fon devoir ; mon cœur LES ROIS PASTEURS, ...
Page 254
... ZELID E. Malgré tous fes efforts , errante , poursuivie , Je périffais près de ces lieux : Lui - même allait tomber ... ZELID E. Au feul bras de Tanis je dois ma délivrance . J'efpère tout du généreux Tanis . SCENE II . ZELIDE , PANOPE ...
... ZELID E. Malgré tous fes efforts , errante , poursuivie , Je périffais près de ces lieux : Lui - même allait tomber ... ZELID E. Au feul bras de Tanis je dois ma délivrance . J'efpère tout du généreux Tanis . SCENE II . ZELIDE , PANOPE ...
Page 257
... ZELID E. Quoi ! Phanor après fa défaite Aux rivages du Nil ose - t - il retourner ? Ah ! s'il me faut quitter cette aimable retraite , Tanis veut - il m'abandonner ? TANI S. Nous ne ravageons point la terre ; Nous défendons nos champs ...
... ZELID E. Quoi ! Phanor après fa défaite Aux rivages du Nil ose - t - il retourner ? Ah ! s'il me faut quitter cette aimable retraite , Tanis veut - il m'abandonner ? TANI S. Nous ne ravageons point la terre ; Nous défendons nos champs ...
Page 259
... ZELID E. Il combat pour vous - même ; eft - ce à vous de vous plaindre ? Vous deviez plus d'égards aux exploits de Tanis . Il faut ménager , il faut craindre Les grands cœurs qui nous ont fervis . PHANO R. Pourfuivez , achevez , ingrate ...
... ZELID E. Il combat pour vous - même ; eft - ce à vous de vous plaindre ? Vous deviez plus d'égards aux exploits de Tanis . Il faut ménager , il faut craindre Les grands cœurs qui nous ont fervis . PHANO R. Pourfuivez , achevez , ingrate ...
Page 260
... ZELID E. Ofez - vous ? ... PHANOR . Oui , je vois qu'il s'en flatte ; Oui , vous encouragez fa téméraire ardeur . Votre faibleffe éclate Dans vos yeux et dans votre cœur . ZELI D E. Pourquoi foupçonnez - vous que je puiffe descendre ...
... ZELID E. Ofez - vous ? ... PHANOR . Oui , je vois qu'il s'en flatte ; Oui , vous encouragez fa téméraire ardeur . Votre faibleffe éclate Dans vos yeux et dans votre cœur . ZELI D E. Pourquoi foupçonnez - vous que je puiffe descendre ...
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.