Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 257
... TANI S. EST - IL poffible , ô Dieux ! Phanor ofe entreprendre D'expofer vos beaux jours à nos fiers ennemis ! Qu'iriez - vous faire , hélas ! aux remparts de Memphis ? Quel fort y pouvez - vous attendre ? Nos campagnes , nos bois et nos ...
... TANI S. EST - IL poffible , ô Dieux ! Phanor ofe entreprendre D'expofer vos beaux jours à nos fiers ennemis ! Qu'iriez - vous faire , hélas ! aux remparts de Memphis ? Quel fort y pouvez - vous attendre ? Nos campagnes , nos bois et nos ...
Page 258
... TANI S. Nous n'avons pas befoin de votre ordre fuprême ; Vous nous avez vus dans ces lieux Délivrer la princeffe , et vous fauver vous - même ; Et nous ne connaiffons de maître que PHANO R. Je commande en fon nom . TANI S. fes yeux ...
... TANI S. Nous n'avons pas befoin de votre ordre fuprême ; Vous nous avez vus dans ces lieux Délivrer la princeffe , et vous fauver vous - même ; Et nous ne connaiffons de maître que PHANO R. Je commande en fon nom . TANI S. fes yeux ...
Page 259
... TANI S. C'est affez ; pardonnez : je vole , et j'obéis . SCENE V. ZELIDE , PHANO R. PHANOR . Non , je ne puis fouffrir l'indigne déférence Dont vous l'honorez à mes yeux . La feule égalité m'offense . L'injurieuse préférence Eft un ...
... TANI S. C'est affez ; pardonnez : je vole , et j'obéis . SCENE V. ZELIDE , PHANO R. PHANOR . Non , je ne puis fouffrir l'indigne déférence Dont vous l'honorez à mes yeux . La feule égalité m'offense . L'injurieuse préférence Eft un ...
Page 264
... TANI S. Demeure , ne me quitte pas . Tu connais ma fecrète flamme : Connais le trouble affreux qui déchire mon ame . CLE OF I S. Redoutez - vous Phanor ? TANI S. Dans mes troubles eruels , Tout m'alarme auprès de Zélide . Ami , le plus ...
... TANI S. Demeure , ne me quitte pas . Tu connais ma fecrète flamme : Connais le trouble affreux qui déchire mon ame . CLE OF I S. Redoutez - vous Phanor ? TANI S. Dans mes troubles eruels , Tout m'alarme auprès de Zélide . Ami , le plus ...
Page 266
... TANI S. " De quel trouble nouveau je fens mon ame atteinte ! E CLE OF IS . De quelle horreur je fuis furpris ! TANI S. Pour braver les dangers , et voir la mort fans crainte , Mon cœur n'attendait pas l'oracle d'Ofiris ; Mais pour mes ...
... TANI S. " De quel trouble nouveau je fens mon ame atteinte ! E CLE OF IS . De quelle horreur je fuis furpris ! TANI S. Pour braver les dangers , et voir la mort fans crainte , Mon cœur n'attendait pas l'oracle d'Ofiris ; Mais pour mes ...
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.