Œuvres completes de Voltaire, Volume 9la Société littéraire-typographique, 1785 - Authors, French |
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Page 64
... CONSTANCE , princeffe de Navarre . LE DUC DE FOIX . DON MORILLO , feigneur de campagne . SANCHETTE , fille de Morillo . LEONOR , l'une des femmes de la princesse . HERNAND , écuyer du duc . Un Officier des gardes . Un Alcade . Un ...
... CONSTANCE , princeffe de Navarre . LE DUC DE FOIX . DON MORILLO , feigneur de campagne . SANCHETTE , fille de Morillo . LEONOR , l'une des femmes de la princesse . HERNAND , écuyer du duc . Un Officier des gardes . Un Alcade . Un ...
Page 65
... CONSTANCE , LEONOR . LEONO R. AH , quel voyage , et quel féjour Pour l'héritière de Navarre ! Votre tuteur , don Pèdre eft un tyran barbare : Il vous force à fuir de fa cour . } Du fameux duc de Foix vous craignez la tendreffe ; Vous ...
... CONSTANCE , LEONOR . LEONO R. AH , quel voyage , et quel féjour Pour l'héritière de Navarre ! Votre tuteur , don Pèdre eft un tyran barbare : Il vous force à fuir de fa cour . } Du fameux duc de Foix vous craignez la tendreffe ; Vous ...
Page 66
... CONSTANCE . Je hais Gafton de Foix autant que le roi même . LEONOR . Eh pourquoi ? parce qu'il vous aime ? CONSTANCE . Lui , m'aimer ! nos parens fe font toujours haïs . Belle raifon ! LEONO R. CONSTANCE . Son père accabla ma famille ...
... CONSTANCE . Je hais Gafton de Foix autant que le roi même . LEONOR . Eh pourquoi ? parce qu'il vous aime ? CONSTANCE . Lui , m'aimer ! nos parens fe font toujours haïs . Belle raifon ! LEONO R. CONSTANCE . Son père accabla ma famille ...
Page 67
... CONSTANCE . Au moins mon fort funefte A mes yeux indignés n'a point voulu l'offrir . Quelque hafard aux fiens m'a pu faire paraître . LEONOR . Vous m'avoûrez qu'il faut connaître Du moins avant que de haïr . CONSTANCE . J'ai juré ...
... CONSTANCE . Au moins mon fort funefte A mes yeux indignés n'a point voulu l'offrir . Quelque hafard aux fiens m'a pu faire paraître . LEONOR . Vous m'avoûrez qu'il faut connaître Du moins avant que de haïr . CONSTANCE . J'ai juré ...
Page 68
... CONSTANCE . Je vais dans un couvent tranquille , Loin de Gaston , loin des combats , Cette nuit trouver un afile . LEONO R. Ah ! c'était à Burgos , dans votre appartement , Qu'était en effet le couvent . Loin des hommes renfermée , Vous ...
... CONSTANCE . Je vais dans un couvent tranquille , Loin de Gaston , loin des combats , Cette nuit trouver un afile . LEONO R. Ah ! c'était à Burgos , dans votre appartement , Qu'était en effet le couvent . Loin des hommes renfermée , Vous ...
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Common terms and phrases
ABDAL acte affez afiles Aftolphe ainfi Alamir Amour APOLLON auffi Bacchus BARON beau BERGERS Brutus C'eft c'eſt Caffius CASCA CASSIUS Céfar CESA R CESAR chante charmes CHOEUR ciel cieux Cimber Cinna CINTI Cintia cœur CONSTANCE crains DALIL danfe Daphnis defcend deftin dieu dieux DUC DE FOIX enſemble ERIGONE eſt fang fans fauvage favoir fcène feconde fecret féjour fens fentir fera fervir fête feul fils de Maurice foit foldats font fous fouvent fuis Gloire Glycère GREGOIRE guerre GUILLOT HERA CLIU HERACLIUS HERNAND héros IRENE j'ai jour Jupiter l'amour laiffe LEONIDE LEONOR Libia lieux Lucius Memphis Monfieur MORILLO Mufes mufique n'eft paffe Pandore parle PERE de Daphnis peuple PHANOR PHILISTINS PHOCA plaifir plaifirs PLAUTINE préfent PRESTINE puiffe puifque raifon refpect refte rien rois SAMSON SANCHETTE SCENE PREMIERE STOL PHE TANI temple tendre théâtre TRAJAN trembler tyrans vainqueur Vénus vois voix yeux ZELIDE
Popular passages
Page 18 - Peuple, éveille- toi, romps tes fers, Remonte à ta grandeur première, Comme un jour Dieu du haut des airs Rappellera les morts à la lumière, Du sein de la poussière, Et ranimera l'univers.
Page 518 - Vandales , les Goths , dans leurs écrits bizarres , Dédaignèrent le goût des Grecs et des Romains : Nos aïeux ont marché dans ces nouveaux chemins ; Nos aïeux étaient des barbares. L'abus règne , l'art tombe , et la raison s'enfuit ; Qui veut écrire avec décence, Avec art , avec goût , n'en recueille aucun fruit ; II vit dans le mépris et meurt dans l'indigence.
Page 364 - Je n'ai qu'un mot à ajouter, c'est que les vers blancs ne coûtent que la peine de les dicter; cela n'est pas plus difficile à faire Qu'une lettre. Si on s'avise de faire des tragédies en vers blancs, et de les jouer sur notre théâtre , la tragédie est perdue. Dès que vous ôtez la difficulté, vous ôtez le mérite.